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Les AARs se font nombreux en ce moment, tant mieux!
![]() Bon courage! |
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Chapitre II : Les années sombres.
1256 de l'ère chrétienne, l'Ordre Teutonique est finallement passé à l'offensive. D'importantes forces en provenance de Riga, au nord, descendent vers le coeur du Duché, Siauliaï défendu par le seigneur Edivydas. Le front ouest est totallement enfoncé par les forces ennemies sous le commandement du maréchal Dietrich Von Schwarzemburg. Ce dernier a capturé la riche cité de Hrodna, et ses temples furent mis à sac. Plus au nord, Palanga est assiegée. Elle tenta en vain de briser le siège. Les seules nouvelles réconfortantes me parviennent de Vilnius : je suis grand-père. Et même une nouvelle fois père avec la naissance de mon second fils :Nameisis. La vie sur la marche nord de la Lithuanie n'est pas de tout repos, des troupes teutoniques maraudent dans la province. Il faut régulièrement effectuer des sorties pour les chasser et sécuriser la forteresse. Ces jours derniers, un certain Thorsten s'est enfoncé dans la Marche en direction de Daugavpils. Ce fût l'occasion d'éprouver un peu mes nouvelles recrues, en particulier les arbalètriers. Pour le reste, la tactique reste sensiblement la même : la ligne des archers baltes est assurée par quelques lanciers estoniens, tandis que la cavalerie contourne l'adversaire pour le harceller durant son attaque. ![]() Dzukija Les 3 unités de lanciers teutoniques et les 2 unités de Ketchens s'élancent sur nos lanciers estoniens. Je fonce avec mes chevaliers dans la mêlée pour les soutenir, mais l'opération est dangereuse car je dois éviter les lances acérées des Teutons. Il est temps d'ordonner la charge des Dzukija. Je donne de l'olifant et ils s'élancent droit dans le dos de l'ennemi qui s'enfuit la queue entre les jambes. Cette tactique semble relativement éprouvée et les arbalètriers se sont révélés particulièrement efficaces. Je laisserai les archers à Daugavpils pour ne prendre que des arbalètriers lors des prochaines batailles. Car il est plus que temps de marcher sur Riga pour couper la queue du dragon. Pour rejoindre Riga je décide de passer un peu plus au sud afin de passer par Siauliaï. Etant donné l'urgence de la situation au nord de la Lithuanie, seuls les cavaliers prendront part à cette expédition sur Riga, archers et arbalètriers restant en défense. A mi-chemin, au nord du village de la petite ville de Panevezys, où j'avais fait halte quelques années auparavant avec l'armée, un messager envoyé par Edivydas, de Siauliaï, m'informe que les troupes teutoniques ont levé le siège pour aller à ma rencontre. Edivydas ayant apprit la raison de leur départ a alors envoyé un détachement de Samogitiens commandés par le capitaine Shvarno à leur poursuite. Les Samogitiens sont les habitants de l'ouest et du nord de la Lithuanie, ce sont de redoutables guerriers armés de grandes haches de guerre. La rencontre des trois armées a lieu dans une région vallonée et forestière. Un endroit idéal pour une embuscade mais peu favorable à la cavalerie. L'armée teutonique est commandée par Welf, à la tête d'un détachement de Halbbruder, les chevaliers teutoniques d'élite, de bourgeois hollandais armés de terribles piques de 15 pieds de long, des archers et divers serviteurs fanatiques de l'Ordre. Welf se retrouve au fond d'un vallon encaissé, avec sur un versan les Samagitiens de Shvarno et sur l'autre mes archers montés et mes lanciers Tartares. Pendant un moment la bataille est indécise. Welf a envoyé ses serviteurs de l'Ordre et ses archers, sur mon flanc, qui à l'abri dans la forêt échangent des flèches avec mes Coumans et mes Dzukija sans grand résultat. De son côté Shvarno hésite à lancer l'assaut car le gros des forces teutones s'est rassemblée en face de lui. Sur mon flanc, une charge de Tartares se brise sur les boucliers et les épées des fanatiques teutoniques. Ils reculent sans trop de pertes. J'envoi alors l'ordre à Shvarno d'attaquer. Le choc est brutal, les Samogitiens sont embrochés avant de pouvoir atteindre leur adversaire. Mais ils sont deux fois plus nombreux et une fois la barrière de piques franchie, leurs haches tranchent les têtes et les membres par dizaines. ![]() Un détachement de Tartares effectua alors une charge dans le dos des piquers hollandais, ce qui sonna le glas de leur ligne de défense. Les chevaliers teutoniques n'osèrent pas charger dans ce mur de haches tranchantes. Ils tournèrent bride à la rencontre de la cavalerie lithuanienne qui commençait à descendre de la forêt et à tailler en pièce les archers ennemis. C'était le moment de lancer ma garde de chevaliers sur les Halbruders. ![]() Ils furent taillés en pièce, comme le reste de leur armée, y compris Welf. La route de de Siauliaï était libre. J'allais pouvoir y recruter quelques Samogitiens qui me seraient fort utiles contre ces terribles piquiers hollandais, avant de me lancer sur Riga. Malheureusement, sur la route de Siauliai, j'allais apprendre de terribles nouvelles. Palanga avait été capturée et non loin de là, Kaunas avait été assiegée par Ansehelm Von Nassau à la tête d'une redoutable armée teutonique. Le duc Tautvilas, défenseur de Kaunas avait fait de son mieux mais il ne put pas empêcher la prise et le pillage de la cité. Après Hrodna, une autre grande cité lithuanienne venait de tomber aux mains de ces fanatiques. Tout l'ouest du pays était en train de sombrer. J'avais été trop lent à aller sur Riga et désormais il fallait stopper l'hemorragie à tout prix. J'ordonnais donc à ma troupe de faire route au sud, pour reprendre Kaunas ! La bataille de Kaunas : Les forces lithuaniennes descendirent donc vers le sud. De son côté, malgré mon ordre de rester dans Vilnius pour en assurer la défense, le Prince Vaisvilkas vint à mon aide avec ses Zlachtas- les chevaliers de la petite noblesse- et la milice de Vilnius. Ce serait donc toute la fine fleur de la Lithuanie qui allait prendre part à cette bataille décisive ! Un premier détachement teuton fut rapidement laminé. Mais ce n'était que la petite avant-garde. Le gros des troupes menées par Ansehelm Von Nassau arrivait déjà en haut de la colline. Les choses se présentaient mal. Un engin tout droit sorti des enfers nous lançaient des tonneaux emplis de poudre explosives, causant mort et ravages parmis nos rangs. Le Prince et ses Zlachtas lancèrent une offensive sur l'engin malgré mon ordre de rester en arrière. ![]() Le reste ne fût plus que cris et confusion dans ma mémoire. Les forces teutones fondirent sur nous. Les Samogitiens firent des ravages dans leurs rangs mais leurs chevaliers décimèrent notre cavalerie. Pris d'inquiétude pour mon fils loin derrière les lignes ennemies je fonçait à travers la mêlée pour le rejoindre. La catapulte était à terre, ses servants morts à ses côtés. Parmis les cadavres il y avait ceux des chevaliers de Vilnius... et celui de mon fils. Les larmes n'eurent pas le temps de couler en ce jour funeste, car déjà Von Nassau étaient sur nous avec ses Halbruders. Tout ne fût plus que rage, les épées s'entrechoquèrent dans les étincelles et le sang, les chevaux tombaient, les casques étaient défoncés, partout la fureur de la bataille résonnait à mes oreilles. Mais le coeur n'y était plus, je voulais mourrir là, sur ce champs de bataille. Quand un de mes chevaliers dit " Seigneur, il faut fuir, tout est perdu, nous devons défendre Vilnius !". Alors, pour sauver ce qui restait de la Lithuanie, je me résolu à quitter Kaunas pour rejoindre Vilnius. Ma seule satisfaction fût que Ansehelm Von Nassau, l'assassin de mon fils, y laissa également la vie. Réfugié dans Vilnius, je n'étais plus qu'une ombre, fuyant ma femme et ma belle-fille, honteu d'avoir survécu. Avais-je trahis les dieux de mes ancêtres ou le Christ ? Tous mes espoirs s'étaient enfuis, et je n'avais plus qu'à attendre l'arrivée des hordes teutoniques...
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#3
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Chapitre III : La reconquête.
![]() 1261 de l'ère chrétienne, avec le temps je me suis fait à l'idée de la perte de mon fils, mon seul héritier en mesure de me succeder et je commençais également à me faire à l'idée de voir disparaitre la Lithuanie. Une armée croisée venue d'Angleterre, menée par le prince Charles, fit le siège de Siauliai, mais Edivydas le repoussa miraculeusement et tua Charles. Cette défaite des croisés sema le trouble parmis les Chrétiens. Jusqu'ici ils voyaient la main de Dieu dans les victoires de l'Ordre, mais désormais ils se demandent s'il ne s'agit tout simplement pas d'une action opportuniste sur la faible Lithuanie. Quoiqu'il en soit, cette défaite anglaise brisa les derniers complexes qu'avait Novgorod à honnorer son alliance et à entrer en guerre contre l'Ordre Teutonique. Cette nouvelle, ainsi que la mort du croisé, déclencha une grande liesse dans le pays. Un nouveau temple en l'honneur de Dievas fût érigé à Vilnius. Les anciens dieux ne nous avaient peut être pas encore abandonné. Je réunit une nouvelle armée. Il fallait désormais frapper fort sur l'armée affaiblit de Kaunas. A terme, Novgorod allait arriver par le nord. Il ne restait plus qu'à reconquerir l'ouest en espérant que le gros des troupes teutoniques se briseraient contre nos alliés russes. Au sud, le vent semblait tourner aussi, avec l'entrée en guerre des Mongols contre la Pologne. Mais je me méfie de ces Mongols. Les Tartares et les Coumans réfugiés en Lithuanie ont fuit leur soif de conquête et il se pourrait bien qu'ils profitent de notre faiblesse.
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#4
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Bravo!
![]() J'aime beaucoup le ton! Et un AAR avec la lithuanie, quel que soit le jeu où elle est présente, c'est rare. ![]()
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"Péricliter = tourner autour du clitoris" d'après "Le Dictionnaire de ceux qui ne savent pas" de Ar Sparfell |
#5
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Merci de vos encouragements. L'écriture est un art difficile et je suis loin d'avoir le niveau de certains franconautes.
La deuxième bataille de Kaunas : L'humiliation n'a que trop duré, l'heure de la revanche a sonné. Je rassemble autour de moi les archers baltes descendus de Daugavpils ainsi que les rescapés de la première bataille de Kaunas, à savoir : une unité de Dzukija à cheval, deux milices de cavalerie armés de javelots, une unité de lanciers tartares et une unité de Samogites. Autant dire que nous sommes loin de faire le poids face aux armures de l'ennemi. Mais qu'importe, s'il faut mourrir que ce soit en brave. Les Teutons ont décidé de se battre en dehors de la ville, sans doute pour pouvoir user de leurs mangonneaux et de leurs catapultes, inutiles derrière des murailles. Du reste, ils ne nous craignent pas vraiment, ces dernières années n'ont vu que des victoires de l'Ordre. Leur armée est commandée par le maître Gerhard Erlarch, un jeune général inexpérimenté. Il dispose de nombreux engins de siège, des archers, des lanciers teutons et d'une cavalerie non négligeable de chevaliers. Je positionne mes archers en haut d'une colline. Ils sont particulièrement exposés en cas de charge de l'ennemi. Lorsque l'armée d'Elarch s'approche à portée de tir les flèches enflammées répondent aux projectiles des trébuchets et mangonneaux. ![]() J'envoi alors les Dzujikas et les miliciens contourner l'arrière de l'ennemi pour charger les engins de siège. Trop occupé à grimper la colline, Erlach ne s'aperçoit pas du danger. Tous les servants seront taillés en pièce. Et pour bien faire ils continueront sur leur lancée jusqu'aux archers teutons positionnés sur les arrières. Erlach, fou de rage, sonne la charge générale. Ses chevaliers traversent littéralement les rangs des archers baltes, causant mort et mutilation parmis mes braves qui ne reculent pas. Je lance ma garde sur celle d'Erlach. A mes côtés, les Samogitiens tranchent à coup de hache les rangs des lanciers en armures. ![]() Erlach tombe, tué de ma propre main. Les rangs de l'ennemi se dispersent, harcellés par mes cavaliers et mes archers, avant de fuir. Je suis déterminé à ne laisser aucun survivants. Je ne ferais pas de nouveau l'erreur de Daugavpils (Dunabourg), où mon noble geste envers Dieter Mandorf avait coûté la vie à nombre de mes hommes. J'ordonne donc d'exterminer les prisonniers, afin qu'aucun d'entre eux ne se réfugient à Kaunas. L'heure n'est plus à la noblesse et à la charité chrétienne, l'heure est à la vengeance et j'invoquerai les anciens dieux sauvages de la guerre jusqu'à ce que l'honneur de la Lithuanie soit lavé dans un bain de sang. Les cadavres teutons sont assemblés puis décapités. Leurs têtes sont nouées par les cheveux et trainées par nos cavaliers tout le long de la route vers Kaunas. Et c'est ainsi que nous entrons dans la ville libérée, sous les vivas de la population. 1263 de l'ère chrétienne, la Lithuanie vit dans la misère. Les Teutons tiennent toujours une partie de l'ouest du pays. Les champs sont laissés à l'abandon car tous les hommes valides sont mobilisés pour la guerre de libération. Les Russes de Novgorod, menés par Orekh Sbyslavov et ses Boyards, fondent sur Riga. Cette offensive permet de relâcher la défense de Daugavpils. Les troupes d'infanterie descendent du nord : lanciers tartares à pied, arbalètriers, Coumans et même des guerriers sudoviens, habituellement plutôt rétifs à l'autorité ducale. Menés par les Zlachtas de Vilnius, ils repoussent les armées teutones de chevaliers et de hallebardiers qui pillaient la campagne environnnante, terrorisant le peuple, tuant au nom du Christ. Forte de cette victoire, la population de Vilnius est galvanisée. Les offrandes à Dievas se multiplient et les jeunes hommes prennent les armes au nom de leur dieu. Ces cavaliers de Dievas un peu spéciaux sont armés d'un lance en fourche, rappellant ainsi aux chrétiens les diables et les démons qu'ils redoutent tant. Ces cavaliers rejoindront mon armée à Kaunas, ainsi que de nouvelles recrues Samogites, les sudoviens, les arbalètriers et les Tartares. ![]() Cavaliers de Dievas et Sudoviens Au nord, Riga est tombée aux mains des Boyards. Je crains toutefois qu'ils ne poussent leur offensive jusqu'à Palanga. Et il n'est pas du tout certain qu'ils me restituent la ville à la fin de la guerre. Je pourrais donc les prendre de vitesse. Mais une armée teutonique menée par le Grosskomtur Markus de Brême s'approche de Kaunas par le sud. Le Grosskomtur est le second [héritier de faction] dans la hierarchie de l'Ordre Teutonique, l'occasion est trop belle. Et de toute façon, je ne peux laisser Kaunas sans protection. Je me dirige donc au sud pour éliminer l'armée du Grosskomtur et dans la lancée, libérer Hrodna. ![]() La bataille de Marijampole : La bataille aura donc lieu près du petit village de Marijampole. Comme d'habitude, je positionne mes arbalètriers en haut de la colline. Mais cette fois ils sont protégés par une ligne de lanciers Tartares et Estoniens devant lesquels ils se tiennent pour tirer. Une troisième ligne constituée de Samogites et de Sudoviens se tient en réserve. L'expérience m'amène à diminuer sensiblement la cavalerie, trop faible contre les armes de l'Ordre. Mais j'en prendrais la tête, à l'abri dans la forêt. Les Coumans et les Dzukijas iront quant à eux sur le flanc droit pour harceller l'ennemi. Les teutons montent à l'assaut. Essuyant de nombreuses pertes sous les carreaux des arbalètes. Au dernier moment, les arbalètriers se réfugient derrière les lanciers qui encaissent le choc de la charge de cavalerie et de lanciers en armure teutons. Déjà les sudoviens et et Samogites se jettent dans la mêlée. Sur le flanc droit mes chevaliers sont aux prises avec la garde du Grosskomtur Markus. Le combat est terrible. Au nombre et à la haine des Lithuaniens répondent le fanatisme et la puissance des Teutons. ![]() C'est du côté de la cavalerie que le vent de la bataille tourne. La garde de Markus est décimée par mes braves Zlatchas et il s'enfuit. J'envoi les cavaliers de Dievas le capturer...vivant. L'infanterie teutone se battra bravement jusqu'au dernier, seuls les archers et la milice tenteront de fuir. A la fin de la bataille, nos pertes sont de seulement 1 pour 4. Je ne parlerais pas avec le prisonnier mais j'ai décidé de ne pas le tuer. Un personnage aussi important dans la hierarchie de l'Ordre nous rapportera certainement une belle rançon. Elle sera négociée à 6500 ducats en tout. De quoi lever une belle armée et et rebâtir les villes conquises. Les prisonniers relâchés rejoindront Hrodna. Nous les y rejoindront dans quelques mois pour y livrer une nouvelle bataille. Avec de la chance, le Grosskomtur sera à nouveau fait prisonnier et nous pourrons négocier une nouvelle rançon. Mouahaha !..
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http://anarchia.miniville.fr http://tovi-one.labrute.fr http://tovi-girl.labrute.fr http://tovi-boy.labrute.fr ![]() le forum de l'expression libre Dernière modification par Tovi ; 25/06/2008 à 16h19. |
#6
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Cool bon AAR
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#7
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C'est une faction jouable l'ordre teutonique?
Si oui, ils doivent être redoutables... |
#8
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Ha, l'add on de MTW2.
J'ai hésité à le prendre. les autres campagnes portent sur quelles régions? Bon AAR en tout cas.
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Allez les Cajuns!! http://www.youtube.com/watch?v=0dglMqP_zEI Parleeeez-nous à boire.... |
#9
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![]() Citation:
La campagne teutonique : Norvège, Dk, Lithuanie, Teutons, Novgorod, Mongols, Pologne, SERG (l'Union de Kalmar apparait je crois mais n'est pas jouable) Les croisades : j'ai pas vraiment accroché. Je préfère le mod Broken Crescent. L'Amérique : Les Espagnols et diverses tribus d'indiens. Pas encore essayé. J'étais un peu réticent vis à vis de ce mode, mais finallement je trouve ces scénarios plus intéressants que la (les, avec les mods) grande campagne. Pour plusieurs raisons : - la carte est moins grande et, au bout du compte, en GC on en utilise rarement plus de la moitié. Sauf si on joue la conquête totale, mais c'est fastidieux de toute façon. - Le point précédent a comme résultat des passage de tours moins longs, car moins de calculs. - Je trouve l'échelle un peu plus adaptée au concept une ville= une province, et même en ce qui concerne la taille des armées en nombre d'hommes, plus réaliste (mériterait bien d'être multiplié par 10 mais bon). - Les campagnes sont plus courtes et plus scénarisées, donc moins longues et moins répétitives, donc moins lassantes. - L'échelle permet aussi de jouer de petites factions qui ne pourraient probablement pas apparaitre dans la GC. Un point noir : la réalisation est toujours en dessous des mods, tant au niveau graphique qu'au niveau de la gestion de la dipomatie ou du réalisme historique. Ca ne change pas vraiment de l'original à ce niveau là, donc en comparaison des mods ça fait un peu mal au coeur de dépenser ses sous... Une interrogation : pourquoi ne pas avoir mis toutes les factions jouables ? D'autant qu'il suffit d'aller dans le descr_strat pour pouvoir les prendre. Ca les fatiguait juste d'écrire un historique ? Par exemple dans la campagne teutonique, Norvège et Mongols sont dans les non-jouables, alors qu'ils le pourraient parfaitement. Un regret : Pas de campagne "Guerre de 100 ans" (les 2). Pourtant il y avait de quoi faire avec Azincourt, la Bourgogne, la Bretagne, Jeanne d'Arc etc.
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#10
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Pas de campagne en Europe Occidentale?
![]() Bien dommage çà, çà pourrait être super interessant. Mais sinon le mod a l'air pas mal du tout, c'est séduisant.
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Allez les Cajuns!! http://www.youtube.com/watch?v=0dglMqP_zEI Parleeeez-nous à boire.... |
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