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  #101  
Vieux 23/02/2012, 20h13
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Ahahah, ce bon colonel d'Aspar entre enfin dans la partie !! Ça va chauffer !!

J'ai créé 2 escadrons de gendarmes lanciers (c'est le maximum possible) si tu prends Gibraltar avec, tu passeras général et tu commanderas les 2 escadrons
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  #102  
Vieux 23/02/2012, 20h25
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Le pitaine dédé est tombé 6 fois de cheval pour apporté la bonne nouvelle pas de quoi s’inquiéter
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  #103  
Vieux 23/02/2012, 20h47
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Le pitaine dédé est tombé 6 fois de cheval pour apporté la bonne nouvelle pas de quoi s’inquiéter
Hmm fais gaffe, t'es encore en convalescence, mais Superchaussette est tout à fait capable de te coller une scepticémie
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  #104  
Vieux 23/02/2012, 20h57
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Hmm fais gaffe, t'es encore en convalescence, mais Superchaussette est tout à fait capable de te coller une scepticémie
:s'évanouie:
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  #105  
Vieux 23/02/2012, 21h05
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J'ai créé 2 escadrons de gendarmes lanciers (c'est le maximum possible) si tu prends Gibraltar avec, tu passeras général et tu commanderas les 2 escadrons

Et après je viserai le titre de Maréchal !!

Je sens que je vais faire une grande carrière pour défendre l'Empereur et la France !!
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"L'abstinence est une perversion sexuelle comme une autre."


Ar Sparfell



( Ouais, si y'en a qui me citent dans leur signature, pourquoi pas moi? )
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  #106  
Vieux 23/02/2012, 21h10
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L'Angleterre vaincra les gueux parvenus
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[20:58:20] Akmar Nibelung, Gott dit:
je m'incruste pour faire genre j'ai des amis autres que les pizzas
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  #107  
Vieux 24/02/2012, 14h08
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Bataille de Lodz, Pologne, 8 novembre 1806

Au petit matin, le Maréchal Ney compte ses troupes et se rassure : plus de 12.000 hommes, une armée légèrement plus importante que le corps principal commandé par Rodo 1er lui même, qui n’a lui que 11.000 hommes. Le défaut dans la cuirasse, qu’il ne veut pas voir, c’est la faiblesse en canons (une vingtaine) et en cavaliers : un seul escadron de lancier, soit 150 hommes. En face, deux corps prussiens qui totalisent à peu prés le même nombre de soldats, mais avec un bien plus fort pourcentage de cavaliers et de canons. Ney ne peut analyser le terrain, puisqu’il est pris entre les deux masses prussiennes …





Face au danger au nord, Ney enverra progressivement 16 régiments, soit prés de 6.500 hommes. 5.500 restent au centre, appuyés par l’artillerie et l’escadron de la cavalerie française. Les artilleurs se mettent à leurs pièces, et pointent les canons à l’est, vers la force prussienne déjà en place. L’installation est néanmoins mauvaise, les boulets ricochent ou s’enfoncent dans les talus protégeant le corps prussien. Le général Karl von Muffling, qui lui connaît parfaitement le terrain, installe ses 20 premières pièces dans un angle idéal pour menacer les français, sans pouvoir lui-même être atteint. Les boulets commencent à décimer le corps principal de Ney, mais ce sont surtout les Howitzers qui entament la principale ligne française.





Au nord, les premiers régiments d’infanterie de ligne français, après une longue marche qui les a déjà exposés aux boulets ennemis, sont pris à partie par les hussards prussiens qui, inlassablement, s’en prennent à la piétaille française. Les régiments qui le peuvent se mettent en carré tandis que d’autres, pris par surprise, se débandent fasse au flot continu de plus d’un millier de cavaliers.





Les charges deviennent plus violentes, et l’infanterie française, sans appui extérieur, gaspille ses cartouches pour abattre cavaliers et montures. Certains carrés finissent par flancher, des brèches se créent, mais l’infanterie tient toujours. Le général prussien, constatant l’absence d’effondrement de notre côté, tente de motiver ses hommes. Il s’avance au cœur de la mêlée, parant les coups à gauche, à droite. Un tir de mousquet fait mouche, le général prussien s’effondre au sol.. Les pertes sont très lourdes des 2 côtés, la cavalerie prussienne a été quasiment réduite à néant tandis que certaines compagnies françaises ne comptent déjà plus que 200 hommes sur les 400 initiaux.





Côté français, on se motive : l’Etat Major prussien a été décapité, Karl von Muffling est mort,la victoire est proche ! Mauvaise surprise, on apprend que le général Herbert von Palpatine est sur le terrain, du côté des Howitzer qui continuent de pilonner le camp français.





La terre est retournée, encore et encore, des membres recouverts de boues sont enterrés avant d'être encore projetés en l'air par les nouvelles déflagrations.
Les pertes sont dantesques. Le 21éme régiment de ligne passe de 400 hommes à 350, puis 200, puis 80. Le drapeau du régiment tombe au sol, personne ne le ramasse : les hommes fuient le terrain tandis que Ney tente de les exhorter à combattre. Certains retrouvent leurs esprits, d’autres non.

L’artillerie française est elle-même excessivement endommagée, seulement 5 piéces encore en état sur les 20 d’origine. Les artilleurs sont de toute façon impuissants, les boulets français ne fauchent quasiment aucun Prussien. Ney envoie son unique corps de cavalerie sur le flanc gauche de l’adversaire, espérant surprendre les prussiens et faire taire les canons. Il faudra d’abord éliminer le 23éme hussard prussien, qui bloque le passage aux chevau-légers français.





Mêlée sauvage, lances des français contre sabres des prussiens. Les chevaux ruent en tout sens, les hommes s’effondrent des 2 côtés.




Les Hussards ennemis se détournent enfin, les français lancent la charge sur les servants des canons. On massacre les hommes gaiement, sachant le répit que cela va apporter côté français.





Les servants s’enfuient, hurlements de joie côté français, mais le sol tremble à nouveau … les Howitzer étaient positionnés plus loin, on a seulement eu les canons de 7 livres qui de toute façon tiraient au jugé … Les Prussiens réagissent, les chasseurs abattent les chevau-légers et les hussards reviennent au contact. La cavalerie française arrive à éliminer les derniers cavaliers prussiens, mais doit fuir le terrain : seulement 20 hommes valides, tandis que 130 gisent sur la terre polonaise.

Plus le choix, Ney fait donner l’infanterie contre les positions prussiennes. Y laissant un lourd tribu, les hommes encerclent et abattent les Prussiens au centre, et éliminent les derniers canons .

La douche froide, elle, vient du nord : Les Français ont gaspillé leurs munitions sur des chevaux et des miliciens …





L’approvisionnement en munition ne peut suivre, et l’infanterie française, épuisée par plusieurs heures de combats, est désormais assaillie par l’élite prussienne. Les hommes qui tournent le dos aux prussiens sont sommairement abattus, alors on passe à la baïonnette. Le 20éme régiment de ligne du Capitaine François Léopold Dédé disparaît corps et bien, et le capitaine n’a que le temps de sauter sur un cheval prussien pour apporter la nouvelle au maréchal Ney. L’infanterie française combat sauvagement, mais plus pour sa survie : elle sait déjà que ce but est bien illusoire … il faut juste emporter le plus de Prussiens dans la mort …





Ney apprend la nouvelle, et fait envoyer ses réserves au Nord. Quand il arrive, le constat est accablant : toutes les troupes françaises qui ont été engagées sur ce secteur ont été laminées. Sur un minuscule terrain, 12.000 cadavres emmêles dans une même étreinte. L'herbe est rougie par le sang et les soldats pataugent dans un cloaque indescriptible. Les Prussiens sont heureusement exsangues, et prennent la fuite devant les renforts adverses.

Le général Herbert von Palpatine fait sonner la retraite, la victoire est, sur le terrain, française. Pourtant, la défaite est évidente …

8.000 morts côté prussien, autant côté français. Les 16 régiments envoyés au nord ont disparu, et certains du centre doivent etre dissous afin d’obtenir des effectifs acceptable pour le combat. Ney ne dispose plus que de 10 régiments d’infanterie, contre 30 initialement, 5 piéces d’artillerie, et 20 cavaliers. Le général von Palpatine a pu sauver une aprtie de ses troupes et prépare une nouvelle offensive avec les renforts prussiens qui arrivent à proximité. Ney, lui, qui a fait marcher ses troupes jusqu’à l’épuisement, ne peut même plus retraiter. Il n’y a plus qu’à espérer que les Prussiens ne lanceront pas une nouvelle attaque le lendemain ?

Un pli est confié au Capitaine Dédé, qui doit apporter la nouvelle à l’Empereur. Des eclaireurs prussiens le débusquent mais échouent à l’abattre sur place.
Un autre pli part pour l’Allemagne : le colonel Lilan, qui est à Berlin, doit rallier toutes les unités mobilisables pour éviter une saignée occasionnée par les Prussiens. De son sort, Ney n’en parle nullement : il ne dépend plus de lui, mais de la prochaine action du général von Palpatine…
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  #108  
Vieux 25/02/2012, 20h38
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Le pitaine dédé est tombé 6 fois de cheval pour apporté la bonne nouvelle pas de quoi s’inquiéter
Bon bin c'est bien ce que je disais
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  #109  
Vieux 26/02/2012, 18h36
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Il faut sauver le soldat Ney ! Mais comment ?

On ne ne peut intervenir contre les Prussiens dans l’intervalle, alors l’adjudant-commandant Moradim, proche de Talleyrand, suggère d’isoler les Prussiens afin de leur faire croire à une défaite imminente et de précipiter leur retrait du conflit. Une intoxication grandeur nature, mais qui nécessite un geste fort. Ce qu’on tient du côté de Rodo, puisque l’Empereur se lance à l’assaut de Prague, bien décidé à emporter la ville et briser ainsi toute vélléité autrichienne en Europe.

Le risque est d’autant moins grand que les forces de Rodo sont deux fois plus fortes que les régiments autrichiens. Certes il y a un soldat notable en face, le colonel Maximilien Reborn et ses dragons-à-pied, mais la tactique est éprouvée et devrait facilement briser l’adversaire.

Rodo place tous ses canons sur un même axe, afin d’accentuer les effets des obus sur un même secteur donné – certes réduit, mais ou les Autrichiens devraient comprendre ce qu’ait la terreur face à des déflagrations en chaine.
De fait, le général de brigade Boudi et le colonel Jmlo, tout juste rétabli, s’en donnent à cœur joie.





Les 30 pièces françaises voient leur tir méthodiquement concentré sur les groupements ennemis les plus dangereux. Tout d’abord l’artillerie et les Howitzers adverses, dont on fait taire une grande partie dés l’engagement des hostilités…





Et alors que les chariots ennemis sont détruits par les tirs et que les chevaux autrichiens s’enfuient, refusant de tirer plus longtemps les affuts de canons, on passe aux cibles suivantes.
Sur la ligne d’assaut, néanmoins, c’est la compagnie de William Locke, promu colonel du 5éme d’Infanterie de Ligne depuis peu, qui essuie la vindicte des derniers artilleurs autrichiens encore à leurs piéces.





Les obus encadrent l’unité, avant de finir par fracasser la ligne française. Mais l’Empereur n’est pas loin, la supériorité du commandement avérée, l’unité tient bon.





Du haut d'un talus, Rodo contemple les lieux et l'organisation adverse à l'aide d'une lunette.
Tous les corps de cavalerie seront associés pour cette bataille, plus de 750 cavaliers menés par Otto, Jag, Griffon, Maximus et Bravlyon. La cavalerie se glissera sur notre flanc gauche, afin de menacer par la suite le flanc droit autrichien





Les unités les plus aguerries, côté français, seront celles qui supporteront le feu autrichien. Principalement le 5éme régiment d’infanterie de ligne de Locke, le 6éme régiment de Bébert et les Grenadiers de la vieille Garde d’Urial. On tient le bataillon de Grenadiers du 5éme de ligne de Druss d'Haran légèrement en retrait, il avancera par la suite pour relever les unités au front et donner l’ultime poussée. Pour l’instant, après les pertes du côté de Locke, c’est le régiment de Bébert qui doit faire face à un assaut de la cavalerie autrichienne.




Un cavalier traverse le carré, et menace directement le colonel Bébert, son ordonnance et le tambour-major. Des soldats viennent à la rescousse et abattent l’insolent, tandis qu’à l’extérieur du carré, l’assaut autrichien échoue.
On fait alors avancer l’infanterie en lignes, chaque compagnie ouvrant le feu et protégeant ainsi la progression de la ligne suivante, jusqu’à être au contact direct avec les Autrichiens …





Et la cavalerie déboule sur son flanc et ses arrières, taillant, fusillant et écrasant la piétaille ennemie.



Chasseurs à cheval de Hubert de Jagermeister et Dragons d’Auvergne d’Otto Amable Grandpieds mettant en déroute 2 lignes autrichiennes

Quand l’ennemi semble résister au choc initial, on le déborde et on lance le corps dans son intégralité. A plusieurs centaines de mètres, avant même que la charge ne soit lancée, les Autrichiens entendent le sol gronder sous la multitude des sabots français.





Les unités autrichiennes qui tentent de se mettre en carré sont anéanties par les salves de l’infanterie, qui accompagne la progression de la cavalerie. Les unités qui tentent de garder la ligne sont, elles, enfoncées et démembrées par les assauts des dragons, puis des grenadiers-à-cheval de la Garde du colonel-major Bravlyon.




La défaite autrichienne est consommée, l’ennemi laisse sur le terrain des milliers de morts – outre les soldats de l’Empereur d’Autriche, les milices levées en catastrophe à Prague quelques semaines avant la bataille.




Le colonel Maximilien Reborn n’a d’autre choix que de laisser les drapeaux de ses unités au Français, tandis que l’on compte les morts : 1.500 pour Rodo, 6.500 pour l’Autriche.

Les artilleurs de Boudi et Jmlo se sont illustré, même si les plus gros efforts ont été consentis par Bébert, Locke, et l’ensemble de la cavalerie française. En face, les femmes de Prague défilent dans les champs, cherchant ici un mari, là un frére.

Et de l’Autriche, d’ailleurs, que reste-t-il ? Plus grand-chose, 3 provinces limitrophes jouxtant l’Empire français et l’Empire Ottoman. Pour la 1ére fois, l’Empereur François II se met à la table des négociations pour valider la victoire française.
Après 2 ans de guerre continue, l’Autriche signe la paix tandis que les demandes françaises s’imposent : fin de la Coalition, fin des accords et alliances avec la Russie, la Suéde, la Prusse, l’Angleterre et plus généralement avec tous ceux qui ont, à un moment ou un autre, levé la main contre la France. Puis mise en place d’un embargo des produits anglais, et ouverture des derniers marchés autrichiens aux produits manufacturés français. Les Français ^pourront également faire circuler leur armée sur le territoire autrichien.

Vienne, Prague ? Rodo est intraitable, l’Autriche n’aura rien. Au loin, déjà, on entend les soldats français faire de Prague un exemple, pour que plus jamais l’Autriche ne se mette en travers de notre route sans en comprendre les conséquences. Les soldats fracassent les portes, pillent les maisons, abattent ceux qui tentent de protéger ici un poulailler, là un veau. On dérobe plus de 12.000 piéces d’or à la ville, ce qui permettra de continuer à construire des routes à travers un Empire toujours plus grand. François II quitte Prague les larmes aux yeux, tandis qu’ostensiblement, les Français proposent désormais de laisser la province aux alliés bavarois.

Ceux-ci rechignent : on a tout brulé, la Confédération du Rhin, tout juste naissante, ne doit pas être composée uniquement de cadavres, de ruines et de saboteurs … On leur laisse donc le Tyrol en attendant, puis on leur donnera Prague quand la paix civile sera rétablie.

La nouvelle fait grand bruit, et arrive aux oreilles des forces prussiennes. Pourquoi se jeter sur Ney désormais, si en retour Rodo peut déchainer toutes ses forces et faire disparaître le Royaume ? Côté français, on envoie Moradim à Varsovie, pour discuter avec von Palpatine. Moradim reviendra avec un traité de paix et, dans sa besace, le grade de colonel. Les Prussiens lâchent également leurs derniers alliés, instaurant ainsi ce que souhaitait l’Empereur depuis le début : la paix en Europe !





Oh, certes, ce ne sera que transitoire, on le sait. L’Angleterre est toujours l'ennemi à abattre, la Suède ne veut rien entendre et la Sicile continue inlassablement cette drôle de guerre dans laquelle elle n’a jamais combattue … quant à l’Autriche et la Russie, elles grignotent peu à peu les régions européennes de l’empire ottoman.

Reste que le continent est en paix. Rodo rentre à Paris pour l’inauguration de l’Arc de Triomphe, pour le 2 décembre 1806, tandis que Ney peut quitter la Prusse sans avoir subi l’ultime assaut prussien qui l’aurait détruit. Quant au colonel Moradim, il ne peut que remâcher les paroles que lui a glissé von Palpatine lors de la signature du Traité de paix : « Monsieur, avant le printemps, nous serons amenés à nous revoir. Ceci n’étant pas une menace, mais une promesse »
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  #110  
Vieux 26/02/2012, 20h54
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En voilà une paix juste et équilibrée.
Il est bien regrettable que certains s'obstinent à vouloir plonger l'Europe dans les affres de la guerre.
Mais je pense qu'ils recevront sans délai un juste châtiment !
Vive l'Empereur !
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"Je suis fasciné par l'air. Si on enlevait l'air du ciel, tous les oiseaux tomberaient par terre...Et les avions aussi...En même temps l'air tu peux pas le toucher...ça existe et ça existe pas...Ca nourrit l'homme sans qu'il ait faim...It's magic...L'air c'est un peu comme mon cerveau... "
Jean Claude VanDamme
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