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Vieux 09/05/2008, 14h44
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Chroniques d’Angleterre (1453-1480)

Redacted by Ian Pedrolane



An de gloire 1453, le Glorieux Henri VI, maitre incontesté de l’Angleterre règne sur notre magnifique nation. Une terrible guerre ravage l’Angleterre depuis près de 80 années maintenant, le Roi Henri VI décida dans sa grande sagesse de mettre fin à cette guerre , la Gascogne, ancienne terre Anglaise fut cédée à la France, celle-ci promit une somme d’argent à l’Angleterre en compensation, seulement un peu de temps fut demandé par la France, ce que Henri VI accepta d’accorder dans sa grande amitié , sagesse et mansuétude.
Ainsi, la guerre que l’histoire retiendra comme guerre des 80 ans se termina enfin.


Quelques mois après la fin de la guerre, une terrible nouvelle arriva , la Guerre des Roses était relancée par la famille des York qui réussit à mobiliser des forces militaires contre le Roi qu’ils accusèrent de lâche vis-à-vis de la France.

Dieu seul sait à quel point Henri VI fut au contraire courageux de reconnaître qu’il serait impossible de conserver cette terre au vue de la puissance militaire terrestre toujours croissante de la France.



La guerre des Roses



Quoiqu’il en soit, la guerre fut relancée, les York réussirent tout d’abord à déstabiliser le pays et à s’emparer de diligence remplies d’or royal, ces petites victoires ponctuelles suffirent pour rallier une partie de la population paysanne à leur cause.

Cependant à la cours, tout le monde semblait serein, en effet même si les York possédaient une armée plus nombreuse, il n’en restait pas moins qu’elle était composée de paysans et d’artisans, la seule véritable armée se trouva du coté des Lancastres.

Le matin du 24 juillet 1458 cependant, une terrible nouvelle secoua le royaume, Henri VI fut retrouvé pour mort dans son lit, les médecins arrivèrent très vite à la même conclusion : à savoir l’empoisonnement.

N’ayant pas de fils mais seulement une fille âgée d’a peine 6 ans, un conseil de régence prit les rênes de l’Angleterre, ce conseil de régence fut désigné par le testament du roi Henri VI, lui-même, qui avait prévu cette éventualité.

Cependant cette désignation ne fut pas accueillie favorablement par certains nobles qui espéraient grappiller un peu de pouvoir avec la mort d’Henri VI, bon nombres d’entres eux se soulevèrent alors et rejoignirent les York.

Le conseil de régence devait maintenant faire face à un soulèvement de nobles ainsi qu’à la guerre des Roses réengagée par le York.

Les subsides alloués à l’armé furent doublés (maintenance terrestre à fond), des conseillers en stabilités furent engagés (un six étoiles et un 4) et les généraux vétérans de la guerre de 80 ans furent rappelés. Tout cela hélas avait un prix, c’est durant cette période sombre que l’Angleterre s’épuisa financièrement et du se résoudre à réduire l’investissement technologique et augmenter l’inflation.

Cependant ces mesures, malgré leur prix, furent efficaces, très rapidement (en deux ans), l’ensemble des nobles furent remis au pas et firent serment de leur allégeance à la famille des Lancastre, il fallut cependant attendre dix ans et la décisive bataille dite « The Battle of Ireland » pour voir les York vaincus définitivement et prêter également allégeance à la famille des Lancastre.



L’Alliance Anglo-portugaise et l’Affrontement d’avec les forces Mahométanes



Depuis déjà de nombreuses années l’Angleterre et le Portugal étaient alliés, et même en pleine guerre civile, jamais, l’Angleterre ne déshonora son alliance.

Ainsi lorsque le Maroc et son allié algérien attaquèrent sournoisement notre allié portugais, nous décidâmes d’envoyer la « Royal Navy » en soutient.

Très vite nous montrèrent aux Marocains notre supériorité navale, et remportâmes de nombreuses batailles, cependant un soir de brouillard très intense, les marocains usèrent de leur talent le plus considérable, à savoir la piraterie et s’emparèrent de 7 navires lourd Anglais !

Cet acte odieux marqua la fin de la 1ère guerre contre ces chacals, après ces évènement et les déboires de notre allié portugais, une paix blanche fut signée, cependant jamais l’Angleterre n’oublia cela.

Ainsi, c’est donc avec plaisir que lorsque le Maroc déclara à nouveau la Guerre à notre allié nous envoyâmes ce qui nous restait comme flotte, et en coordination parfait avec notre allié, nous bâtâmes les marocains et les algériens, batailles après batailles nous écrasâmes leurs flottes, et nous allions même jusqu’à récupérer deux des sept navires lourds que leur piraterie nous avait enlevé.

Encore une fois, cette guerre se solda par une paix blanche, cependant cette fois l’honneur et le prestige se trouvait de notre coté, en effet jamais les Mahométans ne connurent pareilles défaites maritimes.

Pour finir, alors que notre allié portugais se trouvait en pleine guerre civile, le Maroc décida à nouveau de lui déclarer la guerre, encore une fois nous acceptâmes d’aider notre allié et envoyâmes nos forces navales au large du Portugal afin de les faire réparés pour ensuite les envoyer au combat, cependant nous apprîmes que les Mahométans avaient commencés un débarquement au Portugal, nous décidâmes alors de sortir notre flotte immédiatement, et le résultat fut sans équivoque, les navires marocains furent coulés et leurs hommes massacrés par les forces portugaises qui firent preuve d’une bravoure sans égale se battant à al fois contre des rebelles et des Mahométans.

Après de nombreuses batailles navales, une paix blanche fut une nouvelles fois accordée dans sa grande mansuétude par le Monarque portugais au Mahométans.



La guerre contre la France, la perte de Calais et la trahison Ecossaise



Après avoir signé une paix et avoir fait la promesse de dédommager l’Angleterre financièrement, la France dut faire face à une terrible tragédie, en effet un conseil de régence en pris le contrôle afin de pallier à la disparition inattendue du monarque alors en place.

Cet évènement bien que lointain pour l’Angleterre aura des répercutions très grave pour notre nation, tout d’abord aucun ducats français n’arriva dans les caisses anglaises et ensuite, calais, dernier bastion anglais sur le continent fit tourner la tète aux Régents Français qui souhaitaient s’en emparer.

La France déclara donc la guerre à l’Angleterre, elle était accompagnée de tous ces vassaux, de la Norvège mais également et étonnement de l’Ecosse.

L’Ecosse qui était pourtant alliée de l’Angleterre décida de rejoindre les camps Français et envoya près de 12 000 hommes sur les provinces du Nord.

Nul doutes que la cours Ecossaise et la famille des York, qui en grande partie se réfugièrent en Ecosse à la fin de la guerre des Roses, furent très liés dans cette affaire.

Cependant Mary Ier bien que piètre Reine entreprit ce qu’il fallait et réussit à stopper l’avancée Ecossaise tout en protégeant les cotes d’un débarquement en anéantissant bon nombre de navires écossais, norvégiens, etc.

Cependant elle ne pu empêcher le débarquement de 1000 norvégiens en Irlande dans la province de Meath, c’est alors que notre Allié et ami Portugais arriva en débarquant près de 3000 hommes en Meath et battu à plate couture les norvégiens. Jamais nous ne serons assez reconnaissants de cette aide précieuse car en ces temps là l’Angleterre était privée de tout navire de transport.

Après avoir repoussé hors de nos frontières les forces écossaises, Mary Ière prit alors les commandes de la diplomatie Anglaise et négocia avec les Régents la fin de la guerre, ceux-ci réclamèrent encore et encore la cession de calais, bien que Mary leur expliqua en leur montrant des missives diplomatiques écrites de la main même de leur Roi que la France ne souhaitais pas s’emparer de Calais par la Force mais qu’il s’agirait d’un acte diplomatique, rien n’y fit. Mary dut se rendre à l’évidence, l’Angleterre ne pouvait espérer conserver calais par la guerre et du donc céder aux revendications françaises.




Economie et infrastructure.



Durant ces 27 années, l’Angleterre ne cessa de croitre économiquement, via le commerce évidement mais également via le développement important que connurent ces infrastructures, ainsi une politique stricte des dépenses fut mise en œuvre et celle-ci permit à l’Angleterre d’équiper l’ensemble de ces provinces d’ateliers, faisant ainsi monter les revenus annuels de 30 ducats, un vrai bol d’air qui permit à l’Angleterre de ne plus devoir freiner son investissement technologique et de ne plus faire grimper l’inflation qui fut maintenu à 4.1 pour cent, ce qui est u chiffre parfaitement honnête en comparaison avec les autres nations Européennes.

Aujourd’hui le trésor anglais est estimé à plus de 850 ducats, ce qui permet à l’Angleterre de voir l’avenir sous les meilleurs hospices qui soient.

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Vieux 13/05/2008, 22h29
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***** Chroniques de la principauté de Moscovie *****





La situation de la Principauté Moscovite au débuts des années 1480.

La chute de Constantinople et de l'empire Byzantin ainsi que la décapitation de l'église orthodoxe avait provoqué un véritable cataclysme parmis tout les états Rus et particulièrement en Moscovie. Le Patriarche Alexieus avait trouvé refuge à Moscou qui était devenu en quelques années la terre d'asile de tous les anciens dignitaire byzantin et à commencer part nombre de membre de la famille Paléologue miraculeusement échappé au massacre de 1453.

Les années qui suivirent furent des années de guerre et encore de guerre. Les khanats slaves du sud des steppes avaient perdu de leurs vitalité alors qu'au contraire le dynamisme de la principauté Moscovite semblait iresistible. Les grand duc commencèrent par ratacher directement le Ryazan à la Moscovie puis ce fut au tour de la principauté de Yaroslav d'etre réunifiée autour de Moscou.

Mais au sud les tartars et les mongols demeuraient une grande menace et derrière eux les turcs ottomans. Les Moscovites s'élancèrent vers le sud et combatirent de longues années les hordes de Crimée et du Kazan. Aujourd'hui de vastes etendues de steppes ont rejoins la souveraineté du Prince de Moscou et les tartars représente plus du tiers de la population de la principauté.

Cependant au nord, la sournoise et corompu république de novgord ne cessait de comploter avec les musulmans de la basse volga et actuellement une guerre oppose les moscovites et les Novgorodiens pour la suprématie politique et militaire sur les peuples rus...

Message diplomatique au sultan Ottoman:

Nous n'avons pas oublié 1453 et jamais nous ne le pourons. Nous resterons trés attentifs sur la tolerence de vos états envers nos freres orthodoxes de thrace, de Grece et d'Anatolie. Nous sommes cependant pret à dialoguer avec vous dans l'interets de nos etats et peuples respectifs.

Messages aux souverains chrétiens d'europe.

La principauté de Moscovie regorgent de soldats pret à être engagé pour servir de justes causes. N'hesitez pas à contacter nos ambassades si vous recherchez des forces de mercenaires compétentes...

La principauté de Moscovie à également besoin de fonds étranger pour se develloper. Des partenariats nombreux et profitables sont à porté de main. Nous accepterons l'argents de tous les investisseurs privés ou d'états en nos domaines. Sachez que la Moscovie a grande mémoire pour ses amies mais se montrent impitoyable à ceux qui la trahirons....

Que dieu protège le prince...
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Vieux 14/05/2008, 00h36
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Chroniques de la Sublime Porte, portant sur l’histoire du Grand Sultanat des croyants (831- 858), à la direction de nos amis et alliés, qu’ils soient croyants ou chrétiens, mais aussi de tout les puissants de cette terre que la question ottomane intéresse de près ou de loin, ou qui souhaite apprécier ses connaissances sur notre grandiose Empire. Pour des raisons de commodité et de bienséance envers nos lecteurs chrétiens, nous utiliserons le calendrier romain.





Mehmed II

Cette chronique commence ainsi en 1453 (831), date à laquelle gouverne en notre sublime Empire le magnifique sultan Mehmed II Fâtih. A cette époque, Nous sommes en guerre contre le royaume catholique de Hongrie, mais dans sa grande sagesse toute commune aux précieux hommes de l’histoire, Mehmed II se contenta d’une vassalisation de la Transylvanie en 1458. Tenant ainsi sa parole envers l’Empereur des chrétiens.

Durant cette glorieuse période de succès économique et militaire, succès fut aussi politique et diplomatique. Par maîtrise ultime d’influence, notre sultan convainquit le Karaman de s’attaquer à la Serbie présentement annexée par le duché d’Athènes. En effet, une présence musulmane était souhaitée dans cette région pour faire tampon avec la belliciste Hongrie. Ce qui fut fait, en même temps que le Karaman s’octroyait les Cyclades. Cette dernière picorée ne pouvait être toléré par le Sultan qui déjà avait été fort généreux offrant un vaste territoire à son allié.

Les troupes du Sultan intervinrent donc sous son ordre et remirent de l’ordre céans. Le Karaman fut vassalisé, la Serbie et les Cyclades furent rattachés à l’Empire, en même temps que passant devant Athènes à la tête de sa flotte, le Sultan décida d’y débarquer pour y imposer une paix définitive sous l’égide de la vrai Loi. Cependant homme éclairé, ouvert et magnifiquement intelligent, Mehmed II n’imposa pas tout de go la Loi Ottomane ou la Charia, mais adapta à chacune de ses conquêtes les us et coutumes locales afin de ne pas froisser les peuples.

Sur la chemin de retour à Istanbul, quel ne fut pas la surprise de notre glorieux maître quand il appris que le Al-Koyunlu et Qara-Koyunlu s’étaient par friandise fort bien entendu à Bagdad concernant une attaque conjointe contre notre inviolable territoire. Et en effet, bien rapidement, des dizaines et des dizaines de milliers de piétailles en tout genre, mais également de dangereux cavaliers du désert mirent le siège jusqu’en Cappadoce et Galatie. Le Sultan et ses géniaux généraux lancèrent une offensive et écrasèrent le Al-Koyunlu, et repoussèrent un peu les hordes du Qara-Koyunlu. Il faut savoir qu’à cette époque (et c’est toujours le cas), ce dernier royaume est une bien grande puissance puisqu’il s’étend d’Astrakhan à l’embouchure de la Volga, jusqu’à Ispahan, et encore loin à l’est.

Cependant, alors qu’allait être lancée une offensive définitive pour châtier ces traîtres, deux catastrophes semèrent le germe du chaos dans l’Empire : Mehmed II mourra à la tête de ses troupes en 1463, et l’alliance Polono-Lituanienne déversa à l’ouest, en Bulgarie, Silistrie et Macédoine ses masses en arme, abreuvées de messages d’intolérance religieuse, et ceux-ci se livrèrent pendant 7 longues années à l’ouest du Bosphore, au pillage, au forcement des femmes et mirent au bûcher musulmans et chrétiens orthodoxes sans différence aucune.





Osman II

Le Sultan Osman II, après avoir écarté ses quatorze frères de la manière coutumière de notre sultanat, dut ainsi faire face pendant deux ans à une guerre sur les deux fronts et fut dans l’obligation de puiser dans les caisses et frapper monnaie à maintes reprises. Les prix du pain et de la laine s’en ressentirent d’autant plus que durant cette période, une épidémie de peste éclata à Istanbul puis se répandit dans toute l’Anatolie, semant tellement la mort qu’on ne trouvait plus faucheur dans toute la campagne pour récolter le blé.

Aussi, lorsque l’Al-Koyunlu proposa la paix générale en nous offrant en tribut une de ses provinces, Osman, loué soit sa sagesse, accepta volontiers de signer.

Il put ainsi rapatrier toutes ses troupes à l’ouest combattre les méchants chrétiens qui massacraient toujours aussi joyeusement nos sujets, nonobstant le devoir que leur religion, semblait il pour nous, leur devais souffrir.

Pendant cinq années, la guerre perdura et les Lituaniens au final signèrent la paix. Restait encore les polonais à mater, mais alors qu’ils avaient été bien chassé de chez nous, et que Osman II et les grands généraux Oman Herseki et Isa Oulouch s’en allait préparer en Silistrie le passage de leurs cavaliers en terre chrétienne, voilà que l’Al-Koyunlu, toujours allié à son funeste voisin le Qara nous attaque derechef, pissant ainsi sur le traité de paix signé 5 ans auparavant.

Par les grâces de Ali Ogdemü, grand vizir et diplomate hors pair, la paix fut signée à contre cœur avec le royaume de Pologne, abandonnant notre suzeraineté sur la Transylvanie, et nos troupes encore une fois durent tourner bride vers l’est. Cette fois la guerre fut plus difficile encore, mais au final la paix fut signée, et nous annexâmes Trébizonde en tribut. Il faut saisir ici le pourquoi de la difficulté de ces épisodes de guerre : en effet Osman II au début de son règne avait bien puisé dans les caisses et l’inflation avait atteint un niveau dangereux pour la stabilité de l’empire, aussi pour éviter que les braises du peuple ne se réveillent en incendie alors que l’épidémie de peste continuait de les attiser, Osman II prenait garde à économiser le moindre talent de cuivre pour que le poids de la guerre, continue depuis 10 ans ne pèse point trop dur sur le peuple. Aussi il put entretenir une armée fort convenable, mais point suffisamment nombreuse pour guerroyer sur deux fronts.

La série de déclarations de guerre ne s’arrêta pas là, et l’Albanie, allié à la Bosnie, se décida elle aussi à tenter sa chance contre nous. Mal lui en pris puisque ces deux royaumes furent facilement balayés, n’obtenant aucuns soutiens chrétiens, et ils furent vassalisés tout les deux en un tour de main.

La paix était revenue, et il semblait qu’enfin qu’Osman allait pouvoir s’intéresser au redressement de l’économie de l’empire, quand la peste l’atteignit à son tour. Un moment, l’espoir sembla égailler la cours inquiète : les meilleurs médecins de l’empire étaient à son chevet, et diagnostiquèrent une peste bubonique, qui bien que fatale à tout les coup pour le bas peuple encrassé, pouvait dans de rares cas trouver une issue favorable quand le sang du malade était suffisamment fort et vif pour isoler la maladie dans les bubons de l’aisselle, puis que celle-ci s’écoulait naturellement en le dehors du corps par ces mêmes bubons. Ces prédictions semblèrent justement se réaliser, Osman II réussissant à retrouver quelque force et à se lever. Mal lui en prit puisqu’à peine levé et ayant fait quelques pas il s’écroula sur son impérial buffet sur lequel siégeait le sabre de son père. Ce dernier lui trancha les aisselles desquelles sortirent un flot de pus et de sang, révélant de forts et multiples aposthumes. Si bien qu’il mourra deux jours plus tard pris de fièvre intense et de pourrissement de la peau. Malheureusement, il faut savoir que le royal flot de pus qui lui avait été fatal avait contaminé tout ses frères, et maints personnages important de l’empire venu assister à la convalescence de leur maître, et que ceci leur fut fatal à tous.

Ainsi il ne resta plus personne pour gouverner à Istanbul. Un conseil de régence se mit en place, supervisé par les deux généraux, que la grâce d’Allah avait protégé de la maladie et il dura 3 ans, de 1471 à 1474. Durant ces trois années une guerre civile éclata, qui ruina l’empire encore plus, certains survivants d’importance se réclamant de l’héritage d’Osman II. Heureusement, la peste disparue aussi vite qu’elle était apparue durant cette période.

Finalement, en 1474, Ahmet Ier devient notre sultan, ayant fait la plus généreuse des offres aux généraux. Il fonda une nouvelle dynastie.



Ahmed Ier

Durant son règne, l’alliance polono-lituanaise nous déclara encore une fois la guerre mais elle fut repoussée. La paix blanche fut signée dès que possible car Ahmet Ier ne souhaitait pas ruiner son pays dans une guerre longue et difficile dans les pauvres plaines de Pologne.

Ahmet Ier dut tenir sa promesse envers les généraux et il les laissa entreprendre les préparatifs militaires pour une guerre de conquête contre les Mamelouks d’Egypte. Le cassus-belli nous fut en réalité fort généreusement offert quand ces derniers annexèrent la Cilicie à l’un de nos voisins et amis. Ainsi la guerre fut déclarée en cette année de 1479 et est en cours actuellement.





Diplomatie :



Notre diplomatie concernera surtout notre voisin russe, puisque nous n’avons aucune nouvelle de l’Empereur des chrétiens.

Nous souhaitons dire au tsar que nous ne regardons pas d’un bon œil l’expansionnisme dont vous avez fait preuve, au moment en réalité, et c’est là motif de gravité le plus ultime, où nous étions occupé dans nos propres affaires intérieures, tentant de sauver l’intégrité de notre Empire. Sachez maintenant que nous avons les mains libres ayant maté ceux qui nous menaçaient, et qu’ainsi nous regarderons attentivement ce qui se trame en Crimée, zone de la plus cruciale importance aux yeux du Sultan soyez en conscient.

Nous ne souhaitons aucunement le conflit, direct ou indirecte, mais gagez que si jamais celui-ci devait éclater, notre sublimissime sultan demanderait en tribut la libération de la Crimée. Nous n’avons que faire de ce que vous faites au nord de cette région, ni à l’ouest d’ailleurs, mais cette région est de trop grande importance, et vous le savez, car elle apporterait à celui qui la contrôle, que cela soit vous ou nous, un avantage par trop décisif. Nous sommes plus riches que vous et pouvons entretenir maintes troupes désormais, soyez en conscient quand vous prendrez vos décisions.

Bien évidemment, si l’envie vous prend de négocier avec notre grandissime Sultan, une ambassade sera la bienvenue.




Cartographie :

Notre Empire en 1480






La menaçante expansion russe
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