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  #101  
Vieux 28/08/2007, 16h42
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L'Espagne ne fait que confirmé par ces propos ce que nous avons déclaré précédement, contiuez vous aller dans notre sens.
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Vieux 28/08/2007, 18h17
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Déclaration Anglaise



Quand deux de nos colonies à peine implantées dans des régions où l'hostilité des autochtones est notée comme ' faible', voire même 'très faible', que ces deux colonies disparaissent simultanément suite à une double révolte indigène et que, enfin, deux colons étrangers partent immédiatement coloniser ces deux régions à peine vierges, il ne faut pas être devin pour deviner qui a armé ces indigènes.

Le coupable est celui qui envoit immédiatement ses colons. Le coupable est le seul qui se fait tout petit, espérant se faire oublier. Le coupable est celui qui sait que aucun de ses espions n'a jamais été capturés et qui pense le Roi d'Angleterre, loué soit-il , trop sot pour additionner un et un.

Le coupable n'est pas Venise. Le coupable n'est pas la France. Le coupable n'est pas l'Espagne.

Le coupable est le Portugal


Alors, Roi d'Espagne, vous qui avez tant hurlé votre désapprobation devant ces méthodes ignobles, qu'allez-vous faire à présent? Continuez à défendre de votre corps l'ingrat qui vous a abandonné? Qui a déclenché contre vous l'offensive Veneto-Anglaise? Qui vous a délibéremment menti sur sa participation à ce crime odieux?

Agissez ainsi et vous serez aussi coupable que lui, complice d'un crime que vous approuvez moralement. Agissez ainsi et ralliez le camp des comploteurs saboteurs qui n'ont même pas le courage de leurs actes. Agissez ainsi et tournez le dos à l'Honneur, la Justice, la solidarité chrétienne!

Faites votre choix et que le monde entier sache réellement qui siège en Espagne: un juste inquiet de l'équilibre mondial ou un forband prêt à soutenir tous les crimes pour maintenir son hégémonie et celle de son complice!


Aux yeux de l'Angleterre, le Portugal a payé pour son crime, mais notre Honneur nous interdit de voir ainsi accuser injustement des nations chrétiennes qui n'ont rien à voir avec ce crime. Londres constate aussi avec quelle facilité l'Espagne accepte pour argent comptant les déclarations d'innocence du Portugal, que personne d'autre n'a jamais vu d'ailleurs, mais s'obstine à accuser la France et Venise... Sachez que le Roi d'Angleterre n'est pas dupe, il sait.
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  #103  
Vieux 28/08/2007, 20h11
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***** Chroniques de la Sainte Russie *****

La victoire sur la Lithuanie

Les armées Lithuaniennes sont inombrable et submerge la république de Novgorog peu habituée à des combats sur une telle échelle. Le Conseil supérieur de la république proclame l'état d'urgence et le gel de tous les avoir étranger à Novgorod. 12.000 mercenaires Janissaires sont recruté à grand fraid ainsi que ll'instruction de 5.000 Cosaque Suplémentaire.
La terrible vague Lithuanienne sera finalement arretée par l'Hivers. Au Printemps, Novogord assigée pu etre dégagée par les armées reconstituées de la république. La contre attaque longue et méthodique commence. Au sud, dans les plaines, les combats de cavalerie font rage. Mais les armées républicaines sont irresistibles et finalement la Lithuanie devra ceder 3 provinces dont la ville de Tver à la république

Mercenaires en Italie

Pendant la terrible épruve de la guerre en lithuanie, le puissant et riche royaume d'espagne nous apporta une garnde aide financière. Mais la guerre éclata bientot à l'Ouest entre nations occidentale et nous offrimes nos services au roi d'Espagne. 12.000 Cosaques embarqué sur navires débarquèrent à Dantzig en pologne, traversèrent toute la pologne puis l'Autriche et enfin parvient en venetie, une ennemie de nos employeur espagnols. La Vallée du Po étant déserte, les cosaque de Novgorod se portèrent sur Ancone et livrant une batille à égalité numérique, écrasèrent les vénitiens faisant 2900 morts contre seulement 200 cosaques. Poursuivant les débrit vénitiens, les forces de Novgorod se firent surprendre dans les montagnes de Toscane dans une situation difficile. Alors que els combat faisait rage et tournait à la catastrophe, la nouvelled e la paix parvint sur le champs de bataille. Notre employeur faisait la paix et nos fiers cosaques retournèrent au pays avec l'impression d'un travail mal fait, d'un travail inachevé

Vive la Sainte Russie

La disparition du duché de Moscovie et de l'empire Byzantin laissait le monde orphelin d'un grand guide, d'un empereur. La montée en puissance du duché de Moscovie fut le signe pour le grand patriarche, que la pourpre impériale pouvait etre reprise afin de federer tous les orthodoxes. Le Patriarche offrit alors la courone de toute les russies à la plus illustre famille de Novogorod. La république marchande de Novgorod devenait ainsi le nouvel empire de Russie même si dans les faits, les anciennes institutions républicaines furent conservées et que la dignité impériale ne devint pas heréditaire mais elective sur le principe de l'ancien conseil de Novgorod.

La campagne de Kazan.

L'avénement de la Russie offrait la possibilité de revendiquer les terres de l'ancienne principauté de Kiev du IXeme siècle. La Russie entra en guerre avec Kazan et la Sibérie. Mais KAzan disposait d'une enclave en Crimée et heureusement le sultan Ottoman de montra coopératif. Kazan et la Sibérie furent reduite à leurs capitales et toutes leurs terres furent annexées.

L'accord avec le Sultan, la disparition de Kazan

Un accord fut finlement trouvé avec le sultan pour un echange de terre permettant la constitution d'une frontière sure entre les deux empires. Une 2eme guerre permis alors la conquete complete et définitive de la Sibérie et de Kazan.

La 2eme guerre de Lithuanie

La Lithuanie catholique comportait 50% de sa population d'origine russe et Orthodoxe. Apres accord avec la Pologne, une vaste offensive Russe débuta contre la Lithuanie. L'arme Lithuanienne comportait 45.000h et il faudra 3 années d'une campagne terrible pour aboutir aux obejctifs prevus. Toute la lithuanie orthodoxes fut annexée à l'empire de Russie.

Aujourd'hui la Russie est devenu une trés grande puissance par la force de ses armées....
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  #104  
Vieux 31/08/2007, 14h22
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Campagne du Mali: Juin 1553 – Mai 1555

Prologue : long préparatif. 1540-1553


Suite à la campagne du Zimbabwe, par nos conquistadors, Frise vit ses revenus exploser de près de cinquante pourcent, l’ouverture de Frise qui n’avait ramené que du prestige et de faible revenu, commencé à payer. Le Duc ne fut pas pour autant totalement rassasié, de l’autre coté de l’océan il voyait de nombreux galions partir vers la péninsule ibérique, chargé d’un butin phénoménal ! Il fallait continuer pour renforcer Frise face à ces vauriens ! Une expédition fut donc préparée pour conquérir les dernières mines d’or d’Afrique, celle du Mali.

La campagne fut préparée longtemps à l’avance, Frise devait déjà installer des bases coloniales vers la cote et l’intérieur des terres, et lancer son explorateur a la découverte d’un maximum sur le terrain avant d’engager le combat contre le roi nègre, il fallut près de 10 ans a Frise pour réunir ses moyens militaires.

Frise premièrement installa une colonie en cote d’ivoire après le massacre des indigènes par nos 4 milles cavaliers aux débuts des années 40, cette base devait servir de centre pour la découverte de l’intérieur des terres, mais aussi de centre de ravitaillement de notre flotte, pour enlever notre dépendance des colonies du Doge d’Afrique de l’ouest.

Le duché par la suite repartit vers l’est pour sa guerre contre le Zimbabwe.

C’est en 1546, avec la fin du conflit sur les terres d’Afrique de l’est, que Frise reprit ses préparatifs pour le Mali, le conquistador Enhard Bonga commença à découvrir l’intérieur des terres africaines, cartographiant méticuleusement les provinces frontalières des différents états africains. Après la cartographie une autre mission vint, face aux forces numériquement importante qu’avait à disposition le royaume du mali, Frise avait besoin d’un nombre important de terre où installait ses troupes, vu les faibles revenues qu’ont pouvait tirer de ces terres, c’est ainsi que impitoyablement les troupes Frisiennes chassèrent de la Cote du Poivre, de Konian et de Worodougou, les populations non civilisé pour y installer des colonies Frisienne, les préparatifs d’accueil de nos troupes fut finit en 1553, après plusieurs non-réussite de colonisation dut aux problèmes dont était secoué le duché, par la succession de souverain a sa tête.

La préparation des forces militaires pour ce conflit ne commença qu’en 1549, pour faire face aux nombres de troupes dont disposer le royaume africain, Frise recruta 8 mille cavaliers, et prêt de 8 mille arquebusiers dans les terres de Liège et du Luxembourg, où se trouvaient des manufactures ayant réussit à découvrir ces nouvelles technologies militaires.


En 1553, nos troupes étaient prêtes à l’action.






La guerre : 1553-1556.



Le lancement de l’opération fut fait en juin 1553, l’armé Frisienne comptait 12 mille chevaliers, soutenus par 8 k d’arquebusier suivant le modèle de Maurice de Nassau et 4k de lansquenet, et le Malien aligné quand a lui, une armée de 30 mille hommes, mais aussi une forte réserve de pauvre bougre, mobilisable.

La première phase de l’action était la plus délicate, il fallait réussir à mettre en déroute les 2 grands corps d’armé ennemi, le conquistador Enhard Bonga, grand stratège décida d’attendre que l’ennemie face une erreur, celle-ci vient au moi de juillet, le mali avait commencé à disperser ses forces armées pour tenir toute la frontière, cette manœuvre mit en position de faiblesse les troupes défendant leur capitale Niani, la cavalerie s’élança du Konian pour écraser les 8 milles qui restait, l’infanterie de Worodougou, constituait de 4 mille lansquenet et de 2 mille arquebusier, suivi la maneuvre.les forces ennemie furent culbuter en une dizaine de jour, ceci faisant retraite vers le gros de leur armé.

Une seconde erreur vint ensuite, le roi nègre voyant le Konian non défendu y lança une partie de ses forces, les restes des troupes Frisienne restées sur la coté y furent envoyés, après cette victoire toute les troupes néerlandaises furent lancées sur la province de Bouré, où stationnaient les dernières troupes fraiche de l’ennemie, ayant perdu leur moral, et plusieurs millier de ces hommes, la retraite était la seule solution.


Troupe de Frise en marche

L’armé de Frise commença une longe campagne de poursuite dans les régions côtières où avaient fui les troupes maliennes, Enhard Bonga ne voulant pas laisser une seule chance a l’ennemie de se réorganiser. Ce général n’ayant aucune des sièges, le duché dut envoyer un de corps de siège métropolitain, 4 mille lansquenets et 2 mille canonniers furent envoyé assiéger en décembre 1553 la capitale du royaume, celle ci tomba en octobre 1554.







L’année 1555 fut marqué en son début par le massacre total des corps de batailles d’avant guerre malien, l’armé put se tourner totalement vers la prise des régions aurifères, les garnisons de Bourré, Bambouk, Koumassi puis Djenné tombèrent tour a tour durant l’année et demi qui suivit, la cavalerie continua à poursuivre les troupes de maraudeur malien qui essayait de prendre nos colonies

En juillet 1556 la paix fut enfin signer à Walata, le Mali abandonne ses 3 mines aux ducs.

Le bilan de la guerre fut une victoire écrasante des troupes Frisienne qui ont montré des qualités manœuvrières de premier ordre, n’ayant subit aucune défaite. Pour un Frisien tué prêt de 3 maliens sont tombé, et ce ne sont pas maliens qui ont tué le plus de Frisien, la maladie a fait beaucoup plus de ravage que ces guerriers ineptes. Selon les dernières estimations, les pertes malienne ont été de prêt de 60 mille hommes, pour 20 mille Frisiens.
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  #105  
Vieux 01/09/2007, 18h35
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[1549-1561]


Journal : La Voie de la Vérité


Article :La dynastie ducale touchée par des morts inexpliqués.


Depuis la mort de notre bien aimé duc Willem Lodewijk I le 21 aout 1549, le trône de Frise subit une mortalité inconcevable ! Notre Duché est Habitué à cela, mais aujourd’hui cela dépasse tout ce qu’on avait connu ! Depuis sa mort jusqu’en 1561 se sont succédé 4 Duc sur le trône !

Ernst Casimir II : 1549-1550

Johan Willem III: 1549-1555

Johan Willem IV:1550-1560

Ernst Casimir III:1560-....

Ces morts ont crée beaucoup de rumeur dans le royaume, une partie la populace commença à croire à une malédiction divine, certain voulurent faire croire que cela venait d’un complot protestant, mais la majorité du peuple était instruite, et le dogmatisme n’avait que peu court a Frise, et le pouvoir balaya ces allégations.

D’autres rumeurs font état d’empoisonnement, mais aucun poison connu ne fut découvert lors des examens post mortem, mais les découvertes dans ces domaines allait plus vite que la médecine ; surtout avec la découverte d’herbe dans les terres d’outre mer !

Qui aurait bien pu vouloir tué nos souverains ? Nous pouvons déjà éliminer les états suivant, Venise, l’Angleterre et la France, avec lesquelles nos relations sont plus qu’honorables et qui n’aurait aucun intérêt a semé le trouble dans notre duché, nous pourrions penser a un complot Autrichien pour finir d’unifier le saint empire Germanique mais nos relations se sont améliorer, et sont aujourd'hui plus qu'amicale.

Que reste t'il donc?!

Deux royaumes ont peut-être des raisons de vouloir semer le trouble dans le royaume, l’un qui s’inquiète de notre progression en outre mer, et l’autre qui ne c’est peut être pas remit de notre alliance avec les Français, et oui les soupçons ce posent vers la péninsule Ibérique !

Aujourd’hui cette thèse est plus que accepter dans le duché, la fourberie étant une marque des peuples de cette région ! L’un corrompant les bourses des monarques, l’autre brulant les colonies de ses concurrents !

Nous demandons aujourd’hui à notre duc de tout faire pour arreter les actions de ces mécréants ! Que justice soit rendue!


Hector Hunk.
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  #106  
Vieux 01/09/2007, 19h15
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Vieux 01/09/2007, 19h32
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Missives diplomatiques


A notre amie l'Espagne
Cher cousin, votre situation fut délicate, lors de la dernière guerre. Afin de vous éviter un aurtre dilemne de ce genre, à l'avenir, nous venons en toute amitié vous rappeler cette maxime : "A vouloir satisfaire la plupart, on finit par mécontenter tout le monde"...

Au bon Sultan de constantinople
Grand sultan, l'Empereur considère avoir une dette envers vous. N'hésitez pas à nous la réclamer.


A tous les royaumes catholiques d'Europe
L'Empereur souhaite qu'une grande offensive de la part de toutes les nations catholiques, soit menée immédiatement pour faire barrage à l'hérésie protestante qui fait des ravages. Nous allons de ce pas en faire part à sa Sainteté pour qu'un Concile se réunisse. Cette offensive devra être la priorité des priorités. Tous les pays catholiques devront y participer, même si son territoire est actuellement épargné. La solidarité entre nations catholiques devra être de mise. Il en va de l'avenir de l'Eglise.
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  #108  
Vieux 02/09/2007, 12h10
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1550 – 1561. Pour une place au soleil





Acte I. L’échec des négociations avec le Portugal



Edgar III succomba un beau matin de mars 1554, laissant derrière lui une Angleterre plus prospère que jamais. Mary II lui succéda, première Reine depuis bien longtemps. Alors qu’Edgar avait concentré toute son attention sur le commerce, elle tourna de son côté un regard nouveau et bienveillant vers l’Asie, où l’Angleterre disposait désormais de 2-3 bases suite aux exploits d’Henry VII. Ce qu’elle vit ne lui plut pas du tout : le Portugal, après s’être approprié avec la plus grande sauvagerie l’Afrique du sud et l’Amérique du sud, récidivait à présent avec l’Asie : des dizaines de provinces étaient occupées. Non pas développées, mais bien occupées. Moins de 100 colons par province, le seul but étant de priver les autres pays d’un débouché qui revenait pourtant à tous . « Plus ils en ont, plus ils en veulent dirait-on » murmura avec tristesse la Reine. Lisbonne avait visiblement pour ambition de parsemer au moins la moitié du monde de ses colons…



Cela était naturellement inacceptable et le Roi de France décida d’organiser une grande conférence regroupant toutes les nations coloniales afin que celles-ci s’engagent à respecter les valeurs chrétiennes que tous étaient censés défendre. Deux points étaient à l’ordre du jour : l’interdiction des sabotages, méthode indigne entre chrétiens, et l’interdiction de thésauriser dans le seul but de priver son voisin, ce qui est pêché selon les préceptes de notre Seigneur Jésus. Venise, la France, l’Angleterre et l’Espagne donnèrent leur accord. Le Portugal, lui, refusa tout en bloc . Son Roi hurla que les sabotages étaient légitimes pour contrer toute tentative de colonisation « dans sa zone d’influence » et qu’il colonisait comme il l’entendait « dans sa zone d’influence ». L’Angleterre pacifique et bienveillante demanda alors en quoi consistaient ces « zones d’influence ». Stupeur et indignation, la « zone Portugaise » comprenait l’intégralité de l’Amérique du sud, l’Afrique du sud et les ¾ de l’Asie . Autant pour la solidarité et la tempérance chrétienne…



Le ton commença à monter et le Roi du Portugal se vanta publiquement d’avoir envoyé les saboteurs qui avaient détruit nos colonies d’Afrique du sud et d’Argentine : il avouait enfin . Après s’être si longtemps caché dans un silence coupable, après avoir laissé son allié Espagnol subir nos foudres pour ces destructions, après avoir laissé les nations chrétiennes et coloniales s’accuser les unes les autres, il avouait, les preuves rassemblées par l’Angleterre étant de toute façon irréfutables. Mary était pacifique, elle pouvait pardonner ces actions barbares, mais encore fallait-il qu’il y ait volonté de repentir… Tel n’était pas le cas et le Portugal refusa de réviser d’un iota sa très agressive politique coloniale . Quand deux positions sont inconciliables, l’heure des discussions est terminée… Les armes allaient parler . Le Roi de France admit l’échec de la conférence et s’en retourna navré à Paris.



Acte II. Une guerre mal embarquée



La guerre fut déclarée en 1558, deux David contre un Goliath, l’Angleterre et Venise contre le très riche Portugal. Celui-ci était aussi riche à lui seul que les deux David et il disposait surtout d’une avance technologique incroyable . L’Angleterre et Venise, unis maintenant comme il y a 35 ans, ne disposaient que d’un unique avantage, en théorie en tout cas : la supériorité numérique, terrestre principalement. Restait encore à pouvoir l’utiliser et la nature même de la guerre allait en fait rendre cela impossible, raison pour laquelle le Portugal allait en fait bénéficier de tous les avantages et prouver à tous qu’il était plus puissant que l’Angleterre et Venise réunis . Néanmoins, nous vaincrons quand même car le Très Haut est avec nous .



Le plan établi était le suivant : Venise devait concentrer ses efforts en Amérique du sud uniquement, contre l’ancien royaume Inca d’une part, contre le Brésil Portugais d’autre part. L’Angleterre, elle, avait aussi deux fronts principaux à gérer : le Brésil, où 20.000 de ses soldats devaient soutenir l’offensive Vénitienne, et l’Asie, où un corps expéditionnaire de 12.000 soldats devait prendre l’offensive, en coordination avec les garnisons locales.



L’Amiral Richard Uxbridge, dès que la guerre fut déclarée, quitta nos villes d’Amérique sous les acclamations de la foule en délire : il partait pour l’Asie, remplir la mission que Londres s’était fixé . Après avoir traversé l’atlantique, il dut faire escale dans les ports Vénitiens d’Afrique de l’ouest, les navires ne pouvant supporter sans réparation une aussi longue traversée. Là, nos alliés lui apportèrent les dernières nouvelles : s’ils avançaient un peu dans l’ex-royaume Inca, c’était l’échec total au Brésil et les réserves Anglaises devaient intervenir pour relancer l’offensive.



C’est à ce moment que Londres constata que, dans son enthousiasme à envoyer en Asie son corps expéditionnaire, elle avait comme qui dirait oubliée d’envoyer les 20.000 soldats prévus au Brésil . Seuls 8.000 étaient présent et ils reçurent ordre de rallier nos alliés. Richard Uxbridge décida cependant de passer un savon aux officiers du corps expéditionnaire qu’il convoyait, partant du principe que tous les officiers de l’armée de terre étaient les mêmes. L’envoyé spécial de Mary II, l’illustre Danton , réputé pour son habileté technique avec les nouvelles technologies ( micro, hauts-parleurs et autres ) s’en alla réunir ces vétérans.



(Lord Danton) « Amiral, euh, il y a comme un problème… »

(Richard Uxbridge) « Nous n’avons débarqué que 8.000 hommes auprès de nos alliés Vénitiens, je sais, mais voyez le temps qu’il nous a fallu pour traverser l’Atlantique ! Non, nous allons remplir notre mission puis nous reviendrons, tout ira bien, vous verrez. Bon, où sont les officiers, que je les tance un peu pour cet oubli impardonnable »

(Lord Danton) « Il n’y a pas d’officier de l’armée de terre ici, pas un seul »

(Richard Uxbridge) « Comment ? Mais qui va commander les troupes alors ? Je suis un marin, moi, pas un général ! »

(Lord Danton) « Il n’y a pas de troupes non plus »

(Richard Uxbridge) « Plait-il ? »

(Lord Danton) « Nous les avons aussi oublié , elles sont toujours en Amérique »

(Richard Uxbridge) « Comment ? »

(Lord Danton) « C’est la faute de Marseillais »

(Richard Uxbridge) « Mais, mais, mais… Vous êtes certains au moins que nous sommes en guerre ? »

(Lord Danton « Oh oui, cela aucun doute ! Nous avions juste oublié qu’il fallait des soldats pour faire la guerre … Bon, on fait quoi là ? Nous retournons les chercher ? »

(Richard Uxbridge) « Surtout pas, nous serions la risée de tous ! Euh, faisons comme si tout allait très bien, cela trompera l’ennemi , vous verrez. Bon, continuons vers l’Asie et espérons que les garnisons locales suffiront »



Et c’est ainsi que la Royal Navy reprit sa route vers l’Asie, avec pas un seul soldat embarqué . Au large de l’Afrique du sud, Richard Uxbridge croisa une petite flotte Portugaise, qui s’échappa péniblement, y perdant la moitié de ses navires.







Cette victoire, toute limitée qu’elle fut, n’était pas sans importance : elle semblait prouver que le Portugal rassemblait ses navires au Brésil. La flotte Anglaise d’Asie se décida alors à quitter ses ports et convoya les troupes de garnison en Australie : ce fut un désastre, nos troupes se sont fait tailler en pièces . Au Brésil, nos soldats engageaient eux aussi les hostilités, pour un résultat identique…







Richard Uxbridge se sépara de quelques navires, qu’il envoya renforcer la flotte d’Asie et repartit pour l’Amérique : il errait comme une âme en peine depuis 18 mois, cela devait cesser et il fallait repartir sur de meilleurs bases. De fait, l’Angleterre s’était complètement fourvoyée, suite à une préparation des plus catastrophique et quelques oublis… Il fallait redresser la situation, et vite. De nouvelles garnisons locales levées en Asie nous permettent de brûler quelques colonies Portugaises en Indonésie puis, surtout, de reprendre l’avantage en Australie, où le centre de commerce d’Eoza tombe entre nos mains. Le conquistador George Blake pousse son avantage et s’enfonce à l’intérieur des terres, où il triomphe une fois encore des armées Portugaises.







Au Brésil, par contre, c’était la déroute la plus complète et les armées Portugaises, désormais trois fois plus nombreuses , étaient passées à la contre-offensive : les positions Vénitiennes tombaient les unes après les autres. Il fallait envoyer des renforts décidèrent les deux David. Mais la flotte Portugaise de l’Amiral Uriel de Queirez veillait : elle tomba à l’improviste sur les navires Vénitiens et envoyèrent par le fond les ¾ de ceux-ci. Sans navires, pas de renforts et sans renforts pas de victoire possible . La situation devenait des plus tragiques , le très riche et très puissant Portugal semblait déjà avoir, après deux ans de guerre seulement, la victoire à portée de main… Il fallait réagir ! Et commencer par ce qui aurait du être fait il y a deux ans déjà : débarquer des renforts auprès de Venise en Amérique du sud.



Alors que la Royal Navy approchait du Brésil, avec des troupes à bord cette fois, un cri d’alerte fut lancé : le pavillon d’Uriel de Queirez, le boucher des Antilles ! Hurlant et vociférant, Richard Uxbridge oublia ( c’est une habitude chez lui ) les troupes terrestres qu’il convoyait et cingla à toute allure vers le Portugais, afin de venger nos alliés de Venise. Manœuvre d’une folle audace qui sentait bon le quitte ou double : si la Royal Navy était vaincue, la guerre au Brésil était perdue et le retour d’Uriel de Queirez en Asie aurait scellé de même tout espoir de victoire sur ce front. La victoire ou la mort !



Un 9 au choc pour l’ennemi, c’est bien partis







Victoire !







Les pertes cependant ont été lourdes, supérieures même de notre côté malgré notre victoire et notre supériorité numérique : un appel est donc lancé aux débris de la flotte Vénitienne et le Doge y répond favorablement. Sa flotte nous rejoint pour une nouvelle bataille contre Uriel de Queirez .







Cette fois, la victoire est sans appel







La flotte de Venise, fortement endommagée par les combats, rentrent au port, mais pour la Royal Navy l’heure n’est pas venue de se croiser les bras : Richard Uxbridge poursuit les Portugais en déroute et les écrase deux fois de plus avant d’en terminer une fois pour toute le long des côtes du Brésil .







Uriel de Queirez parvient enfin à se replier dans un port Portugais, la flotte Anglaise, très sérieusement endommagée, se replie avant que l’usure ne la décime. Immense victoire navale pour l’Angleterre et inespérée bouffée d’oxygène pour la coalition, qui est passée de la retraite au Brésil à la déroute la plus complète . Les renforts finalement débarqués par Uxbridge sont taillés en pièce par des Portugais trois fois supérieurs en nombre aux troupes coalisées : la supériorité numérique de l’alliance n’était-elle pas son seule et unique avantage ? Où est cette supériorité ????



Néanmoins, Londres ne perd pas espoir, le moral gonflé à bloc par sa victoire navale, et le conquistador George Blake apporte une nouvelle victoire au Royaume







Victoire qui malheureusement qui lui coûte la vie





Le très riche et très puissant Portugal, malgré sa défaite navale, conserve l’avantage, après trois années de guerre, mais au Roi du Portugal nous disons ceci : la guerre ne fait que commencer.



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Vieux 02/09/2007, 13h23
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La position diplomatique française durent les années 1550-1561



Depuis la fin de sa dernière guerre contre l'Espagne, le Portugal et la Pologne, le royaume de France vivait des jours de paix. Toutefois, notre bon roi savait pertinement que la paix ne dure que le temps que se forge les novuelles ambitions. Il ne fallait donc pas se reposer sur le confort de la paix et perpétuer la tradition française d'une intense diplomatie pérenne. Auréolé de sa gloire récente suite à la libération de Jerusalem, le roi de France se senti le devoir de trouver des issues pacifiques aux problèmes de ce monde. Il s'attela d'abord à celui générateur de multiples conflits depuis 80 ans : la colonisation.

En effet, chaque pays avait sa propre politique et philosophie coloniale. L'Angleterre et la France misait sur un développement lent mais sur, l'Espagne et le Portugal avait choisi une voie opposée. Les nouveaux coloniaux, quant à eux, s'étaient contentés des restes et/ou avaient usé de la force pour aggrandir leur zone d'influence. Les deux anciens adversaires de la guerre de Cent Ans maudissaient le recours à une pratique dite de coloriage qui n'avait que pour conséquence d'attiser les envies et les rancoeurs. Les nouveaux coloniaux, principales victimes de ces coloriages par la diminution des espaces libres, portèrent crédit aux dénonciations franco-anglaise et embrassèrent leurs idéeaux.

L'autre problème colonial consistait à une pratique que l'on ne peut vraiment pas qualifier de chrétienne et qui reposait sur le péché de convoitise : le financement de révoltes autochtones dans de jeunes colonies. Ce problème fut rencontré par deux royaumes : l'Angleterre et Venise. Très vite leur soupçons portèrent sur le royaume du Portugal. Il semblerait, suite aux dernières révélations, que cela soit exact mais la prudence est de mise dans cette affaire. Quoiqu'il en soit, cette méthode attisa la rancoeur des anglo-vénitiens face aux Portugais, déjà champion du coloriage de carte depuis que l'Espagne s'était rangée, il y a quelques années, à l'idée d'une modération coloniale.

C'est ainsi qu'en 1556, le roi de France contacta les différentes cours des royaumes coloniaux pour trouver une issue pacifique et chrétienne à ces problèmes. A la table vinrent les envoyés du roi d'Angleterre, d'Espagne, de Venise, du Portugal. Le roi de Pologne dépêcha également un ambassadeur pour se tenir au courant des décisions qui seraient prises. Très vite, les participants purent se rendre compte de la tâche colossale qui les attendaient, notamment devant les ressentiments anglais et la faible volonté de modération portugaise.

Aussi étonnant que cela puisse paraître, c'est en Espagne que la France trouva son meilleur soutien pour mettre cette assemblée sur la voie du succès. Dans un trop rare esprit de sagesse, le roi d'Espagne comprit qu'il y avait tout intérêt à s'entendre. C'était une carte de la paix de l'Europe que nous jouions. L'échec fut à la hauteur des espoirs de paix.

Face à l'empressement anglais, à l'intransigeance portugaise, l'influence hispano-française ne put rien. Et c'est ainsi, avec un profond dépit, que le roi de France appris que l'Angleterre et Venise venaient de déclarer la guerre au Portugal. L'assemblée avait vécu et avait échoué.

Il nous fallut très vite savoir ce qu'il convenait de faire. Il n'était pas question pour nous d'entrer en guerre contre le Portugal, même si nous récusons sa politique coloniale, eu égard à notre volonté pacificatrice récente. La meilleure solution restait la neutralité sans cacher que nous n'étions pas défavorable à une issue qui permettrait une redistribution des terres. Dans le même temps, l'Espagne sembla hésiter quelque peu. Elle suivit après quelques jours de réflexion son allié agressée.

La France ne pouvait tolérer cela. Nous n'avions aucune envie de faire la guerre à l'Espagne, nos griefs respectifs ayant été soldés lors de la dernière guerre. Mais nous ne pouvions laisser faire la première puissance du monde. Elle aurait déséquilibrer incontestablement le conflit en faveur du Portugal. Victorieux, celui-ci n'aurait jamais eu raison de mettre fin à sa politique coloniale et de choisir la voie de la modération. D'autre part, nous savions l'Espagne dans les mêmes dispositions que nous à cet égard, aussi seul la loyauté envers son allié pouvait la guider mais sans avoir la conviction du coeur.

Contraint, le roi de France dù faire pression sur l'Espagne pour l'inciter à rester en dehors du conflit et l'obliger à signer une paix blanche immédiate avec Venise et Angleterre. Celui-ci s'y résolut sans manquer de demander l'indulgence des adversaires du Portugal et leur modération pour pouvoir construire un avenir de paix.



Diplomatie :

- Cher Empereur, nous avons été informé de la teneur de votre récente déclaration. Croyez bien que le fléau qui se répand en Europe nous préoccupe autant que vous. Malheureusement, et malgré nos actes en Jérusalem, Dieu ne semble toujours pas vouloir nous accorder son pardon. Il refuse de stopper l'hérésie sur nos terres et ne nous offre pas les moyens d'y faire face (30 de rois pourris en administration). Nous prions le Seigneur intensément pour laver nos fautes.

- Aux anciens participants de l'assemblée des Coloniaux, la France maintient sa position vis à vis des deux problèmes exposés lors de cette assemblée. Elle demeure également dans un soutien neutre vis à vis de l'Angleterre et de Venise et demande à l'Espagne d'en faire autant vis à vis du Portugal. Néanmoins, nous faisons savoir à tous que la France défend l'Angleterre et Venise parce qu'ils se sont placés comme défenseurs d'un partage colonial. Dans cette optique, la volonté de redistribution des colonies portugaises non développées est comprise et c'est en cela que nous les soutenons.

- Au roi de Pologne, nous nous réjouissons à l'idée que vous puissiez comprendre quelle folie guida vos aieux lorsque vous nous fîtes la guerre. L'ironie du sort vous a montré que vos anciens amis dispendaient plus généreusement leur or à l'Empereur qu'à vous. Nous continuerons à ignorer la Pologne sur la scène internationale. Ce n'est pas nous qui avons fait la guerre à l'autre par le passé. Ce n'est donc certainement pas à la France de faire le premier pas et le premier geste.

- Au roi D'Espagne, votre intervention malheureuse contre le Sultan peut porter préjudice à notre accord avec ce dernier sur la souveraineté de Jerusalem. Nous ne saurions tolérer que vous mettiez à nouveau en péril le tombeau du Christ par vos aventures exotiques.

- A toutes les cours du monde, la France fait savoir qu'elle vend son monopole sur le centre de commerce de la capitale.
__________________
VIVE LA FRANCE !!!
VIVE L'OM !!!
VIVE LE ROI DES rois !!!

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  #110  
Vieux 04/09/2007, 17h00
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Honorable posteur
 
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Diplomatie:

A toute les nations Catholique: Frise a aujourd'hui décidé de mettre fin à la liberté que le Duché avait laissé au peuple de Trève, leur passage a la religion protestante a profondèment choqué le Duchet, cela en est trop! La province de Trève sera annexé bon grès malgrès, ils insultent la couronne!
Notre position de tolérance envers nos sujets protestants continuera tant qu'ils n'intrigueront pas et qu'ils ne chercheront à répendre leur religion.
Nous demandons a toute les nations catholiques de mettre fin à ces états hérétique!
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