![]() |
|
#1
|
||||
|
||||
![]()
Catastrophe, alors que Rodo entame sa sortie pour botter les fesses des Prussiens, quelques tirs ennemis endommagent le ballon d’observation français, empêchant un compte-rendu détaillé (en fait j’ai eu un probléme de sauvegardes des vidéos, 3 sont passé à l’as, probléme réglé pour la suite)
Les Français sont encore en colonne lorsqu’ils sont pris à partie par la seconde armée prussienne attendant en embuscade. Dieu merci, le terrain encore légèrement boueux après la fonte des neiges ralenti la progression prussienne, ce qui permet de mettre quelques 2 bataillons d’artillerie en place (sur les 5 disponibles) Néanmoins, faute d’emplacement de tir adéquats, et alors que les Français sont attaqués sur les deux fronts et qu’ils ne disposent eux même d’aucune profondeur, l’artillerie ne jouera qu’un rôle restreint lors de la bataille (40 pertes, 400 victimes occasionnées) Les hommes n’ont plus qu’un choix : défendre toute la ligne droite, ou toute la ligne gauche face aux assauts ennemis. Sur notre droite, la cavalerie ennemie est en force mais, mal coordonnée avec l’infanterie (placée sur notre gauche) elle lance des assauts furieux. Les hommes se mettent en carrés, la cavalerie s’y casse les dents et n’arrive pas à percer. Une position mal établie dans nos lignes, quelques hussards s’y enfoncent et tombent sur le 2éme régiment d’artillerie, l’un des 2 régiments commandés par le général Boudi. Le temps que les chasseurs à cheval du colonel Maximus puissent intervenir, le mal est fait, et 40 des 50 servants sont hachés puis piétinés. Le 2éme régiment n’existe plus que sur le papier, avec ses 9 hommes et ses 2 pièces (au lieu de 10) ![]() L’adversaire est heureusement contenu, ses bataillons écartelés, puis dispersés. Deux ou trois régiments de ligne, qui escortaient la cavalerie, viennent au corps à corps avec nos troupes, mais notre droit n’est plus un réel danger. Sur notre gauche, l’infanterie prussienne déboule, prés de 25 bataillons soutenus par des pièces d’artillerie. On échange des salves, puis on se précipite dans la mêlée en espérant que les tirs prussiens cesseront, une fois les troupes au contact. Il n’en est rien, et les boulets fauchent les hommes, quelque soient leur nationalité. On dépêche les Grenadiers à cheval du colonel-major Bravlyon pour faire taire les pièces ennemis. En moins d’une heure, l’artillerie se tait définitivement sur le champ de bataille. Les Prussiens résistent, mais finissent par lâcher du terrain sous la pression. On envoie toute la cavalerie sur leurs arrières et leurs flancs, et même si Otto et Griffon font soigneusement leur part, ce sont surtout les chasseurs à cheval de Jag et Maximus qui emportent la décision, insinuant le doute, puis la terreur chez l’ennemi. Leur action de guérilla est efficace, enchainant tirs sporadiques, fausses retraites et charges violentes, ils culbutent les lignes. Chez les fantassins, les Grenadiers de Druss d’Haran maintiennent efficacement la pression, et Rodo fait donner la garde pour culbuter les dernières troupes tant que nous sommes en supériorité numérique – au loin déjà, débouchent 12.000 hommes de plus … ![]() Dans cette première mêlée, on relèvera le cadavre d’un des généraux ennemi. S’agit-il de Friedrich von Bülow ou de Bogislav Emmanuel ? Impossible de le savoir en l’état, car on ne retrouve pas la tête du général, proprement découpée par le sabre d’un des Hussards d’Auvergne. Après cette défaite majeure chez les Prussiens, on rétablit l’ordre côté français et on se porte au devant des nouvelles troupes prussiennes en approche. L’Etat Major ennemi tente d’accrocher au terrain avec ses troupes, mais la pression française est effarante – mais pour combien de pertes ? Les Grenadiers de la Garde montrent l’exemple et fusillent à tour de bras, avant d’utiliser leurs grenades sur les bataillons prussiens. Plus de frayeur que de mal, mais l’Etat Major décroche puis, rapidement, une grande partie des troupes qui n’auront même pas eu le temps de combattre. Par son choix invraisemblable de ne pas faire donner toutes les troupes au même moment, la Prusse vient de donner une belle victoire à la France. ![]() 12.000 morts côté prussien, et prés de 10.000 hommes qui doivent refluer dans les forêts du Tyrol – pour un prochain assaut ? Côté français, la victoire est heureuse mais le bilan est lourd : 5.000 morts, il ne nous reste plus que 7.000 soldats valides. On rentre rapidement dans les murs de la ville, libérée pour un temps (ce qui permet surtout de batir les derniers remparts de la nouvelle citadelle) Avec 700 morts à son palmarès, le colonel Maximus Ney passe Général de brigade. Les 600 morts de Jag, déjà général, lui valent les félicitations personnelles de l’Empereur. Le sous lieutenant Druss d’Haran, qui a servit de pivot à un moment clé de la bataille, passe lieutenant. Le lieutenant Urial, qui a occasionné de nombreuses pertes chez l’ennemi, intègre (au même rang) la Garde Impériale, la solde (et l’honneur) n’en seront que meilleurs. A noter que ce bataillon de la Garde a, à lui seul, abattu 1534 ennemis (quand les munitions ont manqué, ils sont passé à la baïonnette. Et quand les baïonnettes glissaient sous le sang, ils sont passé aux poings) L’Empereur regardera aussi avec attention le parcours de William Locke – on pense bientôt l’intégrer à l’Etat major du 5éme de ligne, et non plus à un seul de ses bataillons. Pendant ce temps … le printemps s’installe et ce début avril voit un certain nombre d’avancées., à commencer par la Royale. ![]() L’arsenal de Nantes est prêt, celui de Brest encore à travaux … qu’importe, on lance la construction de 2 trois-ponts de 122 canons, qui seront commandés dés leur sortie (juin/juillet) par Messieurs Bartimeus et de Whatman, Bob Terrius gardant le contrôle du Formidable de Villeuve (avant d’avoir son propre trois-ponts dés que les arsenaux de Brest s’y mettront aussi) Et la nouvelle caserne d’île de France peut elle aussi lancer des unités plus puissantes : ![]() 1 escadron des gendarmes lanciers du colonel d’Aspar, 3 brigades de chasseurs-à-pied de la Moyenne Garde, l’un étant dévolu au capitaine Kara d’Iskan d’Ar 3 brigades de Grenadiers à pieds de la Moyenne Garde, la première brigade intégrant le Colonel Guerrand Amédé Thrawn, la 2nde étant commandé par le général de brigade Elvis Gérard Sur le plan diplomatique, la France signe la paix avec la Suède, ce qui ne modifie en rien la détermination de l’Empereur. D’autant plus qu’au Nord, Murat, après avoir fait un rapide passage par Hanovre – le temps d’intégrer certaines des unités récemment complétées de Ney – peut enfin organiser le siége de Berlin. ![]() Et ils osent appeler cela une capitale ! ![]() Von Palpatine n'aura donc pas réussi à nous retenir indéfiniment, même si plus de 2 mois auront été perdus côté français grâce à ses manœuvres d'obstruction. Et alors que l'assaut est lancé, une rumeur passe : on le dit déjà loin à l'est, en train de rétablir un nouveau front alors que les combats pour la capitale prussienne ont tout juste débuté ... |
#2
|
||||
|
||||
![]()
Ah-AH !! Le colonel d'Aspar apparaît enfin pour sauver l'Empire !!
![]() ![]() ![]() Gageons qu'il réussira mieux dans sa tâche que sous petit-petit-petit-petit-fils... ![]()
__________________
![]() "L'abstinence est une perversion sexuelle comme une autre." Ar Sparfell ( Ouais, si y'en a qui me citent dans leur signature, pourquoi pas moi? ![]() |
#3
|
||||
|
||||
![]()
21 avril 1806
Murat lance l’assaut qui devra emporter la capitale prussienne. Les rumeurs sur la défection de Von Palpatine semblent se confirmer, une partie des troupes d’élite (déjà très amochées lors des combats contre Ney) se sont retiré de la ville. Pour autant les ordres du gouverneur Von Palpat sont clairs : ceux qui restent doivent combattre jusqu’à la mort ! On le prend donc au mot et le tonnerre déferle aux abords de la ville quand nos 40 pièces se concentrent sur les unités isolées. ![]() Des chasseurs, d’abord, qui sont décimés et doivent retraiter vers la ville. ![]() Une batterie positionnée en embuscade tente de répliquer, on dirige les pièces vers ce point et les artilleurs écrasent toute velléité prussienne. ![]() Chaque troupe sortant du couvert des immeubles est soigneusement arrosée, rincée et dispersée. Les Prussiens souhaitant continuer le combat, on intensifie notre feu, sur les bâtiments cette fois – un empire en miette comme la Prusse ne mérite pas plus qu’une capitale de gravats ! Mais les artilleurs finissent par rechigner, alors que tant de belles troupes sont à portée ! Un représentant de l’académie des Sciences étant dans les bagages de l’armée de Murat, on le fait venir pour qu’il disserte de la portée et de l’énergie cinétique d’un boulet devant les Français. ![]() Quel a été le chemin le plus court parcouru par l’obus ? Et puis on répète inlassablement l’exercice, afin d’éduquer nos troupes. On vérifie également la maxime selon lequel un boulet ne tombe jamais au même endroit. ![]() Les Prussiens abasourdis, choqués et bien refroidis, on fait donner toute l’infanterie de notre flanc gauche, positionnée au plus prés de la ville, tandis que les canons tirent toujours dans les faubourgs. Des immeubles s’effondrent sur les Prussiens, la pression française est trop forte – et la peur du gouverneur Von Palpatine ne fonctionne plus maintenant qu’il s’est retiré. Drapeau blanc, la place est désormais française ! On attend de voir ce que l’on fera de Berlin. Certains pressent Murat de piller la ville (plus de 25.000 piéces d’or, assez pour lever 70 régiments !), les ordres de l’Empereur sont néanmoins limpides : laisser toute propension à la Prusse pour signer l’armistice. De Silésie, parviendra la réponse : la Prusse continue le combat ! Piller Berlin reviendrait donc à en faire aussitôt une place forte prussienne tant le mécontentement global serait gigantesque. On l’incorpore de fait à l’Empire, c’est tout juste si les troupes de Murat arrivent à maintenir l’ordre alors qu’aucune exaction particulière n’a été commise. Ney pourra bientôt entrer dans la ville et on continuera le combat, plus à l'est encore. Alors certes, on laisse partir l’or, mais ce n’est pas vraiment ce qui manque. En revanche, on incorpore les 2 centres intellectuels de la région à la recherche française, passant ainsi de 2 universités à 4 ! ![]() 4 chercheurs prussiens sont expulsés de l’université de Potsdam, encore 3 autres du reste du Brandebourg, on les laissera fuir jusqu’aux lignes adverses. Ils ne représentent plus de danger pour un bon moment, la Prusse ne disposant plus d’aucune université. La recherche française dominera bientôt le monde, à n’en pas douter. L’ennui, c’est bien sur l’absence de reddition côté prussien malgré ce gros coup dur. On tente donc la pression psychologique. Murat va visiter le tombeau de Frederic II, rappelant ainsi à tous à quelle vitesse les Français ont cette fois réussi à percer jusqu’au cœur de la Prusse. Dans le Tyrol, dont il n’a toujours pas réussi à sortir depuis 2 trimestres, l’Empereur Rodo regarde avec stupéfaction les 2 armées prussiennes qui ont de nouveau mis leurs bagages autour d’Innsbruck. « Leur empire se délite, et ils continuent à jouer aux Alpins du dimanche ? » s’étonne l’empereur. On va encore devoir sortir, et corriger ses gaillards. Avec deux bonnes nouvelles : la forteresse du Tyrol est terminée et pourra entamer les troupes adverses. Et surtout, avec leur empire croqué morceau après morceau, les Prussiens ne devraient plus avoir de troupes en Autriche. On pourra alors se refaire la main sur Vienne … |
#4
|
||||
|
||||
![]()
Vienne, 29 mai 1806
![]() Un homme essoufflé court dans les couloirs du Palais de la Hofburg, ses talons claquant sur le dallage. Il entrouvre une porte, derrière se trouve le général Masséna. - Général ! Les émeutiers approchent, il nous faut quitter la ville au plus vite ! Il y a déjà des incendies dans le secteur de l’Opéra et le Ring n’est plus sur ! - Pas d’inquiétude, Rodo viendra nous dégager par le nord, il a déjà du quitter le Tyrol et ne devrait pas tarder … - Non Général ! Steiner ... enfin je veux dire Rodo ... Un courrier vient d’arriver, il a du retourner à Innsbruck tant la pression austro-prussienne était forte ! - Nous sommes seuls ? - Oui Général ! On a commencé à évacuer les blessés au sud, c’est le seul passage qui n’a pas encore été bloqué par les Russes et les Autrichiens ! Le cousin de l’Empereur d'Autriche nous a déjà devancé avec ses troupes et il marche sur Venise, nous ne sommes même pas surs que la ville tiendra avant notre arrivée ! - Un repli sur Zagreb est envisageable ? J’en suis le Duc depuis 10 jours, après tout … - Risqué, Général ! Les Autrichiens sont en train de malmener les Ottomans, et c’est toute la côte de Dalmatie qui est sur le point de se soulever ! Il nous faut rentrer au plus vite, le temps presse ! - Si ce sont là les ordres de l’Empereur … Nous venons de perdre la campagne d’Autriche, mon bon Moradim … retenez cet instant, il fera date dans l’Histoire – on se demandera encore plus tard comment la France a faillit terrasser l’Autriche puis retraiter devant elle, et tout cela en moins d’un mois … Ah, Commandant Moradim, un instant … Nous ne sommes pas surs que les émeutiers feront bien tout le travail, donc vous vous en occuperez personnellement. Si nous quittons Vienne, je veux que la ville soit réduite en cendre. Rompez ! |
#5
|
||||
|
||||
![]()
Un mois plus tôt – fin avril 1806
Lassé de devoir végéter entre les murs d’Innsbruck, Rodo programme l’offensive générale devant briser l’alliance austro-prussienne. Au nord, Berlin est tenue d’une main de fer par Murat. Ney, qui vient tout juste de le rejoindre, embarque avec lui quelques troupes solides (dont le 20éme de ligne du colonel Charles-Henri Lilan, et le 15éme de ligne du capitaine Dédé) et fonce au nord-est, entrant en Poméranie. La grave défaite à Berlin et les troupes mobilisées dans le Tyrol semblent avoir largement affaiblit le Royaume de Prusse, qui ne dispose plus de beaucoup d’hommes sur son territoire pour les jeter dans les jambes des français. L’avance est dés lors rapide, et la ville de Stettin rejoint rapidement l’Empire français. ![]() Rodo doit, de son côté, exécuter une sortie de la forteresse d’Innsbruck. L’ennemi prussien y est en masse, mais les murs de la forteresse empêchent toute percée de l’ennemi tandis que les canons montés en haut des murs dominent toute la vallée. La bataille n’entrera pas dans l’Histoire car on n’y vit n’y grand fait d’arme, ni action mémorable, si ce n’est que les Français, en perdant 2.000 hommes (l’armée de Rodo ne disposant désormais plus que de 4.000 soldats contre 10.000 à régiments pleins) arrivent à en terrasser 4 fois plus côté prussien. La rumeur court, l’un des généraux adverse, Blücher, aurait été blessé durant la bataille. ![]() Le siège est abandonné par les Prussiens, en partie découragés, ce qui devrait enfin laisser un peu de répit pour l’Empereur : ses troupes ont été épuisées par les sièges et les batailles, plusieurs régiments ont tout bonnement disparus lors de l’assaut. On ne compte, heureusement, aucune victime parmi les grands noms d'officiers entourant l’Empereur, mais les royalistes les plus influents, en France, se moquent de celui que l’on raille comme « l’Empereur du Tyrol » Voilà en effet prés d’un an que Rodo y aura élu involontairement domicile … C’est donc Davout et Masséna qui quittent l’Italie depuis Venise et marchent sur Vienne. Ne serait-il pas plus prudent de faire une escale à quelques jours de la capitale autrichienne ? Masséna décide donc d'obliquer plus au sud afin de faire halte à Zagreb. La région étant sous contrôle ennemi, il faut là encore se battre, mais les moyens engagés de part et d’autre n’ont pas grand-chose à voir … ![]() Les miliciens croates sont rapidement balayés et Masséna occupe pacifiquement Zagreb. Rodo l’avait promis, la prochaine fois qu’une ville autrichienne serait capturée, son vainqueur y serait fait Duc. Tous pensaient à Vienne, la surprise est mauvaise pour Masséna : il est fait Duc de Zagreb … « L’empereur aurait mieux fait de me mettre aux fers » lancera, désappointé, le Général. La chance semble alors sourire au commandement français. Sachant Venise désormais peu protégée, une importante escouade autrichienne quitte la capitale en direction de l’Italie. Va-t-elle tenter de s’en prendre aux troupes françaises en Croatie ? Non, elles dépassent la position française et stationnent aux marches de la Venitie. L’occasion est trop belle, les Français ne sont qu’à quelques jours de marche de Vienne et la capitale a été (en partie) vidée de ses défenseurs ! Les ordres de Rodo sont clairs : Vienne à tout prix ! L’empereur d’Autriche négociera aussitôt la capitulation et la France pourra se tourner, pleinement et entièrement, contre la Prusse et, surtout, contre celle qui finance tous les ennemis de la France : la Grande Bretagne. Sans prendre une seule journée de repos, Davout et Masséna abandonnent Zagreb et galopent plein Nord, jusqu’à 20 km de Vienne – les armées à pied avançant à marche forcée et avalant la distance en un temps record. Le 26 mai, les troupes françaises peuvent lancer la bataille dont tous rêvaient depuis plus d’un an : la bataille pour Vienne. Enfin … ![]() |
#6
|
||||
|
||||
![]()
Allez Louis-Nicolas !! T'es le meilleur !!
![]() ![]() Sinon, les Autrichiens n'ont pas laissé un seul petit général dans leur capitale ? ![]()
__________________
"In war, truth is the first casualty" - Eschyle. "You know, in this world, there's two kind of people, my friend. Those who have a loaded gun, and those who dig in. You dig in ..." ![]() |
#7
|
||||
|
||||
![]()
Si j'en crois que le post précédent, la victoire sur cette armée là ne suffira pas...
![]()
__________________
"Je suis fasciné par l'air. Si on enlevait l'air du ciel, tous les oiseaux tomberaient par terre...Et les avions aussi...En même temps l'air tu peux pas le toucher...ça existe et ça existe pas...Ca nourrit l'homme sans qu'il ait faim...It's magic...L'air c'est un peu comme mon cerveau... " Jean Claude VanDamme |
#8
|
||||
|
||||
![]() Citation:
![]()
__________________
"In war, truth is the first casualty" - Eschyle. "You know, in this world, there's two kind of people, my friend. Those who have a loaded gun, and those who dig in. You dig in ..." ![]() |
#9
|
||||
|
||||
![]() Citation:
![]() J'en ai déjà tué 2 ou 3 (mais je ne doute pas que l'IA en engage de nouveaux aprés), le meilleur général autrichien est a 2 ou 3 jours de marche de Venise, et un autre se balade entre forêts et montagnes du Tyrol ![]() |
#10
|
||||
|
||||
![]()
J'espère que Von Palpatine ne se laissera pas aller à de petites concessions avec le soi disant Empereur
![]()
__________________
![]() [20:58:20] Akmar Nibelung, Gott dit: je m'incruste pour faire genre j'ai des amis autres que les pizzas |
![]() |
Outils de la discussion | |
Modes d'affichage | |
|
|