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#11
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1511 -1520. Nouvelle chute de Vienne
D’ignobles manœuvres Mars… diaboliques ![]() ![]() ![]() Nos troupes d’élite reviennent à l’ouest à marche forcée tandis que la France fait face avec une bravoure qui tient du sublime : luttant à un contre 5, Paris fait feu de tous bois et repousse les Autrichiens perfides, pourtant superbement commandée par le génie du mal Von Frunsberg. Au sud, les Espagnols, commandés par un autre génie du mal, El Gran Capitan, percent plus facilement : la lutte est inégale, injuste, ignoble aux yeux du monde tout entier ![]() ![]() Avec l’appui de tous les bons musulmans et d’une immense majorité des catholiques, le miracle était inévitable : le 26 octobre 1513, Vienne, la capitale impériale, tombe sous les redoutables coups de butoirs ottomans ![]() ![]() Et les miracles vont continuer : la France merveilleuse, qui lutte toujours à un contre 5, va recevoir la bénédiction directe du Très Haut. Von Frunsberg est tué, puis El Grand Capitan ![]() En attendant, l’axe maléfique tente d’imposer la paix à l’innocent agneau français car ils ont senti que le vent de la guerre avait basculé : 50.000 Janissaires viennent de forcer l’implacable blocus naval espagnol et les précipitent au combat. Un premier combat, une armée Ibérique entièrement anéantie ![]() ![]() L’alliance Franco-Ottomane, juste et noble, dupée, trompée, poignardée dans le dos, accepte de céder le Hainaut à l’Autriche, mais jure de se venger : les méthodes Habsbourgs ont fait naître à Paris et à Constantinople une colère froide, légitime, implacable ![]() ![]() Dernière modification par Danton ; 24/08/2006 à 22h19. |
#12
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1520– 1530. Les Habsbourgs châtiés pour leurs crimes
L’Espagne déclare la guerre à la France en 1521, pour des motifs coloniaux particulièrement obscurs et Paris s’incline : son conquistador repart dans une autre direction, qui sied plus à Madrid, mais cela n’arrange en rien l’humeur d’une France toujours légitimement ulcérée par l’ignominie habsbourg de 1514 : l’heure de la vengeance a sonné ![]() Acte 1. L’Autriche paye Le cœur de la machination diabolique étant à Vienne ![]() ![]() Acte 2. L'Espagne paye Les armées franco-ottomanes repartent sans attendre plein sud et, en 1528, la guerre est déclarée, à l’Espagne cette fois : l’opération fut mal préparée ![]() Les Pyrénées sont rapidement franchies, l’avance est irrésistible mais les flottes combinées franco-ottomanes subissent un désastre retentissant dans le golfe de Lyon ![]() ![]() Acte 3. On solde les comptes avec l’Autriche Les armées franco-ottomanes, une fois de plus victorieuse, remontent plein nord et, en 1530, se lancent à nouveau contre l’Autriche perfide. Cette fois, le Ducaillon, bourré de remords ![]() La justice a enfin été rendue, les Habsbourgs ont faix pénitence : qu’ils prennent garde à ne pas répéter leurs crimes car les justiciers Franco-Ottomans veillent sur le monde, lui garantissant ordre, paix et stabilité. Loué soit ces deux justes, ces deux purs parmi les purs ![]() PS. Bon sang de bon sang, 3 dow contre des joueurs en 10 ans, on a battu tous les records là Dernière modification par Danton ; 25/08/2006 à 19h45. |
#13
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1531 - 1545. Nouvelle guerre contre l’Espagne
Une nouvelle affaire coloniale, fort sombre au demeurant ![]() ![]() Une garnison ottomane de 50.000 soldats est stationnée en France : sa première intervention est très remarquée : la bataille de Toulouse se solde par la destruction d’une armée entière espagnole (plus de 40.000 Ibères tués ![]() ![]() L’utilisation judicieuse de cette réserve très mobile et redoutable, en coordination parfaite avec les armées françaises, va permettre de refouler complètement l’envahisseur, qui emprunte alors des milliers de ducats pour mobiliser à nouveau, en masse. Les armées Franco-Ottomanes, d’une folle intrépidité ![]() 45.000 Janissaires embarquent à Constantinople et la flotte cingle fièrement vers l’ouest : elle est malheureusement interceptée et battue par l’amiral Ibérique Mendoza ![]() ![]() ![]() ![]() Malheureusement, dans sa hâte à venir en aide aux Français, Barberousse a oublié l’armée en Grèce ![]() ![]() Les frontières avec l’Autriche sont par contre blindées, mais le Ducaillon reste étrangement passif… Il nous refuse pourtant l’accès militaire, nous n’avons toujours pas compris pourquoi ![]() ![]() Pour éviter une défaite qui semble néanmoins se rapprocher de plus en plus (Paris avait déjà offert deux provinces européennes en échange de la paix), les Franco-Ottomans décident de tenter le diable : la flotte Ottomane, renforcée, unit ses forces à l’armada d’Annebaut et une nouvelle tentative de traversée de la méditerranée va se lancer… Des négociations de paix Franco-Espagnoles aboutissent enfin, la paix est signée et les flottes retournent au port. Dernière modification par Danton ; 25/08/2006 à 19h43. |
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