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Vieux 09/02/2008, 13h58
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1476 – 1487. L’Empereur sauve une fois encore la Hongrie




La situation en Hongrie sombre dans le chaos le plus complet : partout, des agents Infidèles sèment le trouble et poussent à la révolte, afin de permettre au Sultan des Infidèles de cueillir ce joyau de la chrétienté comme un fruit mûr . Pris en otage par ses « conseillers », tous Musulmans, le Roi de Hongrie Janos I parvient néanmoins brièvement à déjouer leur vigilance, juste le temps d’envoyer un appel à l’aide.


« Ainsi, l’Infidèle, après sa tentative de conquérir militairement la Hongrie, essaye désormais de s’en emparer par des moyens plus subversifs . Soit, le peuple de Hongrie nous a appelé à l’aide, ne le décevons pas : la Chrétienté compte sur nous ! ». L’ordre de marche parvient aux troupes Impériales, qui pénètrent en Hongrie en libérateurs et non en conquérant . Noyautée par les Infidèles sournois, les armées Hongroises décident sottement de s’opposer à notre marche libératrice : le choc est d’une violence inouïe et les Impériaux doivent reculer. Des milliers d’armes sont alors envoyés par le Sultan, ainsi que, plus discrètement, des volontaires Infidèles avides de sang. La guerre de libération dégénère en conflit de grande envergure et Vienne, la formidable capitale Impériale est directement menacée .







Brisés, les Autrichiens doivent reculer sans cesse et les pertes sont terribles, mais l’Empereur garde son calme : ses réserves sont inépuisables. De plus, le Sultan des Infidèles, Osman II, décède enfin et son âme perverse est précipitée en enfer . Un conseil de Régence est instaurée et l’Empire Ottoman, affaibli, doit abandonner son soutien aux révoltés Hongrois. L’Empire contre-attaque et les Hongrois sont brisés, les infiltrés musulmans cause de toute cette tragédie sont massacrés .


Le Roi Janos I de Hongrie est sauvé et peut reprendre les rennes du pouvoir mais, très vite, il réalise que les saboteurs Infidèles n’ont pas désarmés : ils se sont juste repliés et concentrent désormais tous leurs efforts non pas sur la totalité du royaume Hongrois, mais uniquement sur les provinces de Pecs, Serton et Ersekujvar. Débordé, le Roi Janos I sent son pouvoir vaciller et il fait à nouveau appel à l’Empereur, lui offrant ces trois provinces « pour peu que l’ordre y soit rétabli et tous les Infidèles anéantis ». Champion de la Chrétienté, l’Empereur Dieu fait le serment de tenir à jamais ces trois provinces hors de l’influence impie des Infidèles.


Cette œuvre libératrice terminée, l’Empereur peut enfin tourner son regard éclairé et bienveillant vers d’autres cieux. Ce qu’il vit ne lui plut pas toujours : certains avaient honteusement profité de sa Sainte Lutte contre les Infidèles pour se remplir les poches et violer tous les préceptes Chrétiens. Que ceux là prennent garde car qui pactise avec l’Infidèle, qui frappe dans le dos un Chrétien en croisade, celui là sera excommunié par le Saint Père et promit aux tourments éternels .



Dantonus Magnus, Historiographe officiel de l’Empereur Danton I, Roi d’Autriche, Rempart de la Chrétienté, Empereur du Saint Empire Romain Germanique et descendant de Pierre
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Vieux 09/02/2008, 15h37
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Quand la Sublime Porte parle tout le monde se tait


L'empereur d'un empire décadent et inexistant ferait mieux d'apprendre son histoire. En aucune façon, nous signâmes une paix blanche avec la Hongrie c'est un affâme complot du dieu des chrétiens, EUesque, qui imposa une paix pour des raisons futiles et pleines de mauvaise foi.

D'autre part, l'annexion du duché d'Athènes, terres légitimes de l'Empire Ottoman successeur de l'Empire byzantin s'est produite bien avant l'année 1464. Au contraire de vous qui agissait dans le dos, cette annexion fut faite à la vue de tous et en représaille suite au débarquement dans nos terres orientales .

N'est ce pas étonnant que des chrétiens qui remportent une victoire laissent des conseillers musulmans, soit disant, autour du roi de Hongrie ? De même, quelle surprise que de voir que les troupes hongroises se sont ardemment battues pour préserver l'indépendance de leur royaume contre les troupes impériales censées être venu les sauver.
Enfin, il est fort étonnant de constater que malgré le fait que le roi de Hongrie en personne, soit disant, vous ai confié 3 des terres hongroises vous ayez subi une réprobation d'une partie du monde chrétien (les ia parce que les joueurs humains, à part un, s'en foutent) à l'origine de votre mauvaise réputation
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Vieux 09/02/2008, 19h36
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Chroniques vénitiennes



La guerre venéto-turque (1454-1464) : la Victoire

Alors que la guerre s’enlisait de plus en plus dans les Balkans, où, profitant du terrain favorable à la défense, les deux camps se neutralisaient réciproquement, la République de Venise, profitant de l’anéantissement de la flotte turque suite à l’écrasante victoire de Loredan à Naxos, proposa à l’Empereur un projet d’une audace inouïe : l’invasion de l’Anatolie turque par le blocus du Bosphore.

On ne narrera pas ici les évènements de cette campagne victorieuse ayant amené le Sultan à céder, ces évènements ayant été brillamment exposés par les historiens de Vienne. On notera juste les difficiles batailles près d’Ankara où les janissaires faillirent remporter une victoire remettant en question toute l’expédition, mais qui fort heureusement n’eut pas lieu. Notons également le siège de Constantinople par les troupes vénitiennes pendant plusieurs mois. La ville ayant pu être prise si la Sultan n’avait pas sagement décidé de négocier avec les Croisés.

La force de nuisance des blocus ayant amené le trésor turc à la quasi-faillite, fut une expèrience très intéressante.

Cet accord de paix apporta à Venise le contrôle direct de la Morée, restaurant ainsi la grandeur et la puissance républicaine des anciens temps que nos ancêtres avaient construit. La Serbie fut exemptée de tribut envers le Turc, tout comme la principauté d’Athènes qui fut libérée.

L’Alliance entre Venise et l’Empereur avait parfaitement réussie dans son objectif : mettre un point d’arrêt à l’expansionnisme mahométans en Europe. Félicitons nous également des succès des rois de Castille qui ont à cœur de se débarrasser définitivement de la verrue que représente Cordoue en Andalousie.

Néanmoins, cette victoire aussi éclatante qu’elle fusse, eut de sérieuses répercussions sur le trésor républicain : bien que le commerce eut été peu touché malgré les raids de pirates incessants, le Doge dut ordonner la frappe de nouvelles monnaies durant la guerre, l’inflation, bien que contenue augmenta donc sensiblement.


L’avertissement français.

Alors que plusieurs s’était écoulées de relative paix en Europe, voilà que la Royaume de France se retrouve en guerre contre la Bourgogne, et menace très clairement d’annexer le Brabant, le Valenciennois, l’Artois, et la Bourgogne. Ceci faisant suite à l’annexion de la Bretagne, de la Provence et de l’Anjou… A cette longue liste s’ajoute les prétentions françaises en Gascogne toujours anglaise (et probablement après la Flandres annexée, Calais…). Non seulement le Roi de France ne daigna faire aucune diplomatie, aucune déclaration, aucune concertation, aucun avertissement… mais encore il osa se déclarer choqué quand l’Angleterre, Venise, Castille et Aragon réagirent promptement en déclarant la guerre à la France. Fort heureusement pour l’Europe, le Roi se décida à traiter et fit paix blanche avec la Bourgogne et la Coalition.

Néanmoins, ce même Roi toujours jaloux des richesses vénitiennes et de son implication diplomatique pour l’équilibre européen, se lança dans des guerres d’Italie inconsidérée : non seulement la Savoie fut vassalisée, mais encore notre voisin Milanais ! Mais ça n’est pas fini : non content de cela, la France fut engagée dans une guerre contre Rome et le Pape lui-même ! A cette heure, Avignon, terre papale est occupée par la France ! Mais ça n’est toujours pas fini : la France est également en guerre contre la Toscane ! Nous n’avons nulle envie de défendre la Toscane, puisque celle-ci n’a pas hésité à annexer Ancône au pape. Pour protéger l’Italie et le Pape des appétits français, les troupes vénitiennes ont été obligées d’intervenir en Toscane avant que les français n’arrivent… Dès que celle-ci sera sous notre contrôle, nous rendrons Ancône au Pape, nous annexerons Ravenne, et nous ne vassaliseront pas la Toscane, qui sera ainsi remise à ces frontières de 1453. Ainsi toute l’Europe est témoin que Venise affiche et communique ses intentions très clairement contrairement à d’autres…

Mais bien sûr cela ne sera possible que lorsque la France aura fait paix blanche avec la Toscane ET avec le Pape : une annexion d’Avignon serait tout à fait intolérable et déclencherait immédiatement une 2e coalition contre la France.

Nous prévenons la France : Venise sera toute prête à ouvrir de nouvelles relations uniquement quand un certains nombre d’exigences, entièrement partagées par nos amis et alliés seront remplies :

-La libération de la Savoie et du milanais, terres d’Empire

-La paix blanche avec la Toscane et le Pape

-Le renoncement des prétentions françaises en Bourgogne et en gascogne et à Calais

-La levée de l'embargo à Paris

Suite à venir..

Dernière modification par comeon ; 09/02/2008 à 19h53.
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  #24  
Vieux 10/02/2008, 20h04
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Histoires Moscovites

1453 – 1487

Naissance d’une puissance


Nos diplomates ont su se montrer convaincant, et les principautés de Tver et Yaroslav ont rapidement rejoint le destin du Grand Duché de Moscovie.

Mais, cette puissance naissante a effrayé les hordes tartares de Kazan et de Crimée, qui s’allièrent dans le but avoué de détruire la civilisation chrétienne dans cette partie du monde.

Les premières vagues submergèrent les armées moscovites en large infériorité numérique.

Mais les batailles successives démontrèrent à l’ennemi notre farouche volonté et entamèrent leur détermination avec le temps.

Au bout de 3 ans de guerre sans succès, les Tartares décidèrent alors qu’il était temps de rentrer dans leurs steppes.

Le Grand Duché de Moscovie avait survécu


A l’Ouest, la puissance de Novgorod était sur le déclin. Ils n’avaient pas su défendre leurs provinces orientales, dont les populations russes et orthodoxes avaient été abandonnées au joug tartares de Kazan.

Le temps était donc venu pour la Moscovie de devenir le Champion des populations russes.

Le Grand Duc Vassily II décida donc d’envoyer des milliers de diplomates moscovites, soutenus par notre allié et vassal Khanate jusqu’aux rives de la Baltique.

Une nouvelles fois, notre diplomatie fut concluante et Novgorod décida volontairement de renoncer à sa souveraineté sous la pression de sa population.

Les frontières du Grand Duché de Moscovie furent donc repoussées, nous octroyant un nouvel accès à la mer.




Diplomates moscovites





CARTE DU GRAND DUCHE DE MOSCOVIE : 1487






Tout aurait pu aller pour le mieux du monde, si ce funeste jour du 3 Septembre 1483 n'avait pas vu la mort de notre bien aimé Grand Duc Vassily II emporté par un mal soudain.

Rapidement, la rumeur d'empoisonement fit son apparition car sans descendant direct, plusieurs familles avaient des vues directes sur le trône.

Un conseil de Régence pris donc les affaires en mains, mais l'instabilité atteignait son paroxysme, et plusieurs nobles affichaient ouvertement leur opposition.





Les diplomates moscovites portaient donc dorénavant toute leur attention sur la restauration de la paix à l'intérieur de nos frontières.



Fort à faire avec toutes ces préoccupations, luttant pour sa propre survie, le grand Duché n'a pas pu porter grande attention aux restes des affaires du Monde.

Nous saluons cependant les efforts de l'Empereur du Saint Empire Germanique à lutter contre les velléités impérialistes ottomanes, comme nous l'avons fait contre les Tartares.


Nous apportons également notre plus profonde estime au Roi du Danemark. Nous sommes tous deux concernés par les tribulations des rebelles suédois, et espérons que votre Royaume saura imposer son pouvoir dans ces contrées nordiques.


Nous sommes également fort contrits par l'arrogance de marchands vénitiens, à qui nous avons ouvert les portes de nos centres de Commerces, mais qui visiblement n'ont donc d'autres volonté que de s'enrichir sans porter la moindre considération au pays hôte.
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  #25  
Vieux 16/02/2008, 19h03
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Banlieue de Moscou Fevrier 2008


Dans l'appartement du 83 rue de Potnyova à Moscou, la famille Charkovski est réunie pour feter l'anniversaire du grand pere Vassily Charkovski, 81 ans.
Pendant que les femmes prépare le repas dans la cuisine, le vieil homme regarde la télé accompagné de son petit fils, Piotr.
C'est l'heure de la grande messe de l'information, avec la très médiatique Clairshaya Chazalanova.



'Mesdames, Messieurs, Bonsoir et longue vie à notre président Poutine bien aimé.
Hier, les forces du FSB ont arreté une bande de terroristes qui préparait une vague d'attentats à travers la Russie.
Les terroristes qui se nomment les Fils des Cavaliers Mongols se disent vouloir combattre pour la liberation des territoires tartares, mais selon de sources sures, il s'agit certainement d'agitateurs politiques payés par l'opposition à notre bien aimé Président qui ne veulent que provoquer de l'instabilité afin de discrediter le gouvernement, pourtant reconnu comme le meilleur du monde et qui est plebiscité par toute la population russe..
Longue vie à notre bien aimé Président Poutine'

Le petit Piotr se retoune alors vers son grand père
'Dit, Grand Papa c'est quoi les Tartares ?'

Mon petit Piotr, il y a bien longtemps, la Russie n'existait pas encore. En fait il n'y avait que des champs et des fortes autour de Moscou.
Et à cette époque, les paysans vivaient dans la crainte des attaques mongoles qui venaient tel des essaims de sauterelles piller les récoltes.
Mais un jour, alors que la guerre civile sevissait, un nouveau Tasr est arrivé Dimitry VII (16 Octobre 1588).
Dimitry mit d'abord de l'ordre en rallaint tous les nobles et les obligeant à faire allégeance.
Le Tsar avait ausi de grandes ambitions, il décida alors de créer la Sainte Russie en 1492 revendiquant toutes les terres aux alentours


Mais il restait toujours la menaces des mongols etTartares : Ils étaient réunis autour de 5 tribus principales : Les Khanates, Les Crimée, les Kazan, les Sibirs et les Kazakhs.
Dimitry parvint à convainctre pacifiquement les Khanates de rejoindre la Sainte Russie, mais les 4 autres s'etaient réunis pour faire une large alliance, continuant de menacer la vie de nos paysans.
Ce danger ne pouvait pas durer, et le Tsar prit les armes pour chatier les Tartares.
Les armées russes menées par de valeureux generaux réussirent à défaire les cavaliers ennemis, prenant leur territoires et les obligeant à se soumettre à son autorité...
A la mort de Dimitry en 1510 la Russie avait doublé de taille....

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  #26  
Vieux 17/02/2008, 16h31
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Chronique de Scandinavie : 1487-1510.



En avant vers la réunification !



Après des années de paix entre la Suède et nous, notre grand souverain, Philippe II brisa la glace, alors que la grande guerre du Nord venait de se terminer, les belligérants totalement essoufflés par ce long conflit. La population du royaume de Suède avait grandement souffert de cette guerre, et n’attendait que le retour que du souverain légitime pour rétablir la prospérité perdue par les tyrans de Stockholm. Les opérations militaires de reconquête de la péninsule scandinave furent lancer en 1489, l’opération fut rondement menée, et ne durèrent qu’un an, le chétif « roi de suède » ne fit guère de résistance, n’arrivant à mobiliser qu’un millier ce chevalier pour le soutenir. La trêve fut signer au bout d’un an, nous reprîmes l’autorité sur la Finlande, ajoutant la couronne de ce royaume à celle du Danemark dans la grande cathédral de Copenhague.



Ce fut à ce moment que la crise diplomatique nous frappe, un noble étranger venait de mourir sur nos terres, nous ouvrâmes des investigations sur son meurtre mais celle-ci furent infructueuse. Quatre mois plus tard, notre grand diplomate Torbald Moth, s’éteignit d’un vilain rhume ! (5 étoiles !) En avant pour 15 ans d’attente !



Les opérations furent reprise en 1505, permettant la prise des 3 places au Nord de nos états danois, aucun troupe ne se leva pour nous empêcher en moins de 6 moins notre autorité était établit sur la région.



Mais un bonheur n’arrive jamais seul! Quelques mois après le 22 avril 1506, Philippe II mourra après 23 ans de règne. Son fils pris sa suite malgré ses qualités de bon militaire et administrateur, il n’hérita pas des capacités diplomatiques de son père. Mais relativisons la mort de Philippe II, celle-ci amena, définitivement la Norvège en notre sein, la couronne de ce royaume quittant la Basilique d’Oslo pour Copenhague.



Les opérations militaires furent reprise dès le début du règne de Vilhelm I, limitant le pouvoir de la dynastie félonne, à la seule province autour de Stockolm, aujourd’hui les opérations militaires sont au point mort, vu notre réputation nous empêchant tout mouvement international. Le règne de Vilhelm I aura pour but le développement de nos provinces.









Missive diplomatique :



A la France : Nous avons apprit par le Doge de Venise que vous nourrissiez des prétentions sur les Flandres, notre amitié vous est perdue tant que vous ne renoncerez pas à annexer la province !



A Venise : Nous sommes heureux d’avoir réussit à mettre fin au conflit entre nos deux états, nous espérons pouvoir continuer une coexistence pacifique entre nos peuples.



A l’Ottomans : Abandonné toute pensé d’embargo ou de tribut, si vous ne voulez pas voir notre flotte faire le blocus de vos cotes !

Cordialement l'Empereur de Scandinavie.
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L'homme n'est pas fait pour travailler, la preuve c'est que cela le fatigue. ( Voltaire )

On dit qu'il y a trois millions de personnes qui veulent du travail. C'est pas vrai, de l'argent leur suffirait. ( Coluche )

Si l'Administration travaillait dans le Bâtiment, elle aurait les doigts pris dans le béton. ( Coluche )
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Vieux 17/02/2008, 16h55
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La 2e guerre de Hongrie (ou l'art de raconter une guerre quand on a aucun screen, aucun souvenir des dates et de grands faits)

Aux temps où l'OM renaissait de ses cendres, tel le phénix, pour entamer un nouvel envol, aux temps où Danton feignait la maladie pour éviter mon courroux, le souvenir de la 2e guerre de Hongrie était passé. Rares étaient ceux qui en connaissaient même l'existence. C'est pourquoi, moi descendant d'un des acteurs de cette guerre, j'ai décidé de vous raconter ce que mon père m'avait raconté qu'il tenait de son père, qui lui-même le tenait de sa mère (c'est pour changer un peu) qui le tenait de.....etc.


Cette guerre mis aux prises une nouvelle fois les forces impériales, commandés par le redoutablement mauvais archiduc d'Autriche, et les forces ottomanes guidées par la sagesse et la bonté du Sultan. D'aucuns disent que d'autres nations s'en mêlèrent, mais dans notre famille on n'y a jamais cru. En tout cas, sur le champ de théâtre hongrois on ne trouvait qu'impériaux, turcs et un peu de hongrois.

Plus personne ne sait aujourd'hui quand se déroula précisément ce conflit. Certains historiens le font débuter à la fin des années 1470 et finir au début des années 1480. D'autres évoquent des bornes chronologiques plus tardives d'une dizaine d'années environ. Par contre ce que l'on sait bien, c'est pourquoi ce conflit éclata et qui le remporta.


A cette époque, un brutal et cruel barbare régnait en Autriche. L'envie était son pain et la jalousie son eau. Pas un seul jour que Dieu faisait sans que ce prince fasse parler de lui en mal. Même ses sujets le maudissaient mais sa cruauté n'avait d'égale que sa force et il ne faisait donc pas bon d'afficher publiquement ses pensées.

Un jour, alors qu'il voyageait dans l'ancienne province hongroise de Pëcs (prise de force quelques décennies auparavant par son père), il aperçut un petit château fort cossu avec climatisation, ascenseur, chauffage central et eau courante. Son palais de Vienne fait de torchis, de bois et de paille paraissait bien fade à côté. Il décida donc qu'il passerait la nuit dans ce petit château. Evidemment, les occupants château furent exécutés car ce cruel despote avait décidé de s'approprier cette demeure.
Or, cette malheureuse famille était, comme tout le peuple hongrois d'ailleurs, de fidèle patriote. Jamais ils n'avaient abandonnés leur allégence au roi de Hongrie et à la famille royale hongroise. Parmi elle, plus que nul autre, plus que le roi même, une princesse hongroise suscitait l'admiration et l'amour de tous. Sa beauté n'était concurrencé que par sa bonté de coeur. Chez beaucoup de hongrois, une véritable dévotion s'étaient instaurée pour cette princesse dont les représentations se multipliaient.
C'est ainsi, alors qu'il déambulait dans le grand couloir de ce petit château, que le méchant archiduc tomba nez à nez avec un portrait de la princesse :



Evidemment, même le plus noir des coeurs ne pouvait rester indifférent à tant de beauté. Aussi fou que cela puisse paraître, le coeur de ce prince noir se mit à frémir. Malheureusement, Envie et Jalousie veillaient et étouffèrent dans l'oeuf ce qui aurait pu être de l'amour dans ce coeur de méchant homme. Elles ne laissèrent subsister que Convoitise.

Et c'est guidée par elle, que l'archiduc exigea de son intendant qu'il aille immédiatement au village le plus proche demandait qui est cette personne. Qu'il tue tous les villageois si cela est nécessaire pour obtenir une réponse. Il n'eut pas à attendre longtemps. Quelques heures plus tard il connaissait son nom, son origine et sa situation présente. Elle s'appelait Eva Mendes et était fille du roi de Hongrie. Lorsque l'intendant annonça où se trouvait actuellement cette beauté, ce fut ses dernières paroles avant que l'abominable archiduc le transperce avec son épée ivre qu'il était, de colère, à la nouvelle. Car la sublime princesse Eva Mendes était tout simplement la 1er épouse du Sultan. On dit même que le Sultan n'aima et ne connut charnellement aucune autre femme à partir du jour où il l'épousa.

C'est ainsi que tout commença...à cause d'un tableau. Dans sa convoitise, l'archiduc ne recula devant rien. N'ayant aucun honneur, il envoya de nombreux hommes à la cour ottomane pour déclarer ses intentions à la belle. Il la courtisait publiquement et à travers ses ambassadeurs. Il exigeait du sultan qu'il la lui donne comme si celle-ci était un objet. La princesse resta évidemment indifférente aux avances peu élégantes de ce prince à la réputation si noire. Le sultan, qui au début se gaussait assez de la situation, commença petit à petit à perdre patience. Chez les chrétiens aussi il était interdit de convoiter la femme de son prochain, le sultan ne comprenez pas ce comportement outrancié. Il voulait vivre en paix avec sa femme, mais n'hésiterez pas à récourir à la force si c'était le seul moyen d'atteindre cette paix.

A chacun de ses (nombreux) échecs, l'archiduc entrait dans une rage folle, cassant tout ce qu'il avait sous la main, tuant même parfois ses domestiques. Il comprit qu'il ne pouvait gagner le coeur de cette femme mais ne renonça pas pour autant à la faire sienne. Il ourdit alors une sombre machination. Il fit réunir son état-major et son armée pour préparer la guerre contre la Hongrie... Personne dans son Etat major n'osa lui faire quelconque remarque même si tous n'y voyait que folie. L'objectif de ce vil prince était de capturer la famille de la princesse. Ainsi il escomptait obtenir du père qu'il dénonce le mariage de sa fille d'avec le sultan et la promette à l'archiduc. Son autre espoir était de lancer un ultimatum à la princesse Eva Mendes : soit elle se livrait soit sa famille serait exécutée. La guerre éclata.

Heureusement pour le camp des gentils, le sultan et la princesse, dont l'intelligence égalait la beauté, se méfiaient depuis longtemps de ce tyrannique prince et faisait attentivement surveiller les frontières de la Hongrie. Car depuis que la princesse avait apporté la paix dans le coeur du sultan, celui-ci avait reconnu son erreur et ne convoitait plus le royaume de Hongrie qu'il souhaitait voir prospérer. A la nouvelle de l'avancée des troupes impériales vers la frontière hongroise, le sultan ordonna à son armée de pénétrer en Hongrie et de défendre son peuple et la famille royale. C'est ainsi qu'une situation pour le moins originale se constitua : un musulman défendait un royaume chrétien contre un chrétien.

La guerre dura plusieurs années. Les troupes ottomanes fortes du bon droit de leur côté, encouragées par le peuple hongrois et remarquablement commandées par un sultan qui en avait fait une affaire personnelle, écrasèrent les troupes impériales et les firent décamper des terres hongroises. Progressivement, les troupes ottomanes pénétrèrent en Autriche et s'approchèrent de Vienne. Certaines troupes entamèrent même un siège de la capitale impériale mais ne purent si maintenir assez longtemps. De toute façon cela n'était plus nécessaire. L'archiduc, abandonné de tous et vaincu, se résolut à la paix. Le sultan exigea qu'il cesse de convoiter sa femme, qu'il laisse à l'avenir tranquille la Hongrie et libère le petit peuple de Karaman anciens vassaux des autrichiens.

Une fois de plus l'amour triomphait du mal et la princesse, rayonnante, fit grande fête à son héros à son retour

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Dernière modification par lemarseillais ; 17/02/2008 à 17h12.
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Quand la Sublime Porte parle on se tait

Quelle surprise que de voir une manifestation d'hostilité à notre encontre de la part de l'Union de Kalmar. Il m'est d'avis que vous vous êtes concertés à un moment ou un autre avec un autre prince.
Comme nous l'avons dit au doge de Venise, qui a signé avec nous un accord lui ouvrant de nouveau l'accès à notre cot, personne ne peut et doit penser pouvoir nous dicter nos actes.
Jusqu'à preuve du contraire, le centre de commerce de Thrace est nôtre et non vôtre. Nous en sommes donc les maîtres absolus et ce n'est certainement pas par la menace que vous obtiendrez quelque chose.

Si vous ne revenez pas très rapidemment sur vos propos, nous vous traiterons exactement comme la république de Venise, cad qu'au lieu de vous demander 50 ducats pour 3 ans de commerce dans notre cot nous en demanderons 50 pour 2 ans. Si cela vous pose un quelconque problème libre à vous de ne pas commercer chez nous, nous n'obligeons personne. Ayez recours à la force si votre courage est aussi grand que votre folie.
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Vieux 17/02/2008, 21h11
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Chroniques Françaises, second chapitre (1453-1488).




La France, après de nombreuses années d'obscurantisme et d’une féodalité toujours plus morcelante, fut en 1455 prise d'un choix douloureux.
En effet, s'affrontèrent les nobles, attachés a un pouvoir décentralisé, a l'aristocratie et au morcellement du territoire et les Royalistes, dévoués au Roi tout puissant et à sa grandeur.



Au fil des années précédent cet an de grâce 1455, de nombreux ducs, comtes et autres gens de la noblesses décidèrent de s'allier au Roi afin de réunifier le Royaume, cependant certains nobles continuèrent à comploter sournoisement dans le dos de notre souverain bien aimé.

C'est ainsi que sa mort en 1454 laissa la cours pantoise, cela ne ressemblait en rien à une mort naturelle, en effet le roi fut empoisonné.
Forte heureusement son fils était apte a gouverner et toute tension interne fut écartée, cependant il était clair maintenant que nombreux étaient ceux qui voulaient voir s'effondrer la monarchie.
Le nouveau Roi réunit ainsi ces plus proches ministres afin d'établir une stratégie visant à éradiquer cette menace.
La décision fut prise de par le jeu d'alliance, de mariages et de guerres ; de terminer ce que ces prédécesseurs avaient commencés, c'est-à-dire : unifier le Royaume sous une seule bannière et éradiquer le pouvoir des Nobles.

En quelques années, Gaston Ier réussi a réunir les provinces d'Anjou, de Provence et du Bourbons sous la bannière Française, dans le même temps et fort de ces succès diplomatiques et de l'amélioration de vie des paysans et citadins de ces régions ; les populations de nombreux autres états voulurent intégrées le merveilleux royaume de France.
Cependant tous les dirigeants n'agissaient pas dans l'intérêt de leur population et c'est ainsi qu'éclatèrent des révoltes paysannes en Bretagne, les révoltés envoyèrent un émissaire au Roi de France afin qu’ils interviennent et leur permettent de rejoindre la France. N'écoutant que son coeur, Gaston Ier déclara la guerre a la Bretagne et annexa au royaume la Vendée, le Morhiban et l'Armor.
Ainsi s'acheva la glorieuse mission de Gaston Ier qui s'éteignit le 15 septembre 1473.

C'est ainsi que débuta le Règne de Louis XI, au début le jeune roi était plein d'espoir et de bienveillance, bien sur il tenait a rester ferme sur certaines questions mais possédait un esprit conciliant que ne possédait pas son père.
De nombreux ambassadeurs furent envoyés vers l'Angleterre afin de résoudre le problème qui faisait que Français et Anglais se confrontèrent déjà depuis des dizaines et des dizaines d'années. Malheureusement ces négociations n'aboutirent pas et aucun accord ne fut signer, ce fut un net revers pour la nouvelle politique Royale.
Ce revers fit élever des voix, de nombreux nobles n'accordaient plus leurs confiance au Roi et commencèrent à comploter contre lui.
Cependant un évènement vint le sauver de "justesse" et ainsi sauver toute la France.
La Bourgogne déclara honteusement et dans le dos la guerre à notre royaume, le Roi décida de prendre le contrôle des opérations et combattit ainsi farouchement les bourguignons jusqu'a contrôler la moitié de leur territoire.
L'évènement qui intervint quelques mois après le début de la guerre fut très surprenant, en effet la Castille, l'Aragon et Venise décidèrent de déclarer la guerre à la France, sous le prétexte fallacieux d'un hypothétique "dépeçage" de la bourgogne, alors que ce fut la Bourgogne, elle-même ; qui nous agressa…



Au début l'ensemble de la cours s'exclaffa de rire en entendant la nouvelle tant cela pouvait paraître incroyable que des gens sains d'esprit en arrivent à penser ainsi. Mais le Roi dut se rendre à l'évidence... ils étaient sérieux. Dans sa concilliance habituelle le roi décida de signer une paix blanche avec la bourgogne et de la pardonnée de ces fautes afin d'épargner des vies humaines.
Cependant cet évènement le blessa dans son être le plus profond, lui qui croyait à la bonté de l'homme et à son intelligence fit une chute idéologique incroyable, il tombait de haut, de très haut même ...

Puisqu'ils avaient agis ainsi, il se vengerait
. Après avoir fait marché ces services de renseignements, le Roi arriva à la conclusion que l'instigateur de ce géant complot n'était en réalité pas Lord Aedan mais bien le conspirateur félon Comeonus. Des sanctions furent donc prises contre le Doge : un embargo engagé et des guerres en menées en Italie afin d’affaiblir son emprise sur la région (vassalisation de la Savoie et de Milan )

C’est à ce moment là que mourut notre bien-aimé souverain mourut sans héritier, un conseil de régence fut donc mis en place pour géré les affaires en cours.



La guerre contre la Toscane s’engagea rapidement à la suite de la mort du roi, en effet le royaume toscan décida d’attaquer le petit royaume de sienne dont nous étions les garants.

Evidement le conseil de régence décida d’intervenir dans son souci de protéger les plus faibles.

Ainsi la guerre fut déclarée, très vite la France prit le dessus, cependant le félon, le mal, le diable sur terre alias le Doge vénitien décida d’attaquer la Toscane et somma la France de la laissée au sort de Venise.



Après cet acte, le Doge Vénitien osa même, fort de ses alliés, envoyé une série de revendications au à la France sans quoi une coalition serait déclanchée contre elle.

Le Conseil de régence, décida pour calmer le jeu d’accepter la fin de la guerre contre la Toscane sans aucune compensation. Le conseil espéra que ce geste eut pour conséquences de prouver la bonne foie Française au monde.

Cependant ce geste ne profita qu’au vil Doge qui en profita pour asseoir un peu plus son néfaste pouvoir dans le nord italien.
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  #30  
Vieux 17/02/2008, 21h13
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L’affaire de Clèves.



Sentant la pression montée, et s’appuyant sur des rapports d’espionnages précis qui prouvaient l’amassement de troupe bourguignonnes aux frontières Clèviennes, le Roi décida de venir demander le protectorat français afin d’éviter la destruction de son petit, mais humble royaume. Le nouveau Roi Charles VIII, doté d’un fin sens de la diplomatie décida d’accepter et assura au Roi Clèviens sa protection.

Au bout de 4 mois, et malgré les avertissements français, l’ignoble souverain bourguignon décida d’envahir Clèves, fidèle à son engagement le Roi de France décida alors de protéger son allié, cependant pendant ces années d’accalmies le perfide Doge n’avait pas chômer et d’après nos renseignements, il est celui qui de nouveau avait rassemblé le concert européen contre le Français en cas de conflit Franco-bourguignon.

L’Autriche, ensuite la Castille, Venise et pour finir l’ Angleterre déclarèrent la guerre à la France, désolé de devoir abandonnée Clèves mais soucieux de son propre royaume avant tout , le Roi de France dut une nouvelle fois se résigner à signer une paix blanche avec la Bourgogne (la laissant ensuite vassalisée Clèves) et envoya une proposition de paix blanche à tous les pays concernés.



Quelle ne fut pas la surprise lorsque la missive marquée du sceau anglais revint négative. En effet l’Angleterre refusait la paix car elle souhaitait s’emparer des territoires écossais.

Le Roi rentra dans une rage folle, en effet le concert européen refusait que le Roi de France châtie un royaume violent, qui avait attaqué la France et ensuite s’en était pris à un petit royaume frêle, mais ce même concert acceptait et encourageait même que l’Angleterre s’empare des terres écossaises. Le Roi comprit alors que la Bourgogne n’était qu’in prétexte pour pouvoir bridée la France et non pas pour protéger cette même Bourgogne.

Ce fut de trop, le Roi décida alors de faire parler les armes, la seule langue dans laquelle savaient s’exprimer ces pays.

La punition contre le Doge n’avait pas été suffisante, soit, tous les pays seraient alors châtier, ainsi la France conclu une alliance avec la Sainte Hongrie dans le but de la protéger des vues Autrichiennes, et ce qui dut arriver arriva, l’Empereur dans sa folie déclara la guerre à la Hongrie, celle-ci nous appela et nous décidâmes d’intervenir.



La France se retrouva donc en guerre contre deux ennemis différents et loin l’un de l’autre,les tactiques militaires ne pouvaient être les mêmes contre ces deux pays, le roi décida de mettre en place deux états-majors distincts afin qu’ils s’occupent tous deux d’une seule et même guerre.





Guerre contre l’Angleterre :



Après qu’elle ait refusée l’offre de paix, l’Angleterre fit immédiatement joué son avantage le plus marquant, alias le contrôle des mers. Très vite la Royale Navy balaya la flotte Française qui ne fut réduite qu’à une poignée de navires réfugiés dans le port de Saintonge.

Pour l’Etat-major français il s’agissait maintenant de réussir à s’emparer de Calais et de la Gascogne le plus rapidement possible afin d’effectuer une pression forte sur le gouvernement Anglais.



Très vite la Gascogne fut prise et contrôlée par plus de 7000 hommes, 6000 cavaliers quant à eux étaient poster en Saintonge afin de prévenir tout débarquement Anglais.

Pour Calais l’opération fut plus délicate, en effet la royale Navy contrôlant l’entièreté des mers, nous dûmes comptés sur une inattention Anglaise afin de sortir notre flotte et d’embarquer – débarquer illico presto nos forces en calais.

Une fois le débarquement effectués, nos troupes furent renforcées par plus de 12 000 hommes lorrains, qui possédaient un accès de passage en Bourgogne.

Après ces victoires retentissantes, la guerre se calma très vite, les combats se firent moins nombreux et l’Angleterre mit l’ensemble de la cote ouest Française sous blocus.



Fort de sa puissance navale l’Angleterre pouvait frappée n’importe ou à n’importe quel moment et effectua ainsi plusieurs débarquements en Gascogne mais surtout à Calais.

En Gascogne les débarquements Anglais furent à chaque fois suivis d’échecs mais à Calais les Anglais avaient réussis une percée non négligeable surtout qu’ en Ecosse les territoires tombaient les uns après les autres (dans l’indifférence totale des autres pays). Fort heureusement Calais décida de rallier le Camps français juste avant la fin du siège Anglais et devint ainsi une province française à part entière.



Cependant l’espoir existait encore en France de gagner cette guerre, en effet depuis le début des caravelles étaient en constructions dans les deux ports de méditerranée que les Anglais n’avaient pas mis sous blocus.

Une flotte de 6 Caravelles et 5 Caracks étaient prête a affrontée la Royale Navy, cependant tous les navires étaient éparpillés dans différents ports français et là encore ce ne fut que la distraction de l’état Major Anglais qui permit à la Flotte Française de se réunir et ensuite vaincre la Royale Navy de manière assommante.

Malheureusement, cette victoire arriva trop tard, en effet l’Angleterre avait déjà dépecée l’Ecosse et annexée la quasi-totalité de son territoire.

Cependant, fort de se succès, la France envoya une missive exigeant la cession de la Gascogne à la France. Ce que le Roi d’Angleterre accepta.

Mais pourrons-nous lui pardonner le mal fait aux Ecossais ?



La Guerre contre l’Autriche



L’Etat-major s’occupant de la guerre contre l’Autriche dut travailler avec moins de moyens, en effet la guerre contre l’Angleterre mobilisait la moitié des hommes mais quasiment l’ensemble du trésor pour la construction de navires.

Ainsi l’Etat-major du se contenter des 25 000 homme mis à son service et d’un renfort de 7000 hommes potentiel.

Tout d’abord l’Etat-major décida de mener bataille au Luxembourg, à Breisgau et en suisse, afin de ne permettre qu’une seule ligne de front entre la Suisse et l’Autriche.

Une fois le Luxembourg et Briesgau tombés, les troupes françaises furent dirigées vers les provinces de Tyrol et de Trentin, lesquels furent toutes deux assiégées par 7000 hommes.

Et afin de prévenir toute attaque des troupes autrichiennes, une garnison de 6000 cavaliers fut gardée en suisse pour intervenir à tout moment. C’est ainsi qu’au fur et à mesure de l’avancement français et de ses défaites en Hongrie l’Empereur du se résigner à signer une paix Blanche et ainsi mettre fin à cette guerre qui décima sa jeunesse.





Diplomatie :



A Frise : Nous sommes étonnés très chèr Roi que vous écoutiez le félon Vénitien sans même nous demander de quoi il s’agit, en effet nous n’avons jamais revendiqués les Flandres, cette histoire est aussi farfelue que l’étincelle qui y a mise le feu.

Nous vous annonçons ne plus vouloir de votre amitié si vous copulez ainsi avec le félon Vénitien.



A l’Angleterre : Nous éspèrons que maintenant que vos objectifs écossais sont atteints et que la Gascogne et calais sont revenus à leur juste propriétaire, nos relations vont enfin pouvoir se normalisées, nous tendons encore une fois la main à l’Angleterre .



A la Castille : Nous savons que la décision du Roi d’Aragon de nous rejoindre vous décoit beaucoup, cependant sachez que nous pouvons toujours discuter avec lui pour lui faire changé d’avis.



Au perfide Vénitien : L’embargo continuera a être maintenu et sachez que plus aucun de vos diplomates de repartira avec sa tête sur le cou tant que vous ne vous serez pas excusés.
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