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  #1  
Vieux 19/11/2007, 09h08
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La seconde compagne d'Afghanistan et le retrait des Frisons de la Péninsule Arabique.

Les Années suivant la Grande Guerre contre l'Impérialisme Vénitiens virent l'Empire
intervenir en Afghanistan pour aider soulager quelque peu le Russe qui commençait à
peiner face à l'Armée Chinoise si nombreuse. Malheureusement devant les menaces
d'intervention toujours possible à l'Ouest le Sultan ne pu engager que le quart de ses
effectifs dans une campagne qui tint presque de la promenade militaire tant l'armée
chinoise était inférieur en qualité et en
équipement. L'Empire s'empara de toutes les provinces allant de
l'océan indiens aux frontières Nord de l'Afghanistan avec le soutien
de ses vassaux. La Chine céda finalement 4 provinces Balouches au Sultan pour que ce
dernier se retire de la guerre ce qui fut accepté par le Sultan qui se désintéressait
quelques peu de cette campagne militaire sans gout.

Il avait désormais engagé une autre campagne, diplomatique cette fois, avec la Puissance
Frisonne. Le Sultan souhaitait que cette dernière cède sa Suzeraineté sur la péninsule
Arabique. Après discussion avec le DUc de Frise, il fut trouvé un arrangement diplomatique
entre les 2 puissances ou chacune trouvait son pain blanc. Bien que cette négociation couta
cher au Sultan, il jugeait qu'il n'était pas bon, aux vues des condititions diplomatique en Europe, d'infliger au Duc de Frise une défaite supplémentaire.

Ainsi en 1640, l'Empire est toujours tout puissant a l'Est du Bosphore. Il s'en renforcé de
nombreux centres de recrutement, peu désormais compter sur une armée parmi les plus
importantes et les plus modernes du monde. Malgré cela l'Empire reste aux aguets devant
les événements Européens qui virent la France et Frise défaites par une coallition des plus
étranges :

Messages diplomatiques :

A la France:

Courage, vos ressources sont illimitées

A l'Anglais

Toc toc, il y a qqn ?

A la Suède

When do you will rock the World ?

A la Pologne

Félicitation pour votre développement économique

A la Russie

Cher voisin, n'hésitez pas à nous faire part de vos éventuelles projets à l'Est. Le Sultan n'aime pas le Chinois.

A l'Empereur Teutons

Bravo pour votre victoire, mais ne vous liez pas a n'importe qui.

A Venise

Il semblerait que vous vous inquiétez de l'embargo Impérial, certainement autant que nous
nous inquiétons de vos propos vis-à-vis de notre Empire. Nous attendons donc toujours
votre ambassadeur pour explication et excuse. Sans cela nos centre resteront fermés.
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Vieux 19/11/2007, 12h42
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Chroniques Autrichiennes 1631 – 1640



Venise, essouflée par sa dernière guerre avec l’empire de la sublime porte ; la France, se préparant à une confrontation avec l’Espagne ; la Pologne, désorganisée par une longue période de régence.



L’occasion était trop belle pour ne pas la saisir, de récupérer ce qui nous avait été volée 20 ans plus tôt (Hesse et Nassau). Dés 1630, le projet d’attaque était élaboré, mais c’est en 1631 qu’il démarra. Toute notre armée envahit le duché de Frise. L’empereur avait embauché pour l’occasion, un Pasteur Hollandais, évincé du pouvoir par la confrérie des moines d’Euhutrois, un dénommé Ric Grossach . Sa réputation de ne « pas faire dans la dentelle », était grandement connue de tous, et l’Empereur lui donna loisir de prouver qu’elle n’était pas usurpée. C’était également l’occasion de démontrer que, « la grosse masse », en Autriche, on sait faire aussi…



La campagne fut donc menée tambour battant par Grossach, et rapidement les deux tiers du duché Frison étaient occupés.

Alors que les vestiges de l’armée ennemie, faisaient la navette entre la Flandre et Zeelande, c’est le moment que choisit la France, pour voler au secours de son allié.

Personne ne lui reprochera de respecter ses engagements, mais était-ce opportun ? Dieu seul le sait. Toujours est-il que cette intervention brisa l’élan de Grossach, et une guerre de position s’instaura, sans que personne ne put savoir jusqu’à quand elle aurait duré.

Fort heureusement, l’Espagne, éternel ennemi et rival français, sauta sur l’occasion pour déclarer une guerre qui était déjà imminente, avant l’assaut Autrichien sur Frise. Cerise sur le gâteau, la Sérénissime république de Venise, fort mécontente de l’attitude Française au sujet de la Savoie, se joignit à la fête. Grossach, dans un ultime effort, profita de la confusion et enrôla moults mercenaires, qui délogèrent les français de leurs positions récemment acquises.



L’état major Français, devant se couper en trois fronts, jugea bon de jeter l’éponge, laissant à Frise le soin de payer seule, la note.

Hesse et Nassau, revenaient dans le giron Autrichien.





Messages diplomatiques



A Venise
Cher ami, nous avons le même objectif : la défense de la chrétienté. Puisse Milan revenir dans le droit chemin de l’église catholique, sous votre autorité.



A la France
Mon cousin, nos affaires ne s’arrangent décidément pas. Votre politique « pragmatique », comme vous vous plaisez à la qualifier, reste hélas à nos yeux, …nébuleuse.



A la digne et fière Angleterre
Notre porte vous est toujours ouverte…
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Dernière modification par vince ; 19/11/2007 à 12h48.
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Vieux 19/11/2007, 15h15
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Réaction du Patriarche Orthodox d'Istambul à la missive Autrichienne

Citation:
Cher ami, nous avons le même objectif : la défense de la chrétienté. Puisse Milan revenir dans le droit chemin de l’église catholique, sous votre autorité.
Cher Empereur,
Il semble que votre conception de la chrétienté s'arrête aux
frontières du catholicisme. Vous semblez oublier que les Chrétiens
Orthodox, Protestants et Réformé sont aussi des enfants du Seigneur
notre Dieu. Nous appelons les Puissances défendant ces cultes à dénoncer publiquement l'intégrisme Religieux dont s'affuble certains
grand de ce monde ! Que la Russie, grande puissance orthodox sorte
de son autarcie et prenne la défense de notre communauté aux côté de
l'éclairé Sultan !

Réaction Pasteur Ric représentant Impérial des immigrés protestants français en Turquie à la missive Autrichienne

Citation:
Cher ami, nous avons le même objectif : la défense de la chrétienté. Puisse Milan revenir dans le droit chemin de l’église catholique, sous votre autorité.
Cher Empereur,
Voilà qu'à votre tour vous excluez les protestants de la communauté chrétienne qui,
pour vous, n'est formé que des seuls membres du
Culte catholique dont les Eglises semblent plus emplies d'or que
de foi et dont les curés bedonnants dégoulinent de corruption.
Cette mise à ban des Protestants annonce de nouvelles victimes d'un
obscurantisme dont notre Seigneur ne se serait jamais voulu.
Revenez à la raison avant qu'un peuple éprit de liberté vienne
chercher dans vos églises l'or qui lui permettra d'acheter son pain !
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Vieux 19/11/2007, 17h16
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Réponses de l'Empereur :
Au patricharche de l'église orthodoxe de Constantinople
Vous extrapolez nos propos. L'empereur n'a pas remis en cause le schisme d'orient de 1054. Vous vous affolez inutilement. Soyez rassurés, il n'y a pas de population orthodoxe dans le Saint-Empire, et donc nulle raison de hurler à l'intégrisme religieux.

Au Pasteur Ric représentant Impérial des immigrés protestants français en Turquie
(Mais combien y'a t-il de Pasteur RIC ??? )


Réveillez-vous mon bon... Cela fait plus de 100 ans, que les Empereurs du Saint Empire ROMAIN Germanique, ont déclaré impies, les thèses luthériennes et Calvinistes. Quoi de plus normal, quand on dispose de l'onction de sa Sainteté le Pape, que de défendre son Eglise ?
D'ailleurs, si vous tenez tellement à jeter l'opprobe sur ceux qui défendent l'Eglise Romaine, sachez que la fille ainée de celle-ci, la France, partage le même point de vue que l'Empereur à ce sujet. En effet, le roi de FRance n'a jamais caché ses désirs de convertir ses provinces infidèles, ce dont l'Empereur s'est toujours félicité. Rappelons-nous également que l'Autriche a cédé gracieusement la province de Metz à la France, moyennant une promesse de conversion.
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Vieux 19/11/2007, 17h39
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Message du Kniaz

Au nom du Velche



La Russie n'est en aucun cas autarcique. Lors de la dernière guerre entre l'Autriche et la Frise, elle a immédiatement amené 30000 hommes à la frontière autrichienne, à travers les plaines Polonaises, jusqu'à ce que la France annonce qu'elle assumait le rôle de défenseur de la Frise. Nous avons renoncé alors à entrer en action car la guerre à 3 contre 1 ne fait pas partie de nos valeurs, mais si la France n'avait pas souhaité agir nous ne nous serions pas défilé. Nos alliés ont toujours pu compter sur nous.

A l'Angleterre: si vous estimmez que mener la guerre aux Mings est une partie de plaisir, n'hésitez pas à vous lancer ! Leur équipements et leurs techniques sont peut etre obsolètes mais leur nombre infini fait que le front est toujours une boucherie, surtout en Sibérie centrale. Ces guerres extraordinairement couteuses ne nous ont jamais apporté que quelques plateaux arides. Mais conformément à nos annonces, nous n'avons pas hésité à dépenser ensuite sans compter pour porter le message du Christ dans ces territoires. Les Mings font toujours partie des nations les plus riches du monde , ce ne sont pas vos tribus d'Amérique du Nord.

La Russie est prête à toute forme de collaboration, en particulier au niveau commercial et colonial. Faites-nous donc des propositions au lieu de gémir, nous les étudierons avec bienveillance.
Nos voisins se sont montrés dignes de confiance. Nous menons la politique que nous avons toujours annoncé et n'avons été trahis par personne.

Pour ceux qui en doutent, nous rappelons notre position générale: la Russie n'est pas là pour changer les rapports de force en Occident, à moins que celà serve notre politique: prédominance en Asie, extension commerciale, succès de l'orthodoxie. Sinon, c'est comme le disent nos marchands allemands: Demerden Sie Sich

Quant à notre position vis-à-vis des Balkans, nous resterons en bons termes avec quiconque respectera la religion orthodoxe là où elle est installée. Toute tentative de conversion forcée se heurtera à notre hostilité. Toute libération de nation orthodoxe sera extrémement bien vue par la Russie. Pour l'heure, les comportements se valent.
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Vieux 19/11/2007, 17h49
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Citation:
Envoyé par vince

Au Pasteur Ric représentant Impérial des immigrés protestants français en Turquie

D'ailleurs, si vous tenez tellement à jeter l'opprobe sur ceux qui défendent l'Eglise Romaine, sachez que la fille ainée de celle-ci, la France, partage le même point de vue que l'Empereur à ce sujet. En effet, le roi de FRance n'a jamais caché ses désirs de convertir ses provinces infidèles, ce dont l'Empereur s'est toujours félicité.
Dites donc l'empereur "prix repère" de chez carrefour, vous croyez pas que vous êtes complètement à côté de la plaque là ?
Regardez un peu la titulature du pasteur ric, bougre d'âne , si c'est un représentant des immigrés protestants français en Turquie c'est qu'il connaît parfaitement la situation de la France .
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VIVE LA FRANCE !!!
VIVE L'OM !!!
VIVE LE ROI DES rois !!!

Vous voulez vraiment savoir qui est Danton ? Alors cliquez ici (surtout montez le volume avant )
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Vieux 19/11/2007, 17h59
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Citation:
Envoyé par lemarseillais
Dites donc l'empereur "prix repère" de chez carrefour, vous croyez pas que vous êtes complètement à côté de la plaque là ?
Regardez un peu la titulature du pasteur ric, bougre d'âne , si c'est un représentant des immigrés protestants français en Turquie c'est qu'il connaît parfaitement la situation de la France .
Oups...

Après tout, qu'importe... Cela ne fait que conforter l'idée que la France et l'Autriche sont à mettre dans le même sac

et puis c'est pas "prix repère" mais "marque repère"
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Vieux 25/11/2007, 17h06
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1640 –1647. Pas de changement sous le brouillard d’Angleterre





A la traîne technologiquement, ruinée et abandonnée de tous, maudite par les Dieux qui s’acharnaient contre elle, l’Angleterre était bien mal en point en 1640 . L’ambitieux programme lancé il y avait déjà 15 ans fut poursuivi avec une vigueur nouvelle : Londres avançait désormais à pas de géants pour combler le fossé immense qui la séparait des autres nations occidentales.


En 1643, le monde éberlué apprenait que l’économie Anglaise était désormais la troisième mondiale . Un océan gigantesque nous séparait toujours de l’Espagne, qui avait quasi le double de nos revenus, et des décennies d’avance dans le domaine technologique, mais le Portugal était rattrapé et la France orgueilleuse laissée derrière nous. L’heure arrivait tout doucement de solder certains comptes : un embargo commercial fut décrété contre Lisbonne.


Paniqué, le Portugal vient nous implorer de lever celui-ci, en échange de la levée de son propre embargo illégitime et injuste, qui durait depuis presque un siècle. Soit, l’Angleterre a accepté, mais que Lisbonne soit bien conscient d’une chose : à la plus petite incartade de sa part, nous rétablirons immédiatement notre embargo.


La croix dans une main, le mousquet dans l’autre, nos missionnaires extirpent enfin complètement tout le paganisme de nos provinces d’Amérique : des constructions d’églises viennent saluer ce nouvel exploit. Gloire à l’Angleterre, qui a apporté la parole de Dieu dans ses contrées sauvages pendant que les autres nations d’Europe ne pensent qu’à leur petit portefeuille.




Missives diplomatiques


France. Votre alliance contre-nature avec votre du voisin du sud nous surprend et nous inquiète. Nous demandons des explications et vous prévenons que nous vous gardons toujours à l’œil, notamment et principalement cet ambassadeur nommé « Lemarseillais » ( si ce dernier pouvait s’expliquer clairement de temps en temps, cela nous changerait )


Espagne. Cela ne vous coûte pas trop cher d’entretenir tant de catins ? Ne vous laisser pas vampiriser non plus, tant de monde compte désormais sur vos largesses que la terre cesserait probablement de tourner si vous veniez à disparaître.


Autriche. Courage, digne choupinette.


Frise. Toutes nos félicitations pour vos succès contre les Mings avides.


Portugal. Nous vous avons aussi à l’œil…


Venise. Si votre empire colonial est désormais un fardeau pour vous, n’hésitez surtout pas à nous le céder. Juste retour des choses, c’est grâce à notre aide formidable que vous avez pu le bâtir… L’absence de tout retour vis-à-vis de nos sacrifices ne sera pas oublié de si tôt en Angleterre…


Tibet. Nous vous remercions pour votre proposition d’alliance, mais sommes au regret de devoir la refuser : l’Angleterre n’est pas isolationniste par volonté, mais par nécessité. La guerre est un privilège de riche.
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  #9  
Vieux 25/11/2007, 18h01
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Chronique espagnole 1630-1647

Or et libre commerce

Après une sombre période au début du XVIIe sièce, où les finances et la richesse de l'Espagne furent ratrapées par des Etats comme la France ou la République de Venise, l'Espagne connue une véritable rennaissance économique en à peine une dizaine d'année. La création de la compagnie des Indes Orientales suite à la capture de Malacca, ainsi que notre avance technologique nous permit ainsi de remonter la pente descendante sur laquelle nous étions dangereusement engagée. De plus, la doctrine commerciale ultra-libre échangiste génialement imaginée par nos penseurs économiques et nos Rois, nous permit d'envoyer des marchands dans tout les centres de commerce connus. La qualité et le talent de nos marchands permettant de supplanter les marchands français et vénitiens.
Les revenus de la couronne d'Espagne s'élèveront ainsi à plus de 520 millions de ducats par mois.
Parallèlement à ce renouveau, la position diplomatique de l'Espagne fut comme toujours celle de l'équilibre européen :

Ainsi lorsque l'Autriche décida de recouvrer ses terres légitimes d'Allemagne illégalement en possession de Frise, et que voyant la France attaquer par la suite l'Autriche, nous ne pouvions et ne devions que suivre notre fidèle allié, et nos armées passèrent les pyrennées.
L'unique but de l'Espagne était de permettre à l'Autriche de recouvrer ses terres, et notre royaume n'émit aucune revendication.
La guerre fut courte, et volontairement nos troupes avancèrent lentement dans le sud de la France, le but étant de fixer les armées françaises pour que l'Autriche puisse finir sa besogne sans trop de difficulté, sans faire trop couler le sang français contre lequel nous n'avions aucun grief.
La paix fut donc signée,l'Autriche eut gain de cause, et l'Espagne signa une paix blanche générale.
Pendant cette houleuse période, un changement de Doge à Venise allait avoir des conséquences politique majeures puisque Venise ancien allié de la France et de Frise trahis ses anciens alliés pour s'allier à l'Autriche.
Notre sentiment était alors paradoxal. D'une part nous étions heureux que l'Autriche ait enfin trouvé un allié proche de ses frontières, et partageant quelques intérêts communs. Ce faisant l'Autriche navait plus besoin de nous pour assurer sa sécurité vis à vis de sa frontière du Rhin et pouvait voler de ses propres ailes.
D'autre part la trahison de Venise, chose que nous exécrons tout particulièrement, eut le douloureux effet de nous rappeler la trahison polonaise. Et le message diplomatique envoyé à Venise avant ces évènements fut amèrement regretté.
Ainsi la position diplomatique de l'Espagne se devait d'évoluer et de tenir compte de ce nouvel état de fait : d'une part par un rapprochement et une réconciliation définitive avec la France (chose attendue depuis plus de 200 ans!), d'autre part par une prise de distance avec Venise car la couronne espagnole ne s'aurait s'enticher des traîtres et des miéleux.
De la réconciliation avec la France une idée communemment admise émergea aux fil des discussions : les deux royaumes devaient signer leur alliance par la guerre, seul moyen de montrer notre confiance réciproque. Ainsi la France nous incita à la guerre contre Venise contre laquelle elle avait encore de grands griefs. Dans un premier temps nous repugnâmes à attaquer ce pays dont l'allié était notre ami autrichien, mais les propositions de la France nous incitèrent à attaquer, et des revendications très mineures (4 villes coloniales en amérique du sud anciennement espagnoles) furent annoncées. En réalité cette guerre n'était nullement une guerre de conquète, mais seulement une guerre pour la confiance. Parallelement à cela, la France annonça des revendications mineures envers l'Autriche (à savoir la vassalisation de la Suisse) une fois convaincue par nous de ne pas charger inutilement la barque.
La guerre fut rondement menée et en quelques jours Venise capitula en nous cédant 4 colonies. Pendant ce temps Autriche et France sont toujours en guerre, dont nous félicitons la modération en pertes humaines, et espérons que celle ci prennent rapidement fin. A vrai dire si la guerre n'aboutit à aucun avantage concret pour un camp particulier, la paix blanche peut très bien être une solution, l'Espagne pouvant dédommager financièrement la France pour ses efforts à la place de l'Autriche, à condition qu'elle suive le modèle de notre modération.

Pendant cette période, l'armée espagnole, afin de garantir l'indépendance de ses territoires devant une concurrence de plus en plus acharnée fut portée à 200 000h de façon permanente. Parallèlement la flotte fut considérabelment renforcée pour garantir les routes de commerces trans-océaniques.
A ce propos d'ailleurs, l'Espagne signale que du fait de sa doctrine libre échangiste, tout marchand est le bienvenu dans nos centres de commerce, tant qu'il n'empiète pas sur les affaires des notres. Cela à pour corolaire de laisser nos propre marchands faire fructifier leurs affaires dans tout les centres de commerce du monde connus. Bien évidemment nous garantissons le fait de ne pas attaquer les monopoles sur les centres de commerces nationaux.

A la France : nous sommes heureux de notre réconciliation, et sommes prêt à servire de médiateur dans votre conflit avec l'Autriche si les deux parties sont d'accords.

A Venise : allez et ne recommencez plus. La traitrise est une chose que nous avons en horreur , à vrai dire mais si elle ci sert nos propres adersaires, nous ne pouvons pas ressentir de l'amitié ou un autre sentiment approchant pour ceux qui se livrent à une telle activité. Mais le pardon de notre Seigneur se doit d'être appliqué également dans les relations entre Etats.
Afin de montrer notre volonté de repartir sur de bonnes bases, nous sommes prêts à vous racheter à bon prix votre empire colonial d'amérique du sud.
A vrai dire, notre prix serait tellement généreux, que nous ne pourrions trouver qu'extrèmement désagréable si ces terres étaient vendues à une autre puissance.

Au Portugal : vous avez toujours été notre fidèle allié, et avez toujours respecté votre parole. Tant que ces relations entre nos deux pays continuent de la sorte, et que nos marchands peuvent librement commercer, nous resterons des amis en toute circonstance.

A l'Angleterre : Votre proposition d'achat des terres vénitiennes en Amérique a reçu à Madrid un accueil extrèmement défavorable. Ce n'est pas de cette manière que les relations entre nos deux royaumes s'amélioreront. A cela est cumulée l'éternelle pleurnicherie anglaise désormais célèbre dans toute l'Europe. Prenez garde que quelque écrivains de théâtre n'en viennent pas à user de ce défaut pour en faire des comédies qui traversaient l'histoire et marquerait votre peuple de cette marque peu flatteuse pendant longtemps.
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Vieux 25/11/2007, 22h15
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Chronique Frisienne. (1640-1650)



Une nouvelle croisade !



L’envie de repartir combattre l’incroyable hydre chinoise continuer depuis la signature de la paix à obséder les cadres militaires du duché, le duc voyait dans l’affaire un moyen de réaffirmer sa puissance dans la région et renforcer l’amitié de la « rodina » russe auxquelles il tenait.

Les premières années de la période furent marquées par une diplomatie en vu de former une coalition viable pour tenir tête au mastodonte oriental, les deux états trouvés furent la Russie et la Pologne.

L’armement pu alors enfin commencer, la préparation militaire de l’invasion obligea le renforcement du corps déjà installer sur place c’est à dire 12 milles cavaliers, à deux corps d’armé constituer chacun de 4 milles fantassin et milles artilleurs ayant pour but de prendre les places du pays.

La guerre fut lancer un avril 1646, avec les Polonais, en quelques mois l’armé manchou fut balayé les forces coalisées et la paix signé avec eux laissant les Mings seuls face à nous, mais au contraire de la dernière guerre l’ennemie c’était mobiliser en son cœur et faisait face à nos forces nous empêchant toute descente vers le sud, bien sur nous tenions le corps du pays tant économiquement avec Jiangsu que politiquement avec Pékin. Il est vrai que nous pourrions signer la paix mais Frise continuera sa lutte avec les chevaliers polonais jusqu'à l’écrasement de ce titan !



La fin de l’unification néerlandaise !



« Quel bonheur pour nous que cette déclaration de guerre de Utrecht et de son allier Raguse contre l’empire ottomans qu’elle bande de fou ! », Voilà la première remarque que notre duc fit lorsqu’il apprit les décisions de la petite république irréductible au milieu de son duché. Le duché avait enfin une chance de faire taire cette misérable république en son cœur et détruire cette ennemie à notre arriver au trône impérial qui nous est de plus en plus à notre porté avec la disparition de la Savoie et de l’Alsace détruit dans les dernières luttes du continent.

Après une brève réunion avec quelques représentants du parlement il fut décidé d’envoyer un messager porté une demande aux sultans pour plaider notre cause contre cette pathétique république qui lui déclarait la guerre.
Très rapidement en plan fut dressé avec ceci moyennant quelque finance, l’Ottoman enverrait une expédition pour faire taire ceci, après avoir débarqué discrètement dans nos ports des soldats venus des Balkans pour leur blancheur pour garantir le secret jusqu'à la surprise finale, la ville fut surprise par cette horde sortant de nul part, ceci avait investit la ville sans combattre prenant l’hôtel de ville sans cout férir, exécutant les notables indésirables à notre duc.
De bien entendu une armée Frisienne fut dépêchée sur place pour « sauvé » notre voisine, après quelque jour les Turcs durent se rendre face à notre incroyable détermination à protéger la chrétienté de cette invasion repartant chez eux chargé de quelques biens en récompense de leur aide dans cette affaire.
La cité dut se rendre à l’évidence qu’elle ne pouvait survivre sans nous dans les turpitudes de se monde et fut donc annexer selon ses « vœux » à notre duché, finissant l’unification néerlandaise.

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