Bernard Werber

[Beren1983]

bon moi j ai tout lu jusqu' à l'arbre au possible.
alors la trilogie des fourmis: lu une première foi au collège bien aimé mais la relecture ma déçu
les tanatonaute et l'empire des anges bien aimé le principe mais les fin qui se répette pas top
le père de nos pères : moais
l ultime secret bof
l'arbre au possible je m en rapelle plus du tout donc faut voir comme ca m a marqué
ESRA: sympa mais attention aux invention de Werber au milieu de truc juste.
Le livre du voyage j'ai adoré
mais pour le bilan fénéral je vous rejooint un auteur qui ne renouvelle pas ses idées et en plus métrisant avec ses lecteurs (mauvaise expériance personnelle)

[Schnick]

ESRA : Tu parles de quoi ?

Même question pour "méprisant pour ses lecteurs"

Sinon contrairement à toi, j'ai beaucoup aimé le père de nos pères. C'est toujours sympa comme idée et original, je trouve.

Par contre, si tu pouvais faire un tout petit effort pour l'orthographe

[Massassa]

Moi aussi, je suis intéressé par les questions qu'a soulevé Schnick...

Petit article intéressant, en attendant: (source: www.afjv.com)

04 Juillet 2006 - L'écrivain Bernard Werber est surtout connu du grand public pour sa trilogie des Fourmis, déjà adaptée en jeu vidéo en 1999. Grand amateur de plaisirs numériques, cet auteur d'exception récidive avec Nous les dieux, un jeu en préparation qui s'inspire de son ouvrage éponyme. Nos confrères du JDLI l'ont rencontré afin de mieux connaître son rapport au jeu vidéo.

Bernard Werber, un écrivain contemporain à succès fan de jeu vidéo


Il revient sur les similitudes entre les domaines de la littérature et de la création de jeux vidéo, mais également leurs principales divergences car si tous deux ont pour base "d'avoir envie de raconter une histoire, qu'elle soit interactive ou linéaire", le joueur n'y joue pas le même rôle qu'un simple lecteur puisqu'il "a sa part à raconter dans l'histoire, il est acteur et spectateur de ce que l'auteur lui propose". La grande différence réside donc dans l'interaction selon Bernard Werber.

L'auteur prend également clairement position dès sa première réponse en qualifiant le jeu vidéo et l'écriture comme étant "deux arts". Une position qu'il appuie également en fin d'entretien avec la déclaration : "le jeu vidéo est un art à part entière". Un point de vu atypique pour un écrivain mais que ce fan de Civilization, Baldur's Gate et de Doom explique par son implication dans le monde du jeu depuis de longue années. Il explique d'ailleurs que le jeu, au même titre que le cinéma, fait partie de la genèse de ses oeuvres, qu'en écrivant, il "pense toujours à ce que pourrait être l'histoire du point de vue d'un autre art". Ce qui facilite évidemment ensuite les différentes adaptations, dont celle de Nous les dieux qui s'inscrit dans la trilogie Le cycle des dieux.

Le jeu proposera donc aux joueurs d'entrer à l'école des dieux et d'avoir "l'actualité comme matière", de pouvoir "agir sur elle" tout en prenant compte des "données de notre monde actuel". Enfin, Bernard Werber revient sur la limite technologique dictée par le budget, le fait qu'une histoire linéaire peut être aussi attrayante qu'une histoire qui laisse de la liberté au joueur, ou encore sur l'importance du travail d'équipe lors de la création d'un jeu, une différence fondamentale pour un écrivain. Bernard Werber est donc un personnage intéressant et intéressé, qui n'a pas fini de faire parler de lui dans le monde du jeu vidéo...

[Geek lâcheur]

Envoyé par Schnick

ESRA : Tu parles de quoi ?

ESRA : Encyclopédie du Savoir Relatif et Absolu


pour le jeu en preparation, j'espère qu'il seras mieux que le 1er (que j'avais).

le concept était amusant, mais mal réalisé.

[Schnick]

Envoyé par zerfougnou

ESRA : Encyclopédie du Savoir Relatif et Absolu

Suis-je con !