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  #1  
Vieux 27/02/2008, 20h51
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Déclaration du roi de Scandinavie Frederik III, grand protecteur de la foi réformé:


En cette année 1541, nul n'est sans savoir, qu'une terrible guerre dechire les Balkans pour repousser les musulmans des terres de notre belle Europe. Il y a de cela bientot un siècle que nous avons perdu Constantinople et depuis l'Ottomans n'a jamais été repoussé, il a toujours avancé vers nous! Cela ne peut plus durer, rejoignez nous dans notre croisade, chrétien de toute les confessions pour le salut du monde.

Cela va faire 4 ans, que l'Empereur et nous, nous sommes lancé, dans ce combat pour la liberté de toute l'Europe, , il est temps de lancé une nouvelle "reconquista" vers Constantinople comme celle de Grenade en Espagne! Nos forces ne peuvent suffir à apporter un rapide dénouement à la guerre, nous appelons donc tout les états chrétiens à nous rejoindre dans la lutte contre le perfide Sultan, l'envoyé de Satan. La libération de la Pologne ne dépend que de vous!

Nous appelons la France, la Russie, la Castille, Venise à participer au combat!

Amicalement le très Chrétiens Frederik III de Scandinavie.
__________________

L'homme n'est pas fait pour travailler, la preuve c'est que cela le fatigue. ( Voltaire )

On dit qu'il y a trois millions de personnes qui veulent du travail. C'est pas vrai, de l'argent leur suffirait. ( Coluche )

Si l'Administration travaillait dans le Bâtiment, elle aurait les doigts pris dans le béton. ( Coluche )
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Vieux 29/02/2008, 21h36
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Chronique du royaume de Scandinavie : 1527-1541.



Le calme régnait à la cour royale du royaume du Nord, le printemps arrivait tout juste en ce mois de mars, lorsqu’un navire arriva aux grands ports de Copenhague, apportant à son bord la nouvelle du rejet diplomatique de nos demandes communes avec l’Empereur de libérer la Pologne. La nouvelle fit grand bruit à la capitale, l’abject hérétique, cet antéchrist, ne méritait rien d’autre que notre glaive.

Notre roi très chrétien, défenseur de la religion protestante, ne pouvait souffrir de voir des frères chrétiens sous l’autorité d’un tel monstre, mais nous ne pouvions y aller seul, mais l’Empereur avait d’autre affaire, devant combattre le Hongrois, mais il ne pouvait l’attaquer lorsque celui-ci avait déjà affaire au Bosniaque et Serbe, nous dûmes donc attendre, alors que nos troupes avaient déjà été montées en 1527.

Il fallut donc attendre dix ans, pour pouvoir nous lancer à l’assaut, nous donnant l’occasion de rétablir notre commerce qui depuis quelques années était dans une mauvaise passe. La guerre put enfin commencer en 1537, après que l’Empereur eu réglé ses affaires et rassemblé le ban et l’arrière ban de la noblesse d’empire. pour partir à la guerre. Quant à nous, nous montâmes pour l’occasion 30 galéasses, et donnâmes le commandement à l’amiral Christian Reventlow pour pourfendre la flotte hérétique, et faire le blocus de leur côte. Au niveau terrestre 9 milles chevalier soutenu pour 11 mille à pied furent réunit pour faire le siège des places polonaises, commandé par Bent Jensen.

I. Nos armées terrestres repoussé.


Les premières heures du conflit furent peu glorieuses, notre état major pensait que les Polonais n’offrirait que peu de résistance mais à notre grande surprisse, il se défendait et ne nous accueillait pas en libérateur ! La noblesse polonaise et son roi jouaient la carte ottomane totalement face au russe qui avancé à l’Est, il préférait s’allier au sultan pour pouvoir recouvrir leurs terres perdues que de se révolté face à l’oppresseur ! D’autant plus que leur clergé exerçait sur le bas peuple une mauvaise influence les excitants à massacrer du protestant ! Face à un peuple si fanatique, ayant était perverti par le malin, nos forces ne purent résister bien longtemps, connaissant le terrain, et mieux entrainé, et commandait par de grand capitaine nos forces, les Polonais nous repoussèrent rapidement de nos sièges à Poznan et Kalisz.

Une année plus tard, nous retentâmes de remettre le siège mais fument encore une fois défait les Polonais étant soutenus par 8 milles janissaires.

2. La flotte pour rétablir notre honneur.
Face à ses défaites terrestres il fallait pouvoir rétablir nos honneurs sur la mer, notre domaine de prédilection, ayant les meilleurs marins d’Europe, dès 1537, nos forces s’étaient installer au port des forces musulmanes, bloquant le port de Constantinople à tout commerce et empêchant tout mouvement de troupe par les détroits. Nous fûmes outrées de l’inaction des musulmans qui au lieu de manœuvrer pour contrer notre blocus, restait établit à Alexandrie en attendant de monter une plus grosse flotte, s’il voulait jouer ce jeu là, il ne pouvait que perdre, 20 nouveaux navires furent donc construits.

Pendant trois ans, l’amiral Christian Reventlow attendit donc, n’ayant pu mener qu’une opération sur l’un des rassemblements à Alexandrie de navire mamelouk en coulant 2.

Qu’elle fut sa surprise alors qu’il se trouvait en son port d’escale ******, au moi de mars 1540, ouvert généreusement par le **** pour nos opérations, quand on vint le prévenir que la galéasse laissée en surveillance devant Alexandrie nous revenait portant avec lui la nouvelle tant espérée, les Mamelouks cherchaient la bataille !

La flotte principale sortit donc de la rade de Rhodes pour s’installer dans la mer de crête pour rejoindre la flotte de blocus et commencé la bataille sans attendre les autres corps navaux.

Face aux 30 galères réunit difficilement par les musulmans nous faisions face avec dès le début de la bataille avec autant de navire, avec prêt de 20 navires devant arrivé, l’amiral protestant était déjà sur de sa victoire, sa flotte disposait de bien meilleur navire, transportant plus d’artillerie et plus d’homme, qui contrairement au musulmans combattait tous, ne faisant pas appelle à l’esclavage pour recruter nos rameurs.

Le 7 mars, les musulmans étaient en vue, notre flotte était à l’arrêt attendant patiemment la venue de l’ennemie. La flotte ennemie était l’antithèse de la notre, constitué de navire rivalisant de beauté et de raffinement, alors que la notre n’était construite et conçue que pour sa mission, la bataille. Leurs soldats habillaient de manière chamarrée alors que les nôtres étaient en simple pourpoint à la manière de tout réformé.

Christian en bon réformé fit donner une prière avant de lancer ses forces sur les hérétiques:
« Tu es le Dieu des armées pour confondre celles qui se dressent contre toi et les tiens et soutenir et fortifier et conduire celles qui marchent pour ta gloire, et pour la conservation et liberté de ton Eglise, puisque c’est pour cela même, et outre le service de notre roi, que nous portons aujourd’hui les armes. »


Après cela le massacre des suppôts du diable put commencer après un rude choc entre les deux flottes fonçant l’une sur l’autre se frappant l’une l’autre de ses pièces d’artillerie dont nous avions dès le début un avantage de 50 pourcent, se finissant en un corps à corps qui dura des dizaines d’heures et se poursuivi toute la nuit, dans une fureur indescriptible, les galères musulmanes tentèrent bien de sortir du combat mais il ne purent s’échapper, poursuivit par une ordre de navire qui étaient maintenant deux fois plus nombreuse, la flotte étant totalement rassemblé. La victoire était totale, la flotte mamelouk était passé totalement par le fond alors que la notre n’avait perdu aucune pièce, n’ayant que des dommages de faible ampleur et ne demande que quelque mois de réparation en rade de ******.





C’est ainsi que le blocus put reprendre à une plus grande ampleur n’ayant plus de menace à craindre, bloquant tous les ports de la mer Egée, Marmara et de la méditerranée orientale, et bientôt de Crimée ?


Nos marins ne pouvant guère faire plus, ne pouvant débarqué libéré la terre sainte, dont notre drapeau et nos coeurs n'avait été aussi proche, aux grands désappointements de ceci, priant dieu de pouvoir y revenir et de la libéré dans une croisade rétablissant défénitivement nos droits sur cette terre sacré!

(Dsl mais le AAR a du être censurer pour la défense d'une personne menacé)
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Dernière modification par TCAO ; 01/03/2008 à 00h44.
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  #3  
Vieux 01/03/2008, 00h25
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Par défaut Epopées mamelouks (1527 - 1541)

Epopées mamelouks (1527 – 1541)

911 (1533), Antique Vallée des Morts, minuit. Quelques ombres furtives se glissent au bas d’une colline. Dans un froissement de murmures et de burnous des pelles s’entrechoquent, des pierres jetées au bas d'un monticule résonnent dans le silence de la vallée désertique.
Proximité du marché d’Alexandrie, quelques mois plus tard, dans une caserne. Un capitaine prend la parole devant ses troupes réunies : « Des renseignements étranges sont parvenus à la cour ; une rumeur de trésor mis au jour et vendu sous le manteau se répand. Tous ces ors et pierreries proviendraient d’une mystérieuse vallée au sud du Nil, volés dans des sépultures honteusement violées de rois païens antiques nommés pharaons. De vieilles peurs impies et superstitieuses agitent le peuple de la vallée du Nil. Nous nous devons d’intervenir et confisquer ces richesses. »
Ainsi fut fait. Les richesses retrouvées dépassaient l’imagination. Quel pouvait donc être cet antique royaume ayant réuni tant d’objets d’art dans une sépulture ? La question demeura sans réponse mais une autre plus immédiate s’imposa : à quel usage allions-nous employer cette manne tombée du ciel (1500 ducats) ? Décision fut prise de bâtir sur place une université pour restaurer la gloire d’Alexandrie qui jadis avait abritée la plus grande bibliothèque du monde dans son célèbre phare disparu il y a quatre siècles.
Et c’est ainsi qu’en décembre 916 (1538), le sultan Janbulat II inaugura à Alexandrie la seconde université du pays.
Quelques faits mineurs agrémentèrent également cette période :
• Vassalisation du Qara Qoyunlu : en 1528, notre sultan Janbulat II décida que le temps était venu de préparer l’intégration du Qara Qoyunlu dans notre royaume. En effet nous avions des droits sur les provinces de ce petit royaume (2 cores). Malgré une nette infériorité technologique de nos armées nos frères « qara-qoyunléens » ne purent longtemps résister et acceptèrent avec reconnaissance leur vassalisation.

• Pacification de la Méditerranée. Depuis longtemps importunés par la piraterie des Chevaliers de Rhodes, en avril 908 (1530) notre sultan profita d’un énième raid des brigands chrétiens sur nos côtes pour y lancer nos troupes. Fort de 16 galères notre flotte écrasa la petite flotte chrétienne de 8 galères devant le port de Rhodes, mais sombra elle-même à moitié. Qu’importait, nous avions la voie libre pour assiéger les remparts, magnifiques de hauteur et épaisseur (5000 hommes en garnison !), en apparence imprenables. C’était sans compter avec notre ulcération envers leurs raids et notre volonté d’en finir. Grâce à nos 5 coques nous organisâmes un beau balai incessant de transport de troupes. Il nous fallût pas moins de trois assauts successifs en deux ans, et y sacrifier 40.000 braves soldats pour faire plier les Chevaliers. Nous les annexâmes. Alors se posa le problème de leur avenir dans notre royaume : peuplée de chrétiens, l’île était indéfendable en raison de nos maigres capacités navales – fait cruellement illustré quelques années plus tard. C'est pourquoi nous nous résolûmes à la vendre à Venise pour 450 ducats.
Peinture évoquant le premier siège de Rhodes : (30.000 hommes au départ ...)
• Honteusement et sans raisons apparentes, en 915 (1537), le roi chrétien d’Autriche déclara la guerre à notre allié ottoman. Nous ne sûmes jamais quelle mouche l’avait piqué ce matin là. Offensé dans notre foi musulmane, nous joignîmes nos forces à celle de l’Empereur Ottoman. Dans un premier temps nous convoyâmes des troupes dans la péninsule anatolienne, afin de sécuriser les arrières ottomans. Nous commençâmes à bâtir une nouvelle flotte. Bien nous en prit car nous vîmes bientôt arriver moult navires danois. Nous comptâmes 23 galères. Peu confiant en nos forces nous ne lançâmes nos propres galères en mer que lorsque nous pûmes en réunir 30. Hélas, un triste destin les attendait en mer. Jamais nous ne les revîmes. Sur terre nos armées ne brillèrent pas non plus. Contournant la Mer Noire pour se mêler à la sauvegarde de la Pologne, de nombreuses unités disparurent. Cependant nous en construisîment d’autres afin de continuer à apporter notre part à la désorganisation des forces assaillantes, et mater quelques révoltes en Anatolie.

SnoopyNap, Grand Vizir des Mamelouks

Dernière modification par SnoopyNap ; 02/03/2008 à 00h15.
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  #4  
Vieux 01/03/2008, 00h51
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Par défaut Délégations mamelouks

Délégations mamelouks
  • Aux rois autrichiens et danois : nous vous invitons à plus de grandeurs d'âmes. Si votre objectif est de libérer la Pologne, alors battez-vous en Pologne ! Et laissez nos marins pêcher en paix sur nos côtes !!
  • A tous les souverains chrétiens : nous prendrons contre vous des mesures d'embargo irrévocable à Alexandrie (à moins que vous n'y mettiez le prix pour le lever) si vous rejoignez la honteuse guerre contre les Ottomans. Pour l'Autriche et Kalmar, nous vous invitons à conclure au plus vite une paix blanche. Au Doge : notre colère contre les Chrétiens pourrait un jour rejaillir contre vous. En raison de votre monopole à Alexandrie, nous vous serions reconnaissants d'intervenir en faveur de la paix, de quelque façon que ce soit, auprès de vos voisins , sans quoi ...
  • A la Castille et Venise : merci de régler vos différends sans y mêler le Maroc. Bien qu'à ce jour, la Tunisie, seule des royaumes maghrébins, soit notre alliée , nous nous soucions malgré tout aussi du Maroc et de l'Algérie.
SnoopyNap, Grand Vizir des Mamelouks

Dernière modification par SnoopyNap ; 02/03/2008 à 00h15.
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  #5  
Vieux 01/03/2008, 15h23
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Déclaration du roi de Scandinavie, Frederik III, grand defenseur de la foi protestante.

A la Sublime Porte et au Mamelouk: Nous recommençons encore une fois nos
demandes, abandonnez la Pologne, ou nous continuerons le blocus de vos cotes, meme
si cela fait du tord à vos pauvres pécheurs qui la plupart du temps s'abandonne à la
piraterie sur les cotes des états chrétiens! Notre marine restera sur place le temps qu'il
faudra, le blocus suffit amplement à payer les soldes de nos marins, soyez en prevenu.


A l'Empereur: Nous sommes heureux de partager cette guerre avec un prince si
chrétien malgrès le fait que vous restiez fidèle à l'église romaine. Nous ésperons pouvoir
libéré le peuple polonais et lituaniens du tyran qui les diriges et chatier tout les appuies
du sultan en cette région. Nous avons le projet de descendre suivit de la cour de
Scandinavie à Vienne pour nous rapprocher du cour de la guerre et encourager plus
vivement nos soldats à quelques coups de mains.


Aux Royaumes unies: Très cher roi des royaumes des iles britanniques, sachez que
nous surveillons la situation de votre ile, avec la plus profonde attention. La cour discute
beaucoup des peuples de vos états ayant rejoint la réforme que nous défendons, sachez
que votre convertion nous ferrez grand plaisir et que nous pourrions parler ainsi
d'alliance entre nos deux états.


Au Portugal: Seigneur du Portugal, nous vous demandons le retour des terres
d'Islande spolié à la norvège lors des guerres franco-anglaise, sans se retour nous
mettrons le blocus sur vos cotes dès que la croisade sera fini, pour nous les faires
retrouver!


A la Russie: Très grand protecteur de la foi orthodoxe, depuis déjà plusieurs décennies
vos forces avance vers l'ouest, annexant en littuanie des terres qui vous revienne de
droit, mais aujourd'hui une partie de vos frontières touchent des provinces protestantes,
et sachant que bientot le roi de Pologne ne régnera plus sur ces provinces, nous
aimerions que vous les laissiez libre. Toute autre province d'une autre confession ne
nous interresse pas et soutenons toute annexions de votre part sur celle-ci.
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L'homme n'est pas fait pour travailler, la preuve c'est que cela le fatigue. ( Voltaire )

On dit qu'il y a trois millions de personnes qui veulent du travail. C'est pas vrai, de l'argent leur suffirait. ( Coluche )

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  #6  
Vieux 01/03/2008, 16h17
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Déclaration du Sultan :

A nos adversaires : Notre Empire n'est pas une île. tenez le vous pour dit. Vous avez beau en faire un blocus partiel cela n'amoindrit ni notre puissance ni notre volonté. Votre guerre n'est qu'une stupidité sans nom typiquement chrétienne. L'ardeur avec laquelle les troupes polonaises combattent montre à quel point vous vous trompiez lorsque vous pensiez que le roi de Pologne était mécontent de ses rapports avec nous.
Avec une sagesse remarquable pour un chrétien, il a compris qu'il ne pouvait compter sur aucun de ses coreligionnaires pour assurer sa sécurité face à l'ombre de l'est. Cette sagesse vous fît grandement défaut quand, par deux fois, vous repoussiez mes propositions de paix qui préservez un minimum votre honneur.
Vous n'obtiendrez jamais rien de durable par la force avec nous. Je pensais que l'empereur-fou l'avait compris...

Aux chrétiens : je vous invite très sérieusement à prendre en considération l'annonce faite par notre allié et ami le sultan des Mamelouks. Il ne sera toléré ni à Alexandrie ni à Istanbul qu'un chrétien pose le pied sur une terre musulmane. La multiplication des guerres de chrétiens contre les Etats musulmans d'Afrique du Nord (Castille, Venise) doit immédiatement cesser. Le Maroc doit retrouvé son indépendance complète et indiscutable. Nos représailles pourront aller de la sanction commerciale à la guerre.


Message personnel à l'empereur : votre allié actuel, le roi des infidèles scandinaves, vient de faire une déclaration surprenante. Il a clairement fait savoir au Tsar qu'il pouvait agresser des catholiques tant qu'il ne touchait pas à ceux qu'on appelle protestants. L'Empereur, autoproclamé défenseur des catholiques, rejoint-il cette déclaration ?
__________________
VIVE LA FRANCE !!!
VIVE L'OM !!!
VIVE LE ROI DES rois !!!

Vous voulez vraiment savoir qui est Danton ? Alors cliquez ici (surtout montez le volume avant )
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  #7  
Vieux 01/03/2008, 22h07
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Petite histoire de Venise

Après le revirement de la politique étrangère de la République, plus favorable à la France, nos marchands purent revenir commercer dans le centre de commerce de Paris, le Roi de France levant l’embargo, pendant que partout ailleurs nos marchands reprenant du poil de la bête permirent au trésor vénitien de dépasser le seuil symbolique des 100 000 ducats par mois, qui n’avait plus été atteint depuis longtemps.

Pendant que d’autres nations continuaient d’annexer à tout va comme à leur habitude, aucune nouvelles possessions n’entra dans le domaine de Venise par les armes. On notera juste l’achat de l’île de Rhodes aux Mamelouks d’Egypte contre 450 000 ducats d’or seulement.




La guerre Venéto-castillo-anglaise

Alors que les barbares pirates Mauresques, venant des côtes algéro-marocaines recommençaient à ravager l’Italie par leurs raides suprises, la Doge Commachio décida de lancer contre eux une expédition punitive qui devait permettre de détruire encore une fois les navires arabes, cependant qu’aucuns territoire ne serait annexé, Venise n’y ayant là aucun intérêt.

Quelle ne fut pas notre surprise, quand le Roi de Castille osa nous menacer d’un ultimatum, nous interdisant tout simplement de traverser le détroit de Gibraltar, en conséquence de quoi il nous déclarerait la guerre. A vrai dire, ce prétexte absurde se révélant totalement fumeux (le Roi de Castille s’intronisant protecteur des royaumes musulmans d’Afrique du Nord fit bien rire toute la place Saint Marc), nous n’y prêtâmes guère d’attention, et les opérations au Maroc se poursuivirent. Mais quand on nous signala que des troupes espagnoles descendaient du nord marocain vers Ifni où nous avions débarqué (troupes espagnoles encore présentes du fait de leur dernière guerre, remarquez l’ironie de la situation), notre petit corps expéditionnaire tenta de résister de la façon la plus brave possible, mais devant le nombre ils durent plier bagage et rentrer en Italie. La flotte d’évacuation rencontra une escadre espagnole devant Tanger, et le combat s’engagea au profit d’une écrasante victoire de Venise, celle-ci annihilant l’escadre ennemie.

Une fois ces évènements passés, la guerre fut des plus calmes, et se borna à l’arrestation de quelques navires de commerce des deux partis. Cependant la République préparait une offensive majeure : à l’Arsenal un nombre considérable d’ouvriers, de charpentiers, de marins et de soldats se massait secrètement, préparant la sortie de la Flotte vers les colonnes d’Hercule, puis la capture des îles de l’Atlantiques telles que les Açores, Madères et les Canaries. En effet, le Roi du Portugal eut la mauvaise idée de se joindre au conflit contre nous, tout comme l’Angleterre dont nous ne saisissons pas bien le rôle et l’intérêt dans cette affaire. Pour la Doge, il fallait profiter de cet état de guerre non provoqué par Nous pour acquérir les Açores, permettant ainsi enfin à nos navires d’exploration, à nos marchands et peut être à quelques courageux colons de Venise de s’établir et de faire fortune sur le nouveau continent découvert par les français et mis en valeur au nord par les anglais.

Le voyage se déroula sans encombre. S’ensuivit la conquète rapide de Madères, et des Canaries comme prévu. La flotte croisa au large des côtes andalouses les navires castillans, appuyés par une escadre anglaise. Les lâches au lieu de combattre préférèrent rester à l’abri dans leurs ports. C’est quand nos troupes débarquèrent à Ponta Delgada que les anglo-castillans se décidèrent à venir à notre rencontre au large des Açores. S’ensuivit donc une colossale bataille où encore une fois, nos marins montrèrent leur invincibilité totale sur les mers : malgré un avantage numérique pour l’ennemi anglo-castillan, toute sa flotte fut pulvérisée, soit plus de 30 navires, et nous ne perdîmes que nos navires de transport, ce qui nous empêcha cependant de rapatrier nos 4 000 hommes des Açores conquises.

Sachant qu’en outre, la Castille possédait de nombreuses flûtes, si notre flotte devait à revenir en Italie pour récupérer de nouveaux navires de transport, nul doute que la Castille déciderait de reprendre les Açores. Ceci fut mis à profit par Marco dans le but de piéger les espagnols : notre flotte se retira totalement en méditerranée, prenant soin de donner du canon devant les forts de Gibraltar, signalant à l’ennemi que la route des Açores était libre. Le nigaud Roi à Madrid tomba dans le piège en lançant tout ses navires de transport sans escorte, avec à son bord 7000 cavaliers : toute la noblesse du Portugal et de Castille participaient à l’opération. Celle-ci fut comme prévue un désastre total : non seulement nos forces des Açores les repoussèrent, mais encore notre flotte arriva dans le dos des ibériques quand ceux-ci étaient en pleine évacuation : leur flotte fut poursuivie et décimée, et les navires de transport capturés permirent de rapatrier nos troupes en Italie sans que nous ayons eu besoin d’en construire de nouveaux.

Venise avait montré son invincibilité totale au niveau maritime : pas une flotte du monde connu n’est dans la capacité de nous mettre en échec. Maigre lot de consolation pour ce qui allait adevnir par la suite.



La brouille franco-vénitienne et la paix blanche

Alors que nous étions en droit de réclamer les Açores ( et uniquement cela au Portugal, ce qui ne lésait nullement la Castille), le Roi de France envoya une ambassade à Venise pour nous sommer littéralement de proposer une paix blanche à la Castille, sinon quoi il nous déclarerait la guerre pour y mettre fin…

Devant la pression de l’invincible armée française, nous dûmes céder de mauvaise grâce et la paix générale fut conclue.

Il s’ensuivit une réunion diplomatique au sommet à Milan où les différentes positions furent expliquées, ou le Doge fou de rage menaça d’abandonner toute relation avec la France après cette acte de quasi-demande de vassalisation. Fort heureusement pour tous, le Roi de France reconnut s’être trompé et fit ses excuses à la République, et le Doge lui pardonna, comme jadis le contraire eut lieu. Des quiproquos, des mauvaises rumeurs, et une incompréhension mutuelle provoquée par les agents espagnols furent la cause de cette crise. Un accord fut signé et les rancunes oubliées.






Diplomatie :

A la Sublime Porte et au Sultan du Caire : Nous avons bien compris vos demandes vis-à-vis du Maroc et de l’Algérie, et croyez bien que la République de Venise, ayant montré sa neutralité dans le conflit actuel entre union de Kalmar et ottoman, saura faire en sorte que les marchands vénitiens ne soient pas inquiété dans leur commerce à Alexandrie et à Istambul. Tant que d’autres centres de commerce ne seront pas découverts pas nos explorateurs, nous feron tout pour que nos relations soient les meilleures possibles.



A l’Autriche et à Kalmar : Nous ne pouvons qu’approuver vos demandes vis-à-vis de la libération de la Pologne d’une quelconque emprise, que celle-ci soit musulmane, orthodoxe, ou encore … protestante. Mais la guerre et les horreurs qu’elle apporte ne nous semblent pas être la meilleure des solutions, d’où notre neutralité. Des négociations sont ils en cours ? Venise peut jouer le rôle de médiateur si les deux parties le souhaitent.

A l’Angleterre : Nous souhaiterions des éclaircissements vis-à-vis de votre position clairement anti-vénitienne dans le dernier conflit avec la Castille : vos navires ont ouvert le feu contre les nôtres et ont été détruit. N’oubliez que vous avez libre droit de commerce… ce libre droit pourrait être remis en cause si des explications claires ne nous sont pas fournies. Nous vous considérions comme une nation amie après tout ce que nous avions fait pour vous. Dans l’attente de votre réponse nous restons dans l’expectative.

A la Castille : nous ne comprenons vraiment pas d’où vous vient ce sentiment anti-vénitien. Si vous souhaitiez engager des discussions vis-à-vis du problème colonial, qui semble être la cause de nos dissensions, nous sommes ouverts à toute proposition.

Il est étrange que la prochaine colonisation vénitienne fasse tellement peur à autant de pays alors que Venise a montré à tous qu’elle était la nation la plus pacifique de méditerranée… Venise n’aspire pas à une quelconque puissance militaire ou à une quelconque hégémonie puisqu’elle a tout à fait conscience qu’elle ne pourra jamais se targuer d’un tel rôle. Le libre droit de commerce suffit déjà à faire de Venise une nation amie pouvant se révéler très généreuse quand le besoin s’en fait sentir. A ce propose nous nous inscrivons en faux vis-à-vis des accusations autrichiennes : l’Empereur disant que Venise ne lui aurait pas envoyé une seule caisse d’or dans sa dernière guerre contre la Hongrie alors qu’il n’en est rien.

A la Russie : les peuples barbares de l’Est du monde ont besoin d’une main de fer pour maintenir l’ordre que leurs instincts animaux peuvent dicter. Nous reconnaissons en vous cette main, et souhaitons que vous puisiez apporter quelque bribes de civilisations en ces terres glacées.

A la France : Suite à l'épidémie de peste qui ravage actuellement la campagne française, provoquant des désordres cataclysmiques, nous vous annonçons que tout personne en provenance de la ligne Milan-Gènes est désormais interdite de passage sur les terres de la République. Seul le paiement d'un droit de passage de 5 ducats d'or par personne après une quarantaine de 40 jours est toléré. Si le fléau venait à se propager davantage, les conséquences en seraient terrible, n'oubliez pas la dernière peste noire ! Nous invitons donc toutes les autres nations à faire de même et à prendre les mesures qui s'imposent pour éviter au fléau de s'étendre davantage.
Notez l'étrange coincidence entre le conversion du Roi de France à la religion protestante (que nous reconnaissons et autorisons avec mesure) et ces évènements terribles. Est ce là un défit que Dieu envoit pour tester votre foi ou une punition divine pour hérésie ?

Dernière modification par comeon ; 01/03/2008 à 22h31.
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  #8  
Vieux 02/03/2008, 00h14
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Par défaut Délégation mamelouk au Doge

Nous remercions le Doge de ses propositions de médiation dans le conflit austro-ottoman ; nous n'en attendions pas moins de vous.
SnoopyNap, Grand Vizir des Mamelouks
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  #9  
Vieux 02/03/2008, 00h43
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Chroniques Impériales. 1527 – 1540. Les Croisés reprennent du service





La chrétienté menacée, la Chrétienté bafouée, voilà quel était l’état du monde en 1527 . Le Sultan Infidèle, en effet, défiait ouvertement la Chrétienté : il avait vassalisé de force la Pologne puis lui avait imposé une alliance militaire . Sans surprise, la plupart des royaumes chrétiens , ne réagirent pas le moins du monde, préférant dévorer d’autres frères chrétiens, sans le moindre scrupule, sans le moindre remord. Ultime Rempart de la Chrétienté, l’Empereur Dieu, lui, déclara son intention de se croiser pour libérer la malheureuse Pologne :epee: .


Mais les conseillers musulmans qui gravitaient autour du Roi de Hongrie usèrent de toute leur influence pour empêcher la croisade : ils nous refusèrent en effet un accès militaire . Au nom du Christ Sauveur, les armées Impériales se mirent alors en marche et les troupes Hongroises furent balayées comme des fétus de paille. Le problème Hongrois règlé, la Croisade allait pouvoir commencer et là, surprise, un noble monarque Chrétien déclara vouloir se joindre à nous : c’était le Roi de Scandinavie . Aussi, c’est avec ce fier et noble Roi Chrétien que se lança cette nouvelle croisade.


Très vite, il apparut que les Croisés luttaient à un contre deux : le Sultan Infidèle, en effet, pouvait compter sur le soutien de tout un réseau d’allié qui gonflaient ses effectifs de façon outrageuse ( Pologne, Horde d’or, Crimée, Wallachie, Mamelouks etc etc). Malgré cela, les armées Impériales l’emportèrent aisément et mirent le siège devant la Bessarabie, afin de couper la route directe qui menait l’Infidèle directement en Pologne. Les Janissaires tentèrent bien de réagir, mais leurs réactions étaient molles et peu convaincantes . Le succès de cette offensive semblait assuré quand, soudainement, des dizaines de milliers de farouches soldats Polonais surgirent. Répugnant à verser le sang chrétien ( d’autres monarques devraient prendre exemple ), les armées Impériales hésitèrent et ce bref moment de doute leur fut fatale. Ce fut la déroute .


Au même moment, le Danemark, s’il remportait de brillants succès navaux, voyaient de même son offensive en Pologne du nord complètement repoussée et ce pour les mêmes raisons : si les Croisés avaient commis une erreur, c’était bien d’avoir sous-estimés le nombre et la qualité des forces armées Polonaises . La contre-offensive put commencer et les Impériaux furent submergés par le nombre, le Sultan Infidèle avait des troupes deux fois plus nombreuses que nous grâce au support de ses nombreux et puissants alliés. La Hongrie devient le nouveau champ de bataille et, de longs mois durant, les hordes Infidèles s’abattirent en Transylvanie et dans les Carpathes, qui tombèrent brièvement.


L’Empereur cependant avait pris la mesure de la formidable puissance adverse et, sans se décourager, reconstitua ses forces et repartit à l’assaut : une grande offensive fut lancée au nord et les Polonais, qui avaient envahis l’Autriche, furent balayés. Les Carpathes furent reconquises, Krakow était assiégé et les Impériaux s’enfonçaient en Pologne à la rencontre de leurs alliés Danois, bousculant tous les Janissaires envoyés en Pologne pour tenter d’enrayer l’offensive, en vain. Le front Hongrois, malheureusement, céda complètement et l’Empire subit une très lourde défaite en Transylvanie, qui remit tout en cause . L’Empereur Dieu dut stopper son offensive en Pologne et rediriger en toute hâte ses armées vers le sud, où l’Infidèle et ses alliés avançaient de plus en plus.


Après de sanglantes batailles, les Janissaires, soutenus par des milliers de Mongols des steppes, furent repoussés et l’Empire contre-attaqua en Wallachie. Une fois encore, cependant, la rupture totale d’un front, au nord cette fois, nous obligea à renoncer. Polonais et Musulmans unirent alors leurs forces pour défoncer la Hongrie et, pour la première fois depuis le début de la guerre, l’Empereur dut mobiliser des troupes supplémentaires : l’hécatombe avait réduit nos hordes de 40% alors que l’Infidèle, massivement soutenu par ses alliés, ne cessait de grossir, en quantité si ce n’était en qualité.


L’arrivée de ces troupes fraiches permit à l’Empereur de lancer des contre-offensives particulièrement vigoureuses et audacieuses : les Polonais reculèrent, puis le Sultan Infidèle subit une défaite magistrale en Transylvanie , sur le même champ de bataille où il avait remporté sa plus grande victoire, il y avait de cela deux années. Le vent avait tourné . Les troupes Impériales poussèrent leur avantage et expulsèrent l’envahisseur de toute la Hongrie. Après trois années de guerre, c’était le statu quo… En apparence en tout cas. Mais en réalité, les Croisés ont pris l’avantage, et ce de façon indiscutable : le blocus Danois ruine l’économie Infidèle et, surtout, le Sultan est à bout de force, épuisé, vaincu . Bientôt, il viendra nous demander la paix.


Que le monde entier sache que les exigences des Croisés Justes et Bons sont très simples et très honnêtes : la libération de la Pologne. L’Empereur salue le courage et la volonté de son allié de Scandinavie, qui n’a pas hésité à prendre les armes pour contrer la menace Infidèle, alors que d’autres souverains chrétiens au mieux ferment les yeux, au pire menacent ouvertement, et avec un manque flagrant de courage, l’Empereur en pleine croisade. Toute la différence entre un Juste et un scélérit .
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  #10  
Vieux 02/03/2008, 00h48
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Déclarations Impériales



A notre allié de Scandinavie. Un Palais gardé par des centaines de nos meilleurs soldats est à votre disposition à Vienne : la Capitale Impériale est en pleine effervescence pour vous accueillir dignement. Nul doute que cette proximité nous permettra de mieux coordonner nos plans : la victoire nous attend ! Pour la Pologne Libre et pour le Christ Sauveur !


A la Castille chère à notre cœur. Votre courage, votre grandeur d’âme et votre raffinement exquis font de vous l’homme du siècle . Un jour viendra où le Très Haut vous bénira personnellement, mettant fin ainsi à la malédiction qui pèse actuellement sur vous.


A Venise. Reprenez-vous que diable ! Où est le Doge qui jadis combattait à nos côtés pour sauver la Chrétienté menacée ? Ne cédez pas aux sirènes du Mal : récompense terrestre n’est que temporaire, le Jugement Dernier est éternel . Concernant vos dénégations sur les sacs d’or qui nous seraient parvenus, l’Empereur Dieu ne réfute ni ne confirme : suite à l’immense confusion qui a suivi la première interprétation de tous les dons en or, nous avons en effet décidé de ne plus accorder la moindre attention à ces rapports frauduleux .


A la France. Nous louons votre volonté de vous croiser et espérons que les paroles se transformeront un jour en actes : la libération de Jérusalem, voilà qui serait digne de vous !


Au Sultan. Votre refus de négocier et votre intransigeance nous attristent . La guerre se poursuivra donc, dix ans, vingt ans ou quarante ans, peu nous importe : notre mission est Sainte et nous ne renoncerons pas . Ne vous avisez pas enfin d’attaquer la noble Castille sous le fallacieux prétexte de libérer le Maroc, sur lequel de nombreux pays chrétiens sont déjà passés sans que vous ne réagissiez : ce serait pour nous un Casus Belli.


A l’Emir des Mamelouks. Nous notons votre volonté de conciliation, mais sachez que l’intransigeance totale du Sultan rend la poursuite de la guerre inévitable. Pourquoi ne lanceriez-vous pas vos armées contre Constantinople afin de contraindre votre turbulent allié à la paix ?
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