![]() |
|
|
|
#1
|
|||
|
|||
|
Les Morosini prennent le pouvoir à Venise !
Les Morosini apparurent pour la premiere fois dès la fondation de Venise au VI° siecle au moment des invasions Lombardes. Andrea Morosini etait alors un petit producteur de bois de la région de Trente. Quand les Lombards tentèrent d'assieger la jeune ville de Venise, Andrea Morosini aoffrit gratuitement et abondament son bois pour construire des flotilles entieres de petits bateaux de pêche dans la lagune, ce qui sauva Venise de la famine alors que les Lombards essayaient d'en faire le blocus. Par la suite, la paix revenu et grace au prestige d'Andrea, la famille Morosini fit dans un premiers temps fortune dans le commerce de bois car la toutes nouvelle marine venitienne en consommais beaucoup et le bois des Morosini était le meilleur de l'époque. Les decendants d'Andrea Morosini se lancèrent par la suite dans le commerce du bois dans toute la méditérranée puit fondèrent la compagnie de Commerce Morosini en 856. A parir ce cette date, le bois, bien qu'encore tres important, n'était plus majoritaire dans le chiffre d'affaire de la compagnie. Pietro Morosini (1052 - 1101) a également marqué cette famille en participant financièrement et egalement en personne (à titre privé) à la premiere croisade. Il fournit ainsi 3 navires pour le transport des troupes qui passèrent a Venise en 1096. A l'age de 44 ans, il prit lui-même le commandement de cette flotille et participa au grand rassemblement croisée à Byzance ou il offrit ses bateau à Goedfroid de bouillon afin de ravitailler les croisés quand ceux-ci seraont en Palestine. Il sut à Byzance nouer de nombreuses amitiées qui lui permir d'installer ses surcursales marchandes de la compagnie Morosini. En 1097 il participa a la bataille de Dorylée contre les Turcs et y perdit sa main gauche. Rien ne devait le décourager et malgres bien des soufrances, il entra avec les premiers croisés dans Jerusalem en 1099. Hélas il devait perir dans une embuscade et c'est à son fils Niccolo Morosini que revint la charge d'organiser par la suite le ravitaillement des croisés en terres sainte. En 1103 Niccolo ouvrit une nouvelle surcursale commerciale a Chypres afin de participer activement au ravitaillement des croisées en Palestine permetant a la famille Morosini de se hisser parmis les plus riches et puissantes familles de Venise. Humberto Morosini en 1204 fournit également 4 navires pour le transport des croisés vers Zara ce qui permit a la famille d'ouvrir une sucursale egalement dans la ville. Par contre Humberto s'opposa alors au Doge et à la plupart des autres grandes famille au cours du sacage de Constantinople. En effet sa mère, Sophia etait issue d'une grande famille byzantine instalée dans la région d'Andrinople. Ainsi ses les affinitées et l'amitié qu'eprouvait Humberto envers l'Empire fut responsable de la perte d'Influence des Morosini a cette époque à Venize même. En effet nombres des clients de la compagnie Morosini evitèrent desormais de faire des affaires avec notre famille provoquant une chute drastique de nos bénéfices et donc de notre prospérité. Ce fut Gaetano Morosini qui en 1262 redressa la situation economique de la compagnie au moment de la reprise de Constantinople par l'Empereur Michel VIII Paléologue. Certaine rumeurs de l'epoque afirmaient même que Gaetano avait offert en secret des sommes considérable à l'empereur pour faciliter la reprise de la ville. Evidement ces rumeurs etaient infondées, notre famille étant toujour resté fidèle avant tout a notre patrie. Cependant il est vrai que le nouvel empereur Byzantin nous offrit des facilités et droits commerciaux a notre compagnie comme jamais a aucune compagnie. Les Morosini devinrent donc la plus influente famille de Constantinople à une époque où les autres Latins en étaient exclu... C'est ainsi que nous sommes notament devenus les uniques fournisseur de bois pour la marine imperiale. Evidement des lors les benefices de la Compagnie Morosini atteignirent des sommets. Cependant a Venise nombreux jalousaient desormais la puissance des Morosini et de nombreux procés furent intenter contre notre famille au mobil de trahisons de la république a cause de nos relation privélégiées avec l'Empire. Evidement tout cela était infondé et notre famille ne fut jamais condamné. Le fils de Gaétano, Frédérico Morosini, se distingua quand a lui a Chypre ou il finança la construction de 5 galères de combat afin de lutter contre les pirates musulman et même contre les navires Sarazins et Turc qui devenaient de plus en plus menaçant devant Chypres depuis la chutes des derniers états croisés en Palestine. D'ailleur il devait mourrir en héro sur son navire "le Zara" au cours d'un accrochage avec un chebec turc. Son fils, Lucas Morosini épousa Alexandra de Beaufort, une lointaine decendante des Vilardouin qui avait eu pour domaine une partie de la Morée dans la région de Nafplio. Lucas Morosini esperait ainsi peut-etre un jour entrer en possession de ce domaine grace a ce mariage. Mais evidement l'administration Byzantine n'entendait pas rendre une de ses dernieres régions ou se maintenait l'Empire. Lucas Morosini choisi donc d'aider de son mieux et d'une partie de sa fortune a aider a la defense de la morée de plus en plus sous la menace de la poussé Turque. C'est ainsi qui finança les travaux de fortification de Nafplio ainsi de celle de Corinthe qui commande l'entrée de la Morée. Lucas Morosini essaya d'ailleur d'obtenir le soutien de Venize en implorant le Doge et le conseil des 10 en 1383 qu'il fallait apporter un soutient inconditionnel aux Commenes de Byzance car la chute de l'Empire couterait enormement a venize et que si le Rempart de Byzance cedait, il risquais un jour de falloir combattre bien plus pret de nos portes.... Cette avertissement ne fut pas entendu et nombreux affirmèrent que les Morosini defendaient encore leurs amis Byzantins et leurs Interets propres soit : dynastique en morée et commerciaux à Constantinople.... Seul contre tous Lucas Morosini ceda mais continua a lutter de toute son influence pour changer les mentalité à Venise. Giovani Morosini naquit le 5 Aout 1388 à Nafplio de Lucas Morosini et Alexandra de beaufort. Imediatement son père l'envoya faire ses études à Venize. A 18 ans il s'engageais comme jeune officier sur une galère de combat Venitienne et servit ainsi Venise pendant 9 ans lui permettant d'obtenir le commandement d'une petite galère en 1414 à l'age de 26 ans. Mais un an plus tard, à la mort de son père emporté par la maladie, il fut obligé de quitter la marine pour reprendre la direction de "Morosinie et Compagnie". Les difficultées commerciales augmentaient sans cesse surtout dans Constantinople ou la piraterie genait considérablement le commerce. Ce fut la même situation a Chypre ou en 1418 nous perdîmes la majeure partie de nos relations avec les marchés perses...Seul notre commerce traditionnel de bois demeura en plein essort graces aux commandes de Venize et de Byzance afin de lutter sur mer face a des Ottomans de plus en plus entreprenant Giovani Morosini devait marquer un tournant au sein de la dynastie Morosini. Quand le Sultan Ottoman se lança en 1453 dans l'ultime bataille pour abattre l'empire Byzantin, Giovani Morosini agée pourtant 65 organisa la defense de la Morée en prenant en charge la defense de Mistra, la dernière grande ville Byzantine de Morée aprés la chute de Nauplie. Mais les forces vénéto-Byzantines furent écrasée et il dut s'exiler à Corfou avec sa famille et ses fidèles. Heureusement une grande partie du trésor familial avait pu être sauvé. Ne se laissant pas abbatre, il depensa sans compter pour organiser et recruter les forces qui lui permettrait de reprendre le fief herité de sa mère, Alexandra de Beaufort. C'est son 2ème fils qui devait parvenir à reprendre pied en Morée. Ayant rassemblé une armée de 12.000 dont de nombreux mercenaires Catalans et Français, il entrait à Nauplie le 3 avril 1459 seulement 6 ans apres en avoir été chassé par les Turcs. A Venize, le pouvoir était désormais detenus par le Doge Pédrolane. Juliano Morosini obtind le titre de Prince de Morée en échange du versement à Venize de 50% du revenu de ces riches terres du péloponèse. La famille Morosini prospéra en morée loi du tumulte et des manigance politique de la sérénissime. Les Morosini surent garder des relations relativement cordiales avec les turcs. Nauplie devenant une plaque importante du commerce régionale. De nombreux traffics et contrebandes permettait aux Morosini de s'enrichir et aux sultans turcs de s'approvisioner malgré les edits d'enbargo papaux. A Venize le Doge Pedrolane devenait immortel. Nombreux étaient ceux qui pensait qu'il avait du signer un pacte secret avec le malin. Quoi qu'il en soit, l'effort militaire et commerciale de Venize fut spéctaculaire. L'Italie fut entièrement unifiés sous la direction des troupes de la république tandis que de nombreux marchés extérieures apportèrent une prospérité inconnue et tout simplement débordante. Cependant le Doge Pédrolane menait une politique de relative accomodation avec la France, alliés secret des turcs et au contraire une politique relativement agressive envers l'Autriche. De multiples guerres opposèrent Venitiens et Autrichiens sous les regards médusés mais fort satisfait des turcs qui apportaient leurs soutiens diplomatiques à l'un ou l'autre en fonction des circonstances... Mais l'empire Ottoman prospérait.... La Conquete des terres Tatars, puis de l'Egypte et enfin de la Perse lui offrit richesse et puissance et de nouveau les turcs portèrent leurs regards vers l'Ouest. Aedano Morosoni avait 23 ans quand éclata en ce debut de XVIIeme siècle une nouvelle guerre entre Venetiens et turcs à l'initiatives de ces derniers. La Victoire éclatante de Venise quelques années plus tot sur l'Autriche avait gonflé de suffisance le doge Pedrolane et l'armée n"était pas prete. L'offensive turque fut fulgurante. Le Prince Morosini se trouvait en Morée sans aucune aide de la république et devait seule défendre la principauté. Mais devant combattre à 1 contre 4, Il ne pu rien et une fois le vérou de Corinthe forcé, rien ne pouvait barrer la route des forces Ottomanes. Les missives desespérés d'Aedano Morosini envoyés au doge Pédrlane restèrent sans réponse. Presque 2 siècles plus tard, la Morée était à nouveau perdu et assez rapidement cédé par traité de paix à l'Empire Ottoman. Pour le Prince, il n'y avait qu'un seul responsable: le doge PEDROLANE ! qui dans son aveuglement à combattre les autrichiens avait perdu de vue que le principal ennemi et adversaire restait les turcs. De retour à Venise, Aedano Morosini rencontra en secret les principales familles venitiennes mise à l'écart par le regne interminable du doge Pedrolane. Les Badoer, Quintavalle, Paruta, Tiepolo, Zaccaria se rangèrent derrière lui.... il fallait se debarraser du doge... Dans une froide nuit de janvier, le Doge Pedrolane était retrouvé assassiné dans son bureau... Le Prince Aedano Morosini pouvait compter sur la plus puissante fortune de la ville, le vote du successeur du Doge Pedrolane fut rapide. Le Prince Aedano Morosini devenait le nouveau doge de la sérénissime république de Venise. |
|
#2
|
||||
|
||||
|
Message du Patriarche Orthodox Grec
Le Patriarche Grec félicite les électeurs de Venise pour leur choix qui est dans l'ère du temps Catholique. Plein de bon sens et épris des valeurs d'une interprétations tout particulière qu'est la leur des valeurs chrétiennes. Le Patriarche d'Istamboule et conseiller personnel du Sultan tient à offrir au nouveau commandeur de Venise le dernier livre imprimé dans les murs de l'Université de Damas. Il espère que le nouveau dirigeant vénitiens saura l'utiliser pour s'enrichir...l'esprit....
__________________
J'acheterai tout dit l'or... Je prendrai tout dit l'épée... Dernière modification par jimbo ; 12/11/2007 à 23h01. |
|
#3
|
||||
|
||||
|
Message Diplomatique De La Sublime Porte
A Venise Le Souverain de la Sublime Porte attend votre émissaire avec impatience ainsi qu'une prise de position diplomatique claire à notre égard. Il y a peu vous nous demandiez l'autorisation de commercer dans nos centre de commerce souteniez notre politique d'apaisement. Et maintenant après un cruel jour d'infamie, vous menez une politique expensionniste et agressive à notre égard. Si vous voulez continuer à commercer dans nos centres réagissez rapidement. L'Empereur de la Sublime Porte n'est point une pucelle effarouchée qui n'aurais jamais vu quelques viriles arguments. L'Empereur est un hommes lettré est cultivé qui rêgne sur un peuple courageux et travailleur. Vos élucubrations et mensonges à l'égard de l'Empire ne font que décevoir ceux qui pensaient encore trouver à Venise un pouvoir éclairé. L'Italie fille de la culture grèque et Romaines se tournerait-elle vers des traditions barbares ? A la France Cher Souverain de France, Nos ancêtres ont cru bon de vous confier la garde de Jerusalem. Nous avons toujours eu de bonne relations entre 2 Royaumes capables de de se parler malgré des différences culturelles et religieuses. Aujourd'hui, il semble que votre royaume céde aux tentation de replis culturel et religieux et fait preuve d'agressivité à l'égard des Dogmes non chrétiens. Votre mise en garde au monde quant à une intervention contre la Russie durant son oeuvre d'évangélisation n'avait qu'une seule cible : La Sublime Porte. Nous attendons de votre part une prise de position digne d'un Royaume tel que le votre. Le Sultan n'a aucune rancune contre la République Russe, mais nous saurons tolérer des mises en garde déguisées et sans fondement à notre égard. ![]() Si le Souverain Français ne peut plus se satisfaire d'oppresser les Protestants, qu'il ose l'affirmer haut et fort. L'Empire Ottoman n'est point l'Espagne ou l'Autriche qui semble trembler devant vous. L'EMpire est indépendant et ne souffrira pas de se faire dicter sa politique. L'Empire est terre d'accueil et de tolérance... contrairement à d'autre Royaumes...
__________________
J'acheterai tout dit l'or... Je prendrai tout dit l'épée... |
|
#4
|
||||
|
||||
|
Message du Pasteur Ric au Roy de France.
Cher Roy, je porte à vous les demandes des Protestants français établis en Turquie. Ces dernier vous demandent de faire preuve de sagesse envers l'Empereur Turc qui dans sa bonté a accueilli de nombreux Français. Cet Empire n'est point un danger pour les intérêts de la chrétienté ou de la France. Cet Empire a su sauvegarder des richesses héritée des grecs et ne fait que protéger la civilisation face au peuples barbares de l'Est. Je ne peux que vous conseiller de réviser votre jugement à l'égard d'une puissance qui en ces temps sombre sait rester digne d'une antique civilisation. Cher Roy, je vous demande de ne pas briser l'équilibre qui permet ici à des peuples différents et des fois différentes de vivre dans une tolérance qui n'a point d'égal si ce n'est en Pologne. Ric
__________________
J'acheterai tout dit l'or... Je prendrai tout dit l'épée... |
|
#5
|
||||
|
||||
|
A l'adresse du Sultan
La France n'a jamais nié l'indépendance dont fait preuve l'empire turc. Nous savons que vous n'avez jamais fermé la porte à un dialogue, tout comme nous. Notre attitude à votre égard n'est pas hostile et notre annonce n'était faite que dans un but préventif. Prévention que vous n'aviez pas eu quand vous causâmes indirectement la défaite de la France dans la dernière guerre mondiale. Nous ne vous avons certainement pas causé de tord dans cette affaire, et assurément rien de comparable à celui que vous nous aviez causé par votre intervention. C'est un discours franc qui ne vise pas à envenimer les choses (chaque chose en son temps ) mais à faire savoir que si l'empire turc ne veut pas être limité dans sa diplomatie, la France n'entend pas l'être non plus. Nous regrettons vivement vos déclarations mensongères à l'encontre des populations françaises de confession protestante. Votre ambassadeur est convoqué sur le champ pour fournir des explications à une telle diatribe dantonienne.
__________________
VIVE LA FRANCE !!! VIVE L'OM !!! VIVE LE ROI DES rois !!! Vous voulez vraiment savoir qui est Danton ? Alors cliquez ici (surtout montez le volume avant )
|
|
#6
|
||||
|
||||
|
La Fin de la Régence Ottomanes et la fracture des Balkans.
La régence pris fin en 1623 et Selim III prit alors définitivement les rennes du pouvoir Ottomans. Il continua le travail de contruction de l'Empire qu'avait entrepris Osman mais il se concentra plutot sur la réforme en profondeur de l'Armée Turque et le renforcement de ses effectifs qui passèrent sous sont rêgne de 80k à 140k et fut grandement modernisée de façon à pouvoir soutenir une éventuelle guerre d'agression des puissance occidentale. Grand bien lui prit. Il réforma également la cour impériale en nommant conseillers le 1er Imam Sunnite Turque ainsi que le Patriarche Orthodox Greque. Ceci afin de permettre à la société de tolérance de perdurer et de se renforcer. L'armée fut également obligées de promouvoir des officiers dans chacune des religions de l'Empire de façon à assurer une répartition efficaces des pouvoirs. Il favorisa également l'instalation de protestants Français qui profitèrent de leur savoir pour développer de nombreuse exploitations viticoles en Turquie provoquant ainsi une mise en valeur importante de la culture du raisin. Selim III profita de la faiblesse consommée de l'Empire Mamelouk pour relier définitivement Alexandrie à l'Empire par la terre en annexant Damiette et le Delta du Nile a l'occasion d'une guerre courte mais sanglante. Le Regne de Selim aurait pu être aussi grand est paisible que celui d'Osman le batisseur. Malheureusement, les ambitions de la République de Venise mirent prématurément un terme au régne de Selim. En effet, Venise déclara la guerre en 1628 à la Bosnie et a l'issue d'un court conflit annexa l'Albanie a cette dernière et annonça clairement son intention de frapper par la suite la Transylvanie. Cette dernière vassal de longue date de l'Empire, demanda à Selim de se préparer à intervenir. Selim mobilisa en hate et pu conter sur la moitié de ses effectifs Impériaux en Grèce lorsque Venise déclara la guerre à la Tenasylvanie sous pretexte d'espionnage. Le Sultan rejoignit immédiatement la guerre et les armée Italiennes déferlèrent sur le la péninsules Grèque comme une tempête. Des dizaines de milliers de cavaliers prirent le chemin d'Istambule. Le Souverain prit la tête de 25 000 cavaliers Turques et mena la contre offensive, de nombreuse et sanglante batailles s'en suivirent au court desquelles le Souverain Turc trouva la mort en défandant Salonique. Cette défaite fut une victoire, le temps gagné permit à son fils Murad III de rejoindre la Grece avec le reste de l'Armée Impériale. Après quelques carnages supplémentaires Venise du se résoudre à la paix après avoir perdu plus de 100000 hommes en Grece. ![]() Murad ne désirant pas prolonger cette guerre que les Turcs n'avaient jamais souhaité, demanda à Venise le Duché de Morée en dédommagement des frais de guerre et signa après 18 mois de guerre la paix avec le République au visage changé. Elle qui avait toujours été un partenaire de dialogue et une puissance bienveillante en méditerranée devenait une bête assoiffée de terres. Des temps obscures s'annonçaient.... mais l'Empire allait faire face. Les regne d'OSman et de Selim avaient fait de l'Empire une puissance moderne capable de rivaliser avec ses voisins.
__________________
J'acheterai tout dit l'or... Je prendrai tout dit l'épée... Dernière modification par jimbo ; 13/11/2007 à 00h15. |
|
#7
|
||||
|
||||
|
Chroniques Autrichiennes 1576 - 1631
C'est une période de troubles qui commença lorsque l'empereur Mathias reçut 2 émissaires ibériques (1 portugais, 1 espagnol), littéralement affolés et désemparés. Ils expliquèrent leur tourment à l'empereur : 3 guerres consécutives face à une organisation de 4 pays (Angleterre, Frise, France, Venise) qui les attaquèrent à tour de rôle. Ils nous conjugérent de nous ranger à leurs côtés afin de marquer un coup d'arrêt. L'empereur était embarrassé : il n'avait, à regret, que peu de rapports avec l'angleterre. Avec la France, les convergences d'opinion étaient largement majoritaires, et le voisinage était paisible. Avec Venise et Frise, l'empereur était en traité (Düsseldorf et Genes). Il nous était donc difficile de prendre ouvertement parti, qui plus pour nous facher avec des pays non-hostiles ou co-signataires d'un traité. Néanmoins, afin de signaler que cette politique de guerre et d'agressions successives devait prendre fin un jour ou l'autre, l'empereur promit un soutien, moyennant subsides. Mieux, il alla même jusqu'en Pologne, le seul pays ennemi à cette heure, pour enterrer provisoirement la hache de guerre et rallier les hussards à la cause. Cette alliance (Espagne, Pologne, Autriche, Portugal) était, dans notre esprit, provisoire (le roi de Pologne et l'Empereur Mathias étant bien décidés à en reprendre leur joutes à l'issue de cette affaire). La conquète de Malacca par Venise fit office de détonateur. La Pologne attaqua immédiatement, et toute l'europe s'embrasa d'un seul coup. ALors que les troupes polonaises faisaient leur entrée en territoire Frison, inexpliquablement elles rebroussèrent chemin et commencèrent à ravager le nord de l'Autriche. Quelle mouche venait de les piquer ? L'on apprit plus tard, que pendant la trève décidée à l'occasion de la commémoration du centième CTD frison(l'on parle d'une semaine...) des émissaires Français prirent la VPGV (Voiture à Porteurs Grande Vitesse) ou peut-être la CGV (Caravelle Grande Vitesse) pour retourner la Pologne contre ses récents et provisoires alliés. Belle performance... La suite a été moultes fois contée : le bon sultan intervint pour rétablir l'équilibre rompu par le basculement polonais, et l'alliance des justes finit par triompher, malgré la témérité des soldats anglais, auteurs d'une percée foudroyante dans les alpes suisses et la plaine du pô. La période qui suivit, fut délicate pour l'Autriche. Les alliances nouvellement formées perdurèrent plus que ce qui était souhaité, et l'Empereur, entouré d'ennemis, n'avait pas grande marge de manoeuvre. CE qui devait arriver, arriva.. malgré son renforcement militaire, Autriche fut sauvagement attaqué en 1620 par Frise et surtout Venise, qui à elle seule dénombrait 175 000 hommes, c'est à dire plus de soldats que l'Autriche, pourtant au maximum de ses possibilités militaires (161 000 hommes)... Dans un jeu de cartes, très pratiqué à Vienne, il est sage et prudent de "se coucher" quand on sait qu'on est battu. Après à peine 2 mois de guerre, l'Empereur accepta donc la paix, cédant NASSAU et Hesse à Frise, libérant la Savoie de sa protection, la laissant ainsi se faire dépecer quelques mois plus tard, par une république Sérénissime, insatiable. Biensur, dans les diverses cours europééenes, le concensus était de rigueur. Tout ceci n'était que légitime. Les "erreurs" diplomatiques de l'Empereur étaient la cause de sa perte. les armées surdimensionnées par rapport au potentiel effectif ne sont qu'une réponse à la hauteur de sa trahison... Les alliances qui perdurent, c'est de sa faute... (qu'avait-il besoin de s'enticher des ibériques?) Le retournement polonais, c'est lui... D'ailleurs on murmure que Sodome et Gomorre, Adam et Eve, c'était déjà lui...
__________________
on peut caresser des idéaux sans s'éloigner d'en bas... En France, on n'a ni pétrole, ni idées. Mais on a des taxes... ![]() Dernière modification par vince ; 13/11/2007 à 14h11. |
|
#8
|
|||
|
|||
|
***** Chronique de la république de Venise ***** L'année 1631 venait de débuter et le Doge Aedano Morosini a peine installé aux affaire quand éclata une grande crise européenne.
L'empereur était désireux d'effacer le souvenir de la débacle militaire et diplomatique précendente. L'Empire avait rassemblé l'ensemble de ses forces pour reprendre les terres d'empire perdu au profit du duché de Frise. Le Doge était partagé... d'un coté une trés ancienne alliance entre la Frise et Venise, Alliance signée par l'ancien Doge Pedrolane. D'une autre coté, les terres allemandes et d'empire administrées par le Duché de Frise pouvait légitimement être réclamée par l'empire su Saint Empire. Cependant la république de Venise remplit ses engagement et suivit le duché de Frise dans la guerre contre l'empire. La précedente guerre contre les turcs avait saigné la république. Au moment de la déclarationde Guerre, Venise ne disposait de 20.000 dispersé et d'aucunes réserves mobilisable (manpower à 0). C'est donc fort timidement et prudement que les armées républicaines se portèrent sur Milan sous administration impériale. La commune de Milan réclamait depuis longtemps son ratachement à la république marchande vénitienne et voyait d'un trés bon oeil l'avance des armées de Venise. Mais le Duché de Savoie saisi cette occasion pour déclarer la guerre à la sérénissime république bientot suivit par le puissant royaume de France, première puissance militaire de notre monde. Comme à Milan, la population et la bourgeoisie de Turin réclamait l'abdication du duc afin de rejoindre la république vénitienne et ses frères d'Italie. Quand au Doge Morosini, il était outé de la forfaiture Savoyarde d'attaquer la république au moment ou celle-ci tentait de libérer l'Italie de l'occupation impériale et germanique. Une proposition fut immédiatement envoyé au roi de France. La république était décidé à chatier la Savoie de son attaque. La république proposa d'imposer l'abdication de la maison de Savoie, le rattachement de Turin à la république en échange d'un ratachement de Chambéry et sa région au royaume de France. Le Royde France rejeta sechement la proposition argant qu'il était fort occupé. Le Pape lui même dépécha une armée qui fut écrasé une première fois par les Savoyards et une deuxiemme fois par les Français. Alors que la France se montrait intransigeante, l'Empereur lui se montra ouvert au dialogue. En échange d'une reconaissance par Venize du droit à l'empereur d'admnistrer l'empire GERMANIQUE, celui-ci accepta d'autoriser la commune de Milan à se rattacher à la république Venitienne. Que de contraste avec ce dialogue diplomatique que la France nous refusa. Alors que les raids meurtriers de la SAvoie se poursuivait en directionde Chambéry mais aussi de Milan, Nice et meme Genes, une puissante armée Française campait devant Turin et assurer la sécurité aux approvionnement des bandes armées de la Savoie qui répendait la terreur et la désolation dans tout le nord-ouest de l'Italie. La guerre avec l'Empire étant terminée, le conseil de la république vota à l'hunanimité la campagne militaire contre la Savoie et la France sa protectrice. Une puissante armée de Cavalerie de 35.000h fut rassemblée à Milan et se jeta sur Turin. Les forces armées franco-Savoyarde furent balayées et poursuivit juqu'au Rhone ou l'armée de la république subit alors un coup d'arret à son offensive. Mais l'objectif était attein, l'Italie était libérée et le Duc de Savoie emprisoné. A une large majorité, le conseil communal de Turin vota son ratachement à la république Vénitienne. Nous regretons la défaite de la Frise mais devont admettre que ces terres étaient plus germaniques et impériales que de culture Hollandaise et frisone. Nous regretons le manque de dialogue et de concession du roy de France et son refuse de condamner immédiatement et deverement la Savoir pour sa déclaration de guerre contre la république. Venise n'avait de grief que contre la Savoie. Nous sommes satisfait de la paix blanche avec le puissant royaume de France. Enfin nous avons découvert en la personne de l'empereur, un homme ouvert au dialogue et plein de bons sens. Avec Turin et Milan, la réunification italienne est terminée sous la direction de la république Vénitienne. Des la guerre terminée, le doge Aedano Morosini devait faire voter toute une serie de réforme: - La conscription nationale et une effort sur les armements terrestre à permit à Venise de plus que doubler ses réserves mobilisables les portant à plus de 90.000h - Une lente reconversion de l'armée vers une prédominance de l'infanterie et adapté aux technique militaires actuelles - La construction de nouveaux centre d'imposition afin de lutter contre l'inflation galopante. Seul bémol, le Commerce subit les embargos de la France et de l'empire Ottoman ainsi que de la féroce concurence de nombres de petites nations depuis le rattachement de la Savoie à la république (BB en hausse). Mais tout indique que cela ne sera que temporaire.... |
|
#9
|
||||
|
||||
|
1621 – 1640. L’Europe, un ramassis de catins
L’Angleterre, innocente victime des vilenies Portugaises depuis presque deux siècles, allait encore une fois faire les frais de la mesquinerie abjecte de Lisbonne, qui se prostitue avec Madrid et se plaint sans cesse de Venise mais qui n’a jamais le courage d’agir contre un autre que l’Angleterre épuisée par 20 ans de règne désastreux du Régent De IA. Les lâches de Lisbonne nous déclarent la guerre en 1621, sans autre raison que le désir de donner au monde l’impression que le Portugal était autre chose qu’une vulgaire dépendance espagnole. Nos troupes étaient complètement dépassées technologiquement, ne restait donc que notre courage indomptable et l’assurance d’être du côté de la Justice, du Bien et de la Lumière. Nos croisés en guenille massacrèrent des dizaines de milliers de Portugais en Australie, qui tomba entièrement entre nos mains, mais aussi dans les Antilles et même au Brésil. Humiliée, la prostituée de Lisbonne refusa notre généreuse offre de paix et fit appel à son riche proxénète, qui lui envoya des milliers de ducats pour rétablir la situation : le plan 2 X 100 K fut lancé. Celui-ci consistait à lever plus de 100.000 soldats et 100 navires de guerre, et ce sans même toucher au budget national . La flotte Portugaise arriva au large de nos côtes pour débarquer des milliers de soldats : mal lui en prit, la Royal Navy veillait et les barcasses puantes Ibères sont envoyées par le fond .Fort de cette victoire, l’Amiral Howard partit pour l’Asie, où le Portugal tentait de reprendre pied, avec un succès limité : cette tentative fut brisée dans l’œuf et de nouvelles offres de paix blanches furent envoyées. La catin de Lisbonne y répondit par le plan 4 X 200 K, qui consistait à lever 100.000 soldats et 100 navires de guerre supplémentaires . Cela commençait à faire beaucoup trop pour nos faibles moyens, surtout compte tenu du retard technologique. Les hordes innombrables, cette fois, réussirent à passer et débarquèrent notamment en Irlande, alors que le blocus total de l’Angleterre commençait. Nos revenus, déjà parmi les plus maigres d’Europe occidentale, s’effondrèrent complètement .L’Amiral Howard reçu ordre de revenir immédiatement : la guerre durait depuis 7 longues années déjà et ne semblait pas trouver d’issue. La Royal Navy de retour, les navires Portugais sont pulvérisés les uns après les autres, le blocus était levé. Plus de 20.000 soldats se préparent à embarquer pour reconquérir l’Irlance… Le Portugal riposte par le plan 6 X 300 K…. Fort heureusement, un changement de dynastie intervient enfin à Lisbonne et une paix blanche suivit immédiatement celle-ci. Le Portugal alignait alors, de son propre aveux, plus de 200.000 hommes en arme… Aucune compensation ne fut accordée à Londres, pourtant toujours victorieuse sur le terrain, pour ces 7 longues et coûteuses années de guerre. Pendant ce temps, en Europe, strictement rien n’avait changé, on retrouvait la même situation depuis plus de 150 ans. Contrairement aux affirmations de certains naïfs, qui répétaient que « de grands changements avaient lieu et qu’il serait sot de les nier », l’Espagne était toujours, et de très loin, la première puissance mondiale, elle collectionnait toujours les catins dans sa couche, achetées avec l’or du Mexique et continuait inlassablement à répéter ses traditionnelles diatribes contre la France, qui, tout le temps battue, avait bien du mal à assumer son statut de quatrième puissance mondiale. Le seul changement notable en Europe concernait finalement Venise, qui avait pris son envol et se découvrait un appétit de plus en plus irrésistible. Les sacrifices réalisés par l’Angleterre quand ce pays était encore faible et vulnérable ne reçurent aucune contrepartie : richissime, Venise nous oublia et agressa sauvagement la digne et tendre Autriche puis l’Empire Ottoman et enfin la France, qui l’avait toujours soutenue. Après avoir bien fait le mal partout autour de lui, le Doge partit se réfugier dans les jupes de son maître Lucifer, qui trône à Madrid comme chacun sait. Londres ne préfère pas savoir ce qu’il se passe là en dessous : les catins Portugaises et Vénitiennes doivent probablement copuler ensembles comme des bêtes, tout en s’insultant parfois publiquement pour donner l’illusion au reste du monde qu’ils conservaient une maigre indépendance. La dernière singerie de ce type arriva de Lisbonne : un ambassadeur vient affirmer à Londres que son pays préférait mille fois une Angleterre puissante qu’un Doge trop présomptueux. Mais comme son pays ne recevait pas de son maître Espagnol l’autorisation d’agir contre Venise, il poursuivait, sans logique aucune, à agir plutôt contre l’Angleterre, comme il le faisait depuis plus de 150 ans. Le courage d’un lâche. |
|
#10
|
|||
|
|||
|
Les chroniques Frisiennes. 1631-1640. La perfide attaque autrichienne. Notre duché fut attaqué en l’année 1631 sans aucun ultimatum, quand l’annonce arriva à Groningen que l’empereur nous attaqué, une profonde torpeur prit l’administration ducale, avec nos meilleures troupes (les moins pires) en Asie comment allions nous résister ? Les combats débutèrent difficilement mais le duc n’était pas près a céder facilement, les combats désespérés, les ducs de Frise connaissaient cela depuis longtemps avec toutes leur célèbre défaite, enfin passons cela… Près de 200 mille autrichiens commencèrent leur entré sur nos terres, face à eux moins de la moitié de leur effectif, les combats furent très difficiles, notre infanterie fut balayée par le rouleau compresseur impérial détruisant tout sur son passage, même notre capital fut prise par ces porcs ! Nos troupes combattant en Flandres allant de retraite en contre attaque, amenant de large perte chez l’ennemie, à la fin du conflit sur 150 mille cavaliers il n’en restait que 25 mille. La guerre amena une profonde refonte de nos vues diplomatique, l’inaction de Venise au début qui laissait ses troupes à l’abandon devant quelque place, n’engageant aucune grande manœuvre contre ceci à notre grand étonnement. La seule nation à nous avoir aidé fut la France, qui combattit comme elle put, ayant refondu son armé sur une place plus réel de l’infanterie dans son armée pour le combat face à l’Ibère, cela l’obligea à lancée un grand plan de recrutement, ses opérations amenèrent l’espoir d’une victoire mais rapidement ceci disparurent avec l’entré en guerre de l’Espagne ouvrant un deuxième front, puis l’opération de Venise qui nous abandonna se lançant à l’attaque de la France qui lui demandait du temps pour la Savoie, mais le nouveau Doge était impétueux et voulait tout et tout de suite ! Il obtint la Savoie et Milan de l’Autriche, cela outra notre noblesse, ce Doge nous avaient oublié ? Beaucoup de question se pose aujourd’hui. L’expédition extrême orientale. L’expédition commença sa descente sur la Manchourie, commençant à assiéger les places fortifier de Corée, cette phase dura une année, mais l’armé fut cloué sur place, ne pouvait recevoir de renforts de métropole, face aux infamies autrichiennes ; les troupes durent donc attendre laissant les Russes combattre seul. Ce n’est qu’après la signature de la paix et l’attente d’une réserve digne de ce nom que notre troupe repartirent perçant les rangs manchous et prenant leur capital les obligeant à nous céder le sur de la péninsule coréenne. La descente put alors commençait sur la côte est de l’empire ming, c’est alors que le royaume du mali et que le shogun du Japon nous déclarèrent la guerre à 1 mois d’intervalle, le monde entier était-il tout entier contre nous ? Les 14 milles hommes de l’expédition ne se découragèrent pas, et Beijing fut prit dans le sang, c’est alors que l’expédition amorça sa descente vers le sud sur Jiangsu que d’innombrables renforts arrivèrent, la nouvelle du traité de paix Russo-chinois ne leur était pas encore parvenu, face à ces hordes nos troupes combattirent jusqu'à être recouvert de sang, la dernière bataille engageant 7 mille de nos cavaliers contre 14 milles des leurs vit l’anéantissement total de leur armé, semant la peur chez l’empereur des Mings ! Mais il fallait se résoudre à l’évidence ne pouvions continuer comme sa, nos troupes étaient exténuées et les ennemies commençaient à assiéger les forteresses si chèrement prise, la paix fut donc signer, Frise gagna un comptoir dans la région, malgré sa faible richesse économique, cette terre avait beaucoup de valeur stratégique elle nous ouvrait les portes de la côte est de la chine ! La reprise en main de l’Afrique de l’ouest. « L’agression de ce roitelet nègre d’Afrique sera la dernière, l’usurpateur avait eu la faiblesse de perdre des terres face à ses gueux mais un véritable duc de Frise ne se laissera pas intimidé par une bande de sauvage ! » C’est par cette phrase que fut lancée la reconquête des colonies perdues et la conquête des riches terres du Mali pour empêcher toute reconstruction de ce royaume insalubre. Au début notre roi pensa faire appelle aux polonais pour les appuyés dans la besogne, mais les nouvelles des 6 milles hommes envoyé furent si bonnes que la demande fut abandonnée. Les hordes de guerriers à la peau noires furent massacrées, à la signature de la paix, put aucun de combattant africain n’étaient encore debout, ils étaient tous mort, écrasé sous les sabots de nos destriers. La paix fut conclue en moins d’un an, libérant nos deux colonies perdues, et prenant deux terres riches d’ivoire, pour nous rétribuer. Une armée revenant sur les autres puissances. La période malgré notre déboire face aux autrichiens amena une forte modernisation de notre matériel militaire permettant à nos troupes d’arriver aux hakkapahiste comme les autres grandes puissances et l’arrivé de la tactique de Gustave-Adolphe pour l’infanterie révolutionnant sa capacité sur le champs de bataille! Toute ces améliorations furent en grandes parties dut à notre conseiller militaire Lubbert Dykstraqui après avoir montré ses capacités sur le champs de bataille fut amené à la cour pour travailler à la réorganisation de nos forces face à l’offensive autrichiennes, ses compétence à se poste furent exceptionnels et certain attaché à tout noté lui donnèrent un 6 étoiles ! Quels merveilleux conseiller ! |
![]() |
| Outils de la discussion | |
| Modes d'affichage | |
|
|