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Très ressemblant
Superbe AAR, très amusant ... il faut dire que l'on retrouve bien le profil psychologique des franconautes
Citation:
sa coque est très solide (pour résister à la pression) c'est un cible très petite, très basse, facilement caché par la houle. historiquement, beaucoup de navire marchand isolé ont été coulé au canon par les U-Boot qui préservaient ainsi leur stock de torpille très couteuse. (le ratio de cout obus/torpille est de 1/1000 ) Voili, voilou
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Un Worms peut en cachez un autre |
#92
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Citation:
bah en fait faut mieu eviter de se prendre le moindre obus ... c'est un peu le problème dans ce jeu pour eviter les chasses en surface je trouve que les degats subit par canon sont carrément méchant (perte d'autonomie, perte de controle (profondeur et roulie, ...) bref si t'as pas envi de te retrouver coincé au milieu du pacifique soit t'evites les combats en surfaces soit tu sauvegarde et recharge si t'as un problème PS : je note que je suis jamais dans les aar bande de fourbes ...sauf un dans un avion qui devait se cracher sur une ile deserte mais qu'est resté en l'air
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Loose, Jambon et Fromage |
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Probleme de save, je n ai pas reussi à rechargé la mission.
Heureusement il y a un autosave à chaque ravitaillement : J ai donc repris depuis Midway et rejoint la zone où l'on était arrivé : En chemin, j ai coulé 2 cargos, égalant le tonnage dans l'ancienne save.... Les 3 Glorieuses : 18-19-20 Mars 1942 Alors que l USS Grampus poursuit sa route vers notre zone de patrouille au sud de l'archipel d'Okinawa, le matelot Herman Sentenza affecté à la vigie signale un panache de fumée au 270 en fin de journée ... 'Kapitan, gross fumée zu 270 !' Il a un drôle d'accent cet Herman.... Saisissant mes jumelles, j'observe dans la direction indiquée et constate également le signe révélateur d'un navire dans les parages Malheureusement, le radar indique que le navire fait route vers le Nord Est, alors que l'USS Grampus file au Sud Ouest. De plus, impossible d'apporcher en plein jour vers le marchand japonais sans être repéré. Nous allons donc marcher en parallele à distance respectable et repiquer vers la cible dès que la nuit sera tombée... Un peu avant 22h00, nous arrivons en position. Notre sous marin est immergé pour éviter d'être repéré et j'observe le navire japonais à travers le périscope d'observtion qui approche sans se douter de notre présence. Notre cible, un petit cargo cotier de 1600 Tonnes. Une premiere torpille est lancée, mais un peu dans la précipitation : Elle explosera dans le sillage du navire, sans provoquer des dégats critiques. Mais l'impact semble avoir endommagé les moteurs du navire, qui ralenti: Sa silhouette quasi immobile se dessine dans le soleil couchant à travers le périscope : Une cible facile. Une seconde torpille est tirée : Notre deuxième torpille déchire littéralement le navire japonais qui s'embrase... Quelques minutes plus tard, il ne reste qu'une tache de mazout à la surface qui signale la dernière position du cargo nippon. Nous sommes encore à plusieurs jours de notre zone de patrouille : Pas le temps de trainer, Cap au Sud Ouest Le lendemain, un peu après midi, le matelot Duncan Danton, de quart au poste radar, signale un nouvel echo au 327 faisant cap au Nord Est. Un rapide coup d'oeil à la carte, et je calcule un point d'interception : Mes estimations sont bonnes et 15mn plus tard, le panache de fumée du navire japonais approchant confirme mes calculs A 13h30, la silouhette du navire japonais se dessine parfaitement à travers le périscope. Un petit cargo de 1700T. Cette fois ci pas de précipitation. J'attends le moment opportun avant de tirer. Pas question de prendre des risque et de gaspiller nos torpilles, dont la réserve est déjà bien entamée... La torpille heurte le navire ennemi directement sous la passerelle, le touchant à mort. L'eau s'engouffre alors rapidement dans les compartiments du cargo le faisant dangereusement giter sur tribord, avant de l'envoyer finalement par le fond. L'USS Grampus fait alors surface à quelques metres du naufrage, permettant à notre équipage de constater le résultat de notre attaque. Mais le Dieu de la guerre est à nos cotés, (ce qui compense l'incapacité chronique de notre équipage). Dans la soirée, un nouvel echo est signalé au radar par le matelot Edgar TahitiBob affecté au quart de nuit. Même topo : On calcule un point d'interception en fonction du cap et de la vitesse estimée du navire ennemi : Arrivé au point estimé, nous passons en profondeur périscopique, moteur à l'arret, tel un chasseur à l'affut attendant patiemment sa proie. Régulièrement, je demande les informations à notre poste d'ecoute hydrophonique. Le matelot Austin Tcao me donne régulièrement le signalement du navire japonais en approche. Celui ci bien evidemment ne se doute de rien et continue sa route Finalement, comme prévu, un peu moins d'une heure après le premier contact, le navire japonais se dessine clairement à travers le périscope. Cette fois ci c'est un vieux et gros cargo : plus de 6000 Tonnes. Il va falloir plusieurs torpilles pour en venir à bout... Je décide donc d'envoyer une salve de 3 poissons. Cette fois ci nos torpilles font mouche et heurte les flancs du cargo ennemi Sur le pont, c'est l'enfer, les incendies font rage et les seuls quelques rares survivants parviennent à mettre un canot à l'eau Quelques minutes plus tard, le cargo s'enfonce par l'arrière dans les profondeurs de l'océan Pacifique Notre sous marin fait alors surface croisant à quelques metres les marins japonais souquant ferme pour séloigner du lieu du naufrage Et c'est alors que l'incident se produit. Le matelot Huck Bubu, dont le frère avait péri lors de l'attaque de Pearl Harbour, et frustré de son peu d'action (affecté au poste de DCA, il n'a encore tiré aucun obus), s'empare soudainement du canon de 20mm, et vide un plein chargeur sur le canot des japonais l'envoyant par le fond..... Nous transmettons donc nos derniers rapports au SubPac ...et continuons notre route vers notre zone de patrouille. Mais alors que nous sommes encore à plusieurs jours de notre destination, nos réserves en torpille sont bien entamées 3 torpilles à l'arrière 6 torpilles à l'avant, et 1 en réserve |
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Effectivement à la vue diminuante de notre stock de torpilles et l'absence d'escorteur japonais, nous allons privilégier l'attaque au canon des navires japonais isolés.
Notre première victime sera un petit pétrolier. La tactique est de calculer son cap, de rester en plongée jusqu'à ce qu'il soit à portée et de faire surface subitement pour l'attaquer au canon. Les marins de ce pétrolier ignorent à ce moment qu'ils vont servir de cobayes à notre nouvelle tactique : L'USS Grampus se met en route jusqu'au point d'interception Une trentaine de minute plus tard la fumée de cheminée de notre cible est repére, indiquant l'inévitable rencontre... Le navire est maintenant proche: Consultant notre manuel d'identification, je compare la silouhette du navire : C'est un petit pétrolier de 1500 Tonnes. Je rabaisse le périscope et ordonne de faire surface. Déjà les servants du canon sont au pied de l'échelle de coupe, prêts à bondir sur le pont. Aussitot, nos deux servants font rugir notre pièce d'artillerie, et les premiers obus pleuvent sur le pétrolier (L'offcier marinier Griffon a quleques problemes de calvitie naissante...) L'équipage japonais tout d'abord surpris par cette attaque se ressaisit et lance ses machines à fond pour tenter de s'échapper alors que les premiers incendies font rage sur le pont Mais peine perdue, déjà l'eau s'engouffre à travers les coursives du pétrolier Finalement, les japonais décident d'évacuer le bord, les flammes ravageant maintenant la quasi totalité du navire L'USS Grampus quitte alors la zone, laissant le petrolier glisser lentement dans les profondeurs de l'océan
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In The Navy !!! Elvis, Maréchal d'Empire 1806 Elvis, Maréchal d'Empire 1809 Elvis, Maréchal d'Empire 1812 Dernière modification par Elvis ; 24/03/2008 à 21h22. |
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L'attaque au canon sur les petites proies (et même sur quelques gros tankers gonflés de pétrole) est toujours quelque chose d'aussi jouissif... rien de tel que voir l'ennemi apeuré dans le blanc des yeux, et non par le biais du périscope.
Les torpilles, c'est bon pour l'attaque des convois ou des batiments de guerre, ou quand les conditions climatiques sont mauvaises... mais face à un ennemi isolé et franchement inoffensif à plus de 100 métres, c'est un bon moyen de faire prendre l'air à l'équipage et de garder des suppositoires en stock pour les grosses rencontres |
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22 MARS 1942
Nous recevons l'ordre du SubPac de nous dérouter pour patrouiller en Mer de Chine. L'idée ne me plait pas trop car cela nous eloigne encore plus de notre base, et nous enfonce en plein territoire ennemi. De plus la profondeur de l'océan dans cette zone est faible et donc peu enclinte à nous protéger en cas de mauvaise rencontre Mais les ordres sont les ordres et je trace une nouvelle route vers notre nouvelle affectation. Sur la carte, des petites marques marquent avec succès notre périple le long des cotes orientales du Japon Mais notre patrouille reste infructueuse. Bien que le radr est repéré quelques contact, il nous est impossible de les intercepter, surtout en surface quand certains des cargos sont armés de canon qui pourraient nous mettre à mal... Finalement le 26 Mars, à Pearl Harbour, on décide que nous serons plus utile ailleurs, dans le detroit de Luzon. Nouvelle que j'accueille avec soulagement Enfin, le 28 Mars, par un temps excecrable, nous interceptons un cargo japonais chargé de matériel militaire : 3 chars sont arrimés sur le pont A travers, le périscope , la visibilité est réduite, et il nous faut nous approcher à courte distance pour distinguer le navire ennemi et lancer nos torpilles Au milieu de la tempete, l'équipage déjà secoué par une forte houle et mis au bas de leur hamac par l'impact de notre torpille Rapidement, les flammes embrasent le navire que les japonais abandonnent L'USS Grampus fait alors surface pour observer les derniers moments du cargo nippon qui s'enfonce dans l'océan L'équipe de vigie emmenée par l'Enseigne Marius ont revetu leur ciré pour affronter la pluie qui s'abat sur la passerelle Ok, les gars on rentre à Pearl Nos réserves de torpilles et gasoil sont quaisment épuisées, et l'équipage a besoin de se relacher... Le 19 Avril, l USS Grampus rejoint sa base à Pearl harbour au milieu de la nuit Nous arborons fierement nos victoires : 28344 Tonnes ont été coulées L'Amirauté sait reconnaitre ses éléments de valeur et c'est ainsi que je recois La Médaille d'Honneur Pour l'équipage, 2 Bronze Star et 5 promotions sont à attribuer.... |
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La médaille d'honneur du congrès, pour 10 pauvres coquilles de noix?!
C'est drôlement bien payé! Si au moins tu t'étais farci un PA ou un Cuirassé...
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Bon... J'ai peut-être fait quelques petites concessions... |
#98
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Sont Décorés de la Bronze Star pour leur magnifique action au combat :
L'Officier Marinier 1ère Classe Eugene Griffon L'Offcier Marinier 2ème Classe Talbot Jmlo Sont promus avec spécialisation Torpille : Le Premier Maitre Tucker Bartimeus L'Officier Marinier 3ème Classe Eli Cypho Le Premier Maitre Lewis Univerzz Sont Promus avec spécialisation systèmes : L'Officier Marinier 3ème Classe Duncan Danton L'Offcier Marinier 3ème Classe Austin Tcao |
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Bravo ... (foule en délire) ... , excellent on s'y croirait
Par contre la médaille du congrès on dira que les developpeurs sont gentils A+
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Un Worms peut en cachez un autre |
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Ca me rappelle la série des X-Wing (inspirée de la Guerre des Etoiles) : on gagnait plein de médailles en chocolat (mais on dégommait l'Etoile de la Mort, quand même)
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Ce sont les événements qui commandent aux hommes et non les hommes aux événements. Hérodote Rien n'arrête le progrès. Il s'arrête tout seul. Alexandre Vialatte |
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