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#1
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Mouais ... quoique ... Si tu claques, il y a bien une niéce, Gaspardine Darthmath, qui irait frotter ses jupons à la soldatesque prussienne pour obtenir des informations de premiére main. ![]() Bref si j'étais toi, je prierais pour ne pas mourir ![]() |
#2
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![]() ![]() Dans la famille, nous ne faisons pas de concessions ... d'aucune sorte ... c'est pourtant connu !! ![]() ![]()
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"In war, truth is the first casualty" - Eschyle. "You know, in this world, there's two kind of people, my friend. Those who have a loaded gun, and those who dig in. You dig in ..." ![]() |
#3
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Il va y'avoir du sport, ça tombe bien les godons aiment ça.
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"Je suis fasciné par l'air. Si on enlevait l'air du ciel, tous les oiseaux tomberaient par terre...Et les avions aussi...En même temps l'air tu peux pas le toucher...ça existe et ça existe pas...Ca nourrit l'homme sans qu'il ait faim...It's magic...L'air c'est un peu comme mon cerveau... " Jean Claude VanDamme |
#4
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Ah tiens, "godon", je ne connaissais pas, j'ai appris une nouveau mot à charge contre les Anglais aujourd'hui (et pourtant on en a déjà une floppée
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#5
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C'est un souvenir de la guerre de Cent ans. Parait-il que Jeanne d'Arc aimait bien l'employer.
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"Je suis fasciné par l'air. Si on enlevait l'air du ciel, tous les oiseaux tomberaient par terre...Et les avions aussi...En même temps l'air tu peux pas le toucher...ça existe et ça existe pas...Ca nourrit l'homme sans qu'il ait faim...It's magic...L'air c'est un peu comme mon cerveau... " Jean Claude VanDamme |
#6
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Alors que les ailes françaises commencent à se former, les Anglais décident de tâter le terrain. Sir James Basileon Coelio, qui tient le plateau de Bergen, fait envoyer un unique régiment au centre, du côté du maréchal Ney, jusqu’à ce que toutes nos positions lui soient dévoilées.
![]() Le feu de nos 20 piéces d’artillerie se concentre sur cette formation, avant que les salves de nos fusillers de ligne et une charge de cavalerie ne terrasse le petit groupe d’hommes. Ceux qui refluent éventent néanmoins notre dispositif auprès de l’Etat Major anglais. L’aile gauche française, dirigée par Lilan, est arrivée en lisiére du bois de Goosemoor, et attend le signal indiquant que sur l’autre aile, le général Darthmath aura positionné ses forces en vue d’un assaut coordonné qui diviserait les forces britanniques. Mais Sir Coelio prend les Français de cours en faisant donner les howitzers à l’orée de la forêt. ![]() En explosant en vol ou au sol, les obus lancent des shrapnels qui viennent frapper les arbres, mais aussi les hommes. Plus le temps d’attendre une éventuelle coordination avec Darthmath, Lilan fait avancer tous ses hommes à travers bois pour éviter que le carnage ne se prolonge. ![]() 6.000 français s’enfoncent dans les taillis avant d’en sortir, côté anglais, avec des pertes substantielles dues à la canonnade anglaise. Une compagnie de howitzer est prise à revers et a tout juste le temps de lancer une salve sur l’infanterie française qui la charge. ![]() Toute une ligne de fantassins s’effondre, tandis que leurs camarades les enjambent pour courir sus aux canons anglais. La batterie est enlevée, les derniers artilleurs font sauter leur pièce avant que les Français n’aient la possibilité de s’en resservir. Une batterie enlevée, oui, mais encore d’autres derrières, qui continuent le massacre. D’autant plus que les Anglais ont adroitement manœuvré. Sur leur flanc gauche, Sir Peregrine Aheuc fait donner une partie de la cavalerie afin de demeurer maitre de la colline de Krainhöppen , empêchant une rapide progression des troupes du général Darthmath. Quand les dragons sont enfin laminés, toute l’aile droite française a perdu une heure précieuse pendant laquelle Lilan s’est retrouvé seul contre l’énorme masse britannique. ![]() Que peuvent faire 15 régiments d’infanterie quand en face, on lui en oppose 25, avec un soutien artillerie conséquent ? Des saignées sont opérées dans les rangs français, les explosions empourprent l’horizon et de véritables cratéres d’obus apparaissent à la surface du sol. ![]() « Tenez bon ! » hurle le général Lilan tandis que ses hommes sont fauchés. Un régiment français cède, puis un deuxième. « En avant ! » exhorte Charles Henri Lilan, et de toutes ses forces l’infanterie française continue sa poussée. Sur un terrain minuscule, ils ne sont plus que 4.000 français face au double d’Anglais ![]() Après échange de salves, les masses se percutent avec rage. Des hommes, percés de toute part, hurlent avant de s’effondrer et d’être piétinés par leurs compagnons d’arme. On se bat à la baïonnette, au sabre, à coup de crosse même. ![]() Enfin sur l’autre flanc, le général Darthmath s’empare de la colline et, sans s’occuper des quelques éléments isolés anglais qui sont désormais derrière les lignes, vient prendre à revers le camp anglais et permet à l’étau de se desserer autour des troupes du général Lilan. Ce sont désormais les Britanniques qui sont en danger, pressés d’un côté par les troupes épuisées, mais toujours combatives de Lilan,et de l’autre par les troupes fraiches et remontées de Darthmath. ![]() Sir Aheuc Peregrine fait reculer les Scot Greys et ce qui peut encore être sauvé de la cavalerie anglaise, tandis que le lieutenant-général James Basileon Coelio assure sa sécurité en permutant les red-coats en premiére ligne. Vient le moment ou l’évacuation générale doit etre donnée, elle sera assurée par le sacrifice des milices anglaises qui permettent à l’infanterie de ligne et aux grenadiers de reculer jusqu’au village, ou des batteries positionnées là empêcheront toute progression française. A la fin de la journée, les Anglais se retirent au nord et progressent vers la côte. Ils ont perdu prés de 7500 hommes, contre 5500 côté français. ![]() Ney prend aussitôt en chasse l’armée anglaise, avec une force réduite de 6.000 hommes. L’avant-garde française rattrape les Britanniques, occasionnant 1500 morts de plus côté britannique, contre 1200 pertes françaises supplémentaire. Les troupes étant épuisées, Ney donne l’ordre d’arrêter l’avancée. Les Anglais, étrillés mais qui ont quand même réussi à tenir la dragée haute à un adversaire numériquement supérieur, tout en évitant de perdre leurs propres formations d’élite, rembarquent en abandonnant le province d’Hanovre aux Français. La guerre sur le continent se continuera donc en Italie, pour la conquête de Naples. A la mi-juillet, l’aide de camp du général Rynier vient le réveiller dans sa chambre du Palais des Normands de Palerme. Dans la salle principale, il retrouve le nouveau roi des Deux-Siciles, Manu Militari, toujours peu habitué au rôle qu’on veut lui faire jouer. « Et bien ? » s’enquiert le général. Par l’une des fenêtres, on lui montre du doigt les voiles qui se détachent au loin sur la Mer dans la lueur du soleil levant. « Voiles françaises en approche, non ? » interroge Reynier On hésite à lui répondre. Voiles françaises, oui, mais qui s’éloignent. A bord, le colonel d’Aspar (aka Prince du Rocher) mais aussi ses proches, le colonel Thrawn et tous ses grenadiers de la Garde, l’intégralité du régiment du colonel Elvis Gérard, une partie de l’artillerie de Bismarck qui a pu etre entreposée sur les navires sans attirer l’attention, les chasseurs de Kara d’Iskandar et du cpitaine Tahiti Bob … Tous sont partis pour, selon les souhaits du roi d’Andalousie, sauvegarder ces terres françaises contre le danger espagnol. « Mais les Espagnols ne sont pas en guerre contre nous ! » s’écrie, désemparé, le général. S’ils ne le sont pas, le Prince d’Aspar le leur fera savoir avec tous les moyens français qu’il a pu réquisitionner au dépend de l'armée d'italie. A Palerme, les soldats restés pour combattre avec le général Reynier regardent les navires disparaitrent à l’horizon. ![]() La journée sera belle, mais Reynier n’a plus de flotte pour passer le détroit de Messine, et quant aux hommes, il lui en reste peu après le départ d’Aspar et ses troupes. Un homme lâche un juron avant de s’écarter. Le colonel Gaspard Sentenza, qu’on n’avait pas mis dans la confidence et qui aurait bien aimé lui aussi saisir sa chance en Espagne. |
#7
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![]() Moi je dis qu'on devrait conquérir l'Andalousie. Nos alliés espagnols ne s'en porteraient que mieux, car l'Andalousie a toujours été une charge pour eux. ![]() Enfin, après tout, ce n'est pas si grave si je ne conserve que Gibraltar : mes descendants se vengeront au XXième siècle en faisant de cette principauté indépendante de 5 000 habitants la place tournante européenne des casinos, du sexe, de l'argent de la drogue, et des exilés fiscaux. ![]() Un vrai Macao Européen (oui oui, je sais, il est difficile de croire que ce futur attend ce misérable îlot portugais, mais ça sera ainsi, je vous jure !!) ![]() ![]()
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![]() "L'abstinence est une perversion sexuelle comme une autre." Ar Sparfell ( Ouais, si y'en a qui me citent dans leur signature, pourquoi pas moi? ![]() |
#8
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![]() "L'abstinence est une perversion sexuelle comme une autre." Ar Sparfell ( Ouais, si y'en a qui me citent dans leur signature, pourquoi pas moi? ![]() |
#9
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![]() J'ai surtout un gros regret (mais là c'est lors de l'installation du mod) j'ai oublié de valider l'option péninsule (que j'avais pourtant acheté sur Napoleon Total War) quand j'ai du réinstaller le mod en commençant cette campagne (au bout d'une semaine, la première installation avait foiré): au lieu de 3 provinces (et 2 pauvres iles) l'Espagne aurait été composée d'une 15aine de régions, et avec le soutien financier de l'Angleterre (et les unités propres à l'Espagne) ça aurait pu être passionnant. Bref ça c'était une connerie sans nom ![]() ![]() |
#10
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Juillet 1807
L’Empereur Rodo, n’ayant pas encore de nouvelles des aventures du général Reynier en Sicile, commence à masser les troupes françaises à la frontière prussienne. Artillerie, cavalerie, infanterie, on compte alors pas loin de 60.000 français prêts à se jeter sur la Prusse, qu’on sait blessée depuis ses pertes de l’année précédentes, mais dont les soldats se sont toujours révélés vigoureux durant les batailles. D’ailleurs Rodo lui-même n’a-t-il pas concédé que la seule crainte qu’il avait était une double offensive anglo-prussienne sur un même secteur ? On a donc décidé d’y mettre les moyens, avec une triple offensive menée par Rodo, Masséna et Murat. ![]() A ces 60.000 soldats, Rodo espére rajouter rapidement les 12.000 soldats de Ney – si les Anglais nous laissent un répit sur la côte allemande en cessant leurs débarquements – et 10.000 autres soldats actuellement en formation à proximité de Berlin. Mais étonnement, ce sont les Prussiens qui lancent l’offensive, espérant couper l’herbe sous le pied de l’Empereur. La Prusse nous déclare la guerre quelques heures avant que les Français n’aient eux-même traversé la frontière. L’offensive française s’axe alors sur le cœur de la Prusse, on décide de faire tomber Varsovie. Les Prussiens, eux, ont massé la majorité de leurs forces plus au nord, à Dantzig, et commencent à remonter le long de la mer Baltique avec en vue la région de Berlin. Laissant sur son flanc gauche les armées de Masséna et Murat, afin de briser une éventuelle attaque ennemie, Rodo se jette sur Varsovie, qui a été laissée peu défendue… en quelques heures la ville est emportée et les habitants se massent dans les rues pour applaudir celui qui leur apportera leur indépendance. Rodo 1er n’ayant qu’une parole, la Pologne est rétablie au sein du Grand Duché de Varsovie – à sa tête, on y place Tzarkubis Troyp, dont on espère qu’il pourra, durant son règne, lever plusieurs compagnies de lanciers polonais pour le compte de la France. Son frére, le prince Chazam, a juré d'armer, sur ses propres fonds, et de commander les premiers escadrons de cavaliers. ![]() Après cette attaque éclair, Rodo ordonne à ses maréchaux, Masséna et Murat, de marcher plein nord jusqu’à Dantzig, afin de presser les troupes prussiennes et de bloquer leur offensive à l’ouest. Dans le même temps Ney quitte Hanovre et rejoint Berlin, afin d’offrir un autre axe d’offensive à venir. La situation est, elle, un peu plus complexe au sud de l’Empire. De l’est, les nouvelles parviennent et, même si on s’y attendait unepu, le choc est bien là : les Autrichiens ont pris le contrôle de Constantinople ! ![]() Les Ottomans disparaissent du secteur européen, se renfermant sur l'Anatolie et le Proche Orient. Les Autrichiens n’ont donc plus de front sur ce secteur, et ils vont certainement se retourner contre la France à un moment ou à un autre. Déjà les révoltes pro-autrichiennes ont commencé à secouer leurs anciennes provinces et, si la tutelle française se maintient, il n’en est pas de même partout. Stupeur, on apprend que le Tyrol, qu’on avait cédé à la Baviére, s’est révolté avant de repasser dans le giron autrichien ! Une nouvelle verrue au sein de l’Empire, à peine quelques mois après qu’on ait cru l’affaire entendue … La Russie, elle, après avoir avalé la Grèce, semble désormais se renforcer mois après mois… En Italie, Reynier, privé de la moitié de ses troupes suite au départ du prince d’Aspar, ne peut pousser plus loin et franchir le détroit de Messine. Dans le même temps, la flotte napolitaine passe à l’offensive et s’en prend à nos navires marchands en Adriatique. ![]() Ce n’est qu’en faisant donner toute sa voilure que le navire que la flotte avait pris en chasse, l’Hermione, arrive à rejoindre la Sicile. La menace est prise au sérieux, du fait de la puissance de la marine ennemie, et surtout du risque qu’elle fait encourir au commerce français dans la Méditerranée : le tiers des recettes de l’Empire provient des échanges dans la région. On trouve le brick le plus rapide qui soit sur l’île et on l’envoie jusqu’à Gibraltar – espérant ainsi rallier la flotte de Villeneuve avant qu’elle ne quitte la Méditerranée, afin de lui donner ordre de revenir et affronter la flotte napolitaine. Le Général Reynier attend également des nouvelles de Davout, qui il y a peu avait placé toute son artillerie à proximité de Rome, afin de faire tomber la cité du Vatican. Grosse désillusion, on apprend que les premiers tirs, s’ils n’ont pas fait baisser le moral des armées papales, a cependant réussi à liguer l’Italie contre les Français. Le protectorat sicilien commence à s’agiter et le Roi des Deux-Siciles, Manu Militari, fait venir d’urgence les restes de l’armée de Reynier pour éviter une insurrection catastrophique. La nouvelle de l’excommunication de Rodo 1er n’a pas déjà fini d’éclabousser les cours européennes que leur parvient les échos des boulets français fracassant le dôme de la basilique Sainte Pierre. A Milan, l’ancienne république Cisalpine, devenue Royaume d’Italie, rejette aussitôt la tutelle française et déclare la guerre à Rodo – c’est désormais toute la botte italienne qui est unie contre les « hérétiques » français. Davout, qui mène le siège de Rome, n’a plus le choix que d’emporter Rome maintenant qu’il est coupé de ses arrières après le basculement du Nord de l’Italie. Face à une armée Papale remontée, Davout lance toutes ses troupes le 28 juillet 1807 afin de mettre à bas Pie VII ![]() |
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