Le nouvel Asterix SANS Uderzo

[marlouf]

Tout n'est pas trés clair dans ce que vous racontez tous les 2, j'ai du perdre quelques éléments en route

Sinon pas d'accord pour Gaston (encore l'un des meilleures BD qui soit à mes yeux, et la seule dont j'ai acheté l'intégrale avec mes premières paies) , qui plus est Franquin ... Enfin bon, les gouts et les couleurs

Sinon c'est marrant car c'est également mon père qui m'a mis des Achille Talon dans les mains, vers 8 ou 9 ans ... Je n'ai gardé en mémoire que le sort s'abattant sur Lefuneste, les "hops" et autres "pafs" ainsi que les éditions Dupuis toujours à la bourre pour leur impression, souvenir aussi d'un Achille Talon devenu dictateur le temps d'un épisode...
Trop vieux pour que mes souvenirs soient fiables, mais il faudrait vraiment que je me repenche dessus, j'avais beaucoup aimé à l'époque...

[Coelio]

Marrant, moi je déteste Gaston, je trouve cela absolument éloigné de tout humour et sans aucun intérêt :pisse-foid rebornien:

En revanche, je suis absolument fan d'Achille Talon, une de mes séries préférées Je suis donc un triste snob, qui n'est sensible qu'aux logorrhées verbeuses

[Kevinus Pontifex]

je suis sur que coelio aimait Philmémon, de Fred, c'est un truc de juriste.

Viva papa (el moustachero) et l'esprit d'Eloi m'ont laissé un bon souvenir

[GA_Thrawn]

Un riche koulak l'a t'il acheté?

[Coelio]

Je pensais le demander à Noël, je sais jamais quoi demander à la famille

[Kevinus Pontifex]

non, mais j'ai vu que beaucoup de couvertures des anciens albums avaient changées par rapport a ceux que je possède

[Locke]

Je l'ai lu hier

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Par rapport aux albums d'Uderzo c'est loin d'être dégueulasse. En revanche Ferri s'est contenté de faire du Goscinny sans être Goscinny. D'un côte c'est difficilement reprochable après l'abominable Le ciel lui tombe sur la tête, d'autre part, Ferri n'est pas le maître et plusieurs gags sentent vraiment le réchauffé. Certains pans du scénario sont assez mystérieux tant ils apparaissent tarabiscotés voire n'apportant rien à la trame (Numérusclausus, l'espèce de langage à base de titres de chansons anglaises que baragouine Mac Oloch lorsqu'il perd l'usage de la parole intelligible...) idem pour les jeux de mots. Le meilleur passage de l'album à mon sens est la fin, avec la réunion des chefs pictes, le schéma de la "bataille" qui s'en suit avec une légende qui me rappelle un peu celle des Dingodossiers et la petite fermeture finale avec le gag sur la tanistrie que j'ai trouvé bien foutu (et vraisemblablement trop pointu pour que le commentateur chieur lambda le remarche, tout en se plaignant du manque de profondeur culturel de l'album )