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Vieux 27/10/2005, 02h25
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Nous ne sommes pas concerné par la "crise algéroise". Cela ne concerne que les catholiques et le sultan. Le fait que nos remarques soient arrivées à ce moment ne sont pas reliées à ces faits mais au fait qu'à ce moment là, nos marchands perdaient des parts de marché du fait des marchands Ottomans.

Nous n'étions pas au courant que vous nous aviez proposé un accord commercial et nous sommes tout à fait favorable à une telle démarche. Considérez cet accord comme acquis si cela vous intéresse toujours.

votre propostion concernant un geste de bonne volonté ne nous agrée pas, une fois de plus vous liez des affaires qui ne le sont pas.

Nous déplorons que des orthodoxes aient eu à souffrir des conflits qui ont eu lieu dans les balkans, car leurs terres ont eu à souffrir de la guerre et leur prospérité et leur quiétude en fut plus que certainement menacée. Mais comme le sultan se plait à le dire, il est très favorable à notre confession. Dès lors, nous pensons que ces Orthodoxes sont certainement plus en sécurité dans l'empire Ottoman que dans ses marches.

Les mongols sont nos ennemis héréditaires et nous menons contre eux un juste combat tout à fait justifié qui dure depuis 250 ans. Nous ne rendrons aucune terre mongole et certainement pas le centre de commerce d'Astrakhan à qui que ce soit. notre seul projet vis à vis des mongols est de les rejeter dans les Steppes, rien d'autre ne nous intéresse les concernant.

Comprenez nous bien, nous ne demandons à personne de prendre partie dans ce conflit mais si certains le font, ils doivent comprendre que les nations qui se déclarerait amies des mongoles ne pourraient rester en même temps nos amis.

Comme il avait été convenu, le Sultan ne doit pas intervenir dans ce conflit entre Russes et Mongols auquel cas l'accord qui nous lie sera rompu. Nous vous demandons donc respectueusement de retirer votre déclaration de protection sur les Mongols.

D'autre part, nous sommes forcé de constater que votre message contient la quatrième menace vis à vis de la Moscovie. Ne serait il pas possible de dialoguer avec vous en évitant ces incessantes mises en gardes ? nous sommes certain que la sérénité, la compréhension et communication les remplaceraient avantageusement dans des correspondances diplomatiques de plus en plus soutenues.

De plus, nous ne recherchons nullement le conflit avec vous et le fait que nous soyons en désaccord sur certains points ne justifie en rien vos menaces. il y a bien d'autres moyens de régler les problèmes que de recourrir aux armes pour regler un désaccord.

Concernant le geste de bonne volonté, nous estimons que l'accord commercial serait un premier pas suffisant afin de dissiper les malentendus et tensions qui règnent actuellement entre Constantinople et Moscou.


Grand duc Alexei Crusadrov, Grand Chambellan de la principauté de Moscovie




Quel accord nous lie? Il semble que vous vous avanciez bien imprudemment. Il a effectivement été question d'un accord, mais votre volonté d'obtenir des garanties de nous sans rien concéder en retour ne pouvait que faire rapidement échouer ces négociations.

Que vous affrontiez les mongols pour libérer des populations russes, comme vous le fîtes lors de votre grand guerre contre la Horde d'Or, nous n'avons rien à y redire. Il n'en va cependant pas de même lorsque la Moscovie annexe également des populations mongoles et s'aventure dans les steppes, là ou vous prétendez les rejeter. Nous vous le répétons: en quoi l'Astrakhan a-t-il sa place dans le territoire moscovite?

Pour le moment, la Moscovie n'a fait qu'exiger de nous que nous fermions les yeux sur les massacres de populations musulmanes. Que nous proposez-vous en retour? Il va sans dire que votre neutralité à notre égard ou votre bienveillance sont des choses qui nous font plaisir, mais elle sont trop peu tangibles pour nous satisfaire. Nous attendons donc de la Moscovie qu'elle revienne vers nous avec des offres concrètes de concessions de sa part. En attendant, notre proposition "d'échanges de brons procédés" tient toujours. Si la Moscovie ne fait pas de concessions, nous nous verrons dans l'obligation d'inclure la Horde d'Or dans notre alliance pour en assurer la protection, et si tel était le cas nous concevrions cette alliance comme à la fois défensive et offensive.

En-dehors de ces questions, un diplomate vous sera envoyé pour établir cet accord commercial. Mais cette formalité ne règle en rien la situation.


Khig Ologlu Al-Masri
Grand Vizir de la Chancellerie d'Istanbul




***Rapport du Comte Vladenez y Fillol à Enrique IV, Roy de Castille***

Messire,

Je ne saurai trop remercier sa Majesté pour avoir eu la bonté de me nommer régent en son absence. J’ai, pendant ces longues années, œuvré au plus proche de vos désirs.

Alvaro de Luna, le conquérant de l’Afrique

C’est ainsi pour accomplir vos volontés et travailler à votre gloire que j’envoyais Alvaro de Luna chatier les Infidèles en Afrique du Nord.
En 1448, les états du Maroc et de l’Algérie sont annexés. A cette dernière nous ne laissons libre que la ville d’Alger qui est contrainte à nous verser Tribut.
De leur côtés, nos alliés Aragonais reçoivent, en récompense de leurs efforts, la Tripolitaine et la Kabylie, tandis que les Portugais annexent Tunis.

Mais la soif de conquête d’Alvaro n’allait pas s’arrêter là. A Marrakech, les marchands marocains, qui ne tardèrent pas à s’attirer les bonnes grâces de leurs nouveaux maîtres, nous parlèrent de la légendaire cité commerciale Tombouctou, située au-delà du Désert de Feu. De l’or, de l’ivoire et d’autres infinies richesses nous attendraient de l’autre côté de l’océan de sable. Alvaro ne fut pas long à convaincre.

En mai 1453, il rassemble quelques milliers de ss meilleurs hommes et entame une difficile traversée du désert. La chaleur et les serpents rendent le voyage périlleux et Alavaro est lui-même victime d’une fièvre mystérieuse. Le conquérant de l’Afrique s’éteint en juin 1453.

La guerre contre l’étrange Royaume du Songhai se déroulera donc sans ce chef légendaire. D’immenses guerriers noirs, combattant à demi-nus envahissent la savanne… Leur nombre est impressionnant mais leurs sagaies en bois cuit et et keurs boucliers en peau de lion ne leur sont que de peu d’utilité contre nos armures et nos épées.
Nous progressons prudemment et leur capitale, Gao, tombe en novembre 1454. Leur grand chef, un vieil homme à l’allure majestueuse nous cède la riche cité de Tombouctou, lieu de départ des caravannes vers le Maroc et surtout les mines d’or de Buré et de Bambuk.
Messire, la richesse de votre royaume n’est plus à faire !

La Crise d’Alger

Restait à régler le sort d’Alger, dernière ville musulmane libre du Maghreb. Le Sultan de Constantinople nous adresse bientôt un message d’avertissement : « la liberté d’Alger doit être garantie, sans quoi nous attaquerons votre allié l’Aragon ».
Vous n’êtes pas sans ignorer que de telles menaces n’ont fait qu’attiser notre détermination à chatier ces impies. Quant au Grand Turc, ses faciles succès contre quelques modestes tribus musulmanes ou orthodoxes l’ont rendu mégalomane. Aussi sommes-nous impatient de voir ce que valent ses « invicibles guerriers » contre une véritable armée. Louis XI de France et Edward IV d’Angleterre nous assure de leur soutien. Nos soldats ne demandent qu’à en découdre avec les pillards qui ont ravagé Venise quelques années plus tôt.
Nous annexons donc Alger en juillet 1472.

A notre grande déception, le Sultan, qui a la langue plus affutée que le sabre, choisit de renoncer à nous attaquer et s’en prend aux faibles peuplades sans défense de Hongrie. Redoutable démonstration de courage et de détermination ! Que le Turc prenne donc quelques terres désolées des Balkans si cela lui chante. Le sort des Moldaves ou des Hongrois nous indiffère. Et nous doutons que ces nouvelles « victoires » renforcent réellement la puissance de se souverain plus bavard que courageux.

Bien entendu, nous avons contacté l’Empereur Frédéric V, plus concerné que nous par la situation dans les Balkans. Un seul mot de l’Autriche, et nous renoncions à Alger pour préserver la Hongrie. Mais ce mot n’est pas venu. Au contraire, la France et l’Angleterre nous ont plutôt encouragé dans cette démarche.

La situation diplomatique

Conformément à vos désirs, nous avons travaillé à garder de bonnes relations avec les princes chrétiens. L’Angleterre, qui s’est considérablement étendue aux Pays-Bas, et la France, qui n’a de cesse de rechercher son unité, sont des amis de la Castille.

Le traité que vous aviez signé avec le Turc est mlaheureusement tombé en désuétude. Mais n’était-il pas en contradiction avec votre vœu dechasser les Infidèles du Maghreb ?
Vers 1445, le Sultan annexait le Bujak, malgré la protection que lui accordait notre Traité. En conséquence, nous avons du suspendre les versements d’argents à Istanbul alors qu’il restait plus de 600D à céder. Il nous a semblé impossible de continuer à payer le Sultan alors qu’il enfreignait le traité. De plus, notre avance en Afrique du Nord ne tarderait pas à dresser le Turc contre nous, ce qui s’est vérifié. Nous considérons donc que ces Ducats auraient été versés à perte.

La Castille en 1472

Je prends aujourd’hui ma retraite et redépose ce Royaume entre vos mains.
Sa situation est excellente. Notre armée est la plus moderne du monde et les mines d’or d’Afrique nous assurent des revenus considérables.

L’assaut final d’Alger a cependant soulevé une série de révoltes dans nos provinces musulmanes. Il est possible que certaines provinces nous échappent. Mais, si vous parvenez à garder le contrôle d’Alger, de Fez et de Tombouctou, il n’est aucune sécession qui ne puisse rapidement être corrigée.

Mais peut-être ces révoltes et cette instabilité sont-elles le signe que nous avons cherché à intégrer trop de peuplades différentes au sein du même Royaume. Ainsi, le nombre de nos provinces musulmanes atteint le double de nos provinces chrétiennes !!! Etait-il sage de s’avancersi loin en Afrique ?
Je remets l’avenir de la Castille entre les mains de son prince légitime

Comte Vladenez y Fillol






Des concessions ?
L’Empire Ottoman ne semble concevoir ses relations avec les autres nations qu’en termes d’hommages et de tributs qui seraient dus à son Sultan.

Vous nous avez tout d’abord vers 1430 demandé de vous verser un tribut annuel afin de ne pas interférer dans notre lutte contre la Horde d’or dont nous venions de nous émanciper. Nous avons refusé car nous n’avions pas défié les Mongols pour retomber ensuite sous la coupe des Ottomans.

Vous avez ensuite poursuivi avec la même menace en nous demandant notre neutralité diplomatique vis à vis de vos initiatives en Europe. Nous avons accepté cette proposition et nous avons scrupuleusement jusqu’à présent respecté cet accord nous abstenant de tout commentaire ou support aux adversaires du Sultan.

A l’issue de notre guerre victorieuse contre la Horde d’Or, alors que vous vous proclamez le protecteur des Orthodoxes, vous avez menacé de priver de son indépendance la Géorgie si nous continuions notre expansion au détriment de notre ennemi séculaire alors que notre précédent accord stipulait pourtant que vous ne deviez plus intervenir dans notre lutte contre les Mongols.

Nous avons décidé d’apaiser vos craintes en laissant tranquille la horde d’Or et nous sommes parti guerroyer dans les Steppes contre les alliés traditionnels de la Horde où nous ne pensions pas encore une fois devoir subir vos mises en garde. Mais cela ne fut pas le cas et à fin du conflit qui nous avait opposé aux Khanats de Nogai et de Sibir, vous nous fixiez un moratoire de 20 ans avant toute nouvelle conquête sur les Mongols sans justifier autrement votre condition que par votre caprice. Vu que nous n’avions plus l’intention de combattre les Mongols dans un avenir proche, votre demande fut enterinée sans broncher et nous avons décidé de ne pas relever le fait que votre intervention était une fois de plus contraire à l’accord vous nous avions passé.

A présent, vous nous avez demandé dans un premier temps le centre de commerce d’Astrakhan sans autre raison que votre volonté de nous imposer des sanctions qui nous semblent tout à fait injustifiées. Et devant notre refus, vous nous demandez des concessions faute de quoi vous menacez de faire entrer la Horde d’Or dans votre alliance et d’étendre sur eux votre protection.

C’est à présent la cinquième menace qui nous vient de Constantinople et nous ne comprenons toujours pas la raison de ces mises en garde. Nous n’avons jamais cherché à nuire à l’Empire Ottoman. Nous pensions avoir un accord avec lui mais il nous faut nous rendre à l’évidence, les Turcs, contrairement à leur engagement, sont constamment intervenus dans notre conflit avec les Mongols. Nous constatons donc que l’accord qui nous liait a été brisé par la sublime Porte. Dès lors, nous reprenons notre liberté diplomatique.

Ce que vous avez pris pour des agacements venant de notre part n‘étaient que des observations critiques visant à préserver par la communication l’entente qui, nous le pensions, aurait pu se développer entre nous et nous espérions que nos commentaires seraient perçus de manière constructive à Constantinople. Mais il n’en fut rien.

Nous ne concevons pas de la même manière les relations diplomatiques avec les autres nations. Nous pensons que pour développer de bonnes relations avec nos voisins, des rapports équilibrés sont nécessaires et force nous est de constater que la Turquie n’envisage ses rapports avec nous que dans l’optique d’un rapport de force.

Nous continuons à tendre une main amicale au Sultan mais c’est à lui de décider. Nous ne ferons pas de concessions. Si l’empire Ottoman s’allie à la Horde d’Or et conformément à notre déclaration précédente, nous serons forcé de constater que le Sultan ne recherche pas l’amitié de la Moscovie en voulant ainsi protéger l’ennemi héréditaire du peuple Russe. Si tel est le cas et en l’espèce cela ne changera rien. Nous continuerons notre projet de repousser les hordes Mongoles au delà de l’Oural. Si l’Empire Ottoman soutient son allié, il est le bienvenu dans les froideurs glacées de l’hiver Russe et si la puissance Ottomane est suffisante pour nous tenir en échec et bien nous attendrons. La patience est une grande vertu du peuple Russe.


Grand duc Alexei Crusadrov, Grand Chambellan de la principauté de Moscovie



La Moscovie se livre à une bien singulière réécriture de l'histoire de nos relations...

Vous nous avez tout d’abord vers 1430 demandé de vous verser un tribut annuel afin de ne pas interférer dans notre lutte contre la Horde d’or dont nous venions de nous émanciper. Nous avons refusé car nous n’avions pas défié les Mongols pour retomber ensuite sous la coupe des Ottomans.

Il n'a jamais été question d'un tribut, mais d'un dédommagement pour financer l'installation des mongols chassés de leurs terres dans nos provinces. Nous n'avons jamais exigé ou même mentionné un lien de subordination quelconque entre la Moscovie et notre Empire.

A l’issue de notre guerre victorieuse contre la Horde d’Or, alors que vous vous proclamez le protecteur des Orthodoxes, vous avez menacé de priver de son indépendance la Géorgie si nous continuions notre expansion au détriment de notre ennemi séculaire alors que notre précédent accord stipulait pourtant que vous ne deviez plus intervenir dans notre lutte contre les Mongols.

Nous ignorons de quel accord vous parlez. Il n'a jamais été question pour nous de vous laisser les mains libres dans le dépeçage de la Horde et des autres Khanats de l'est, sans que la Moscovie ne fasse des concessions. Elle mène actuellement une politique expansionniste, et vous voudriez que nous laissions croître à nos frontières, sur le dos de nos frères musulmans, un royaume qui s'arroge des droits sans la moindre légitimité? Regardez le nombre de révoltes que vous avez eues dans les provinces annexées par rapport à la parfaite quiétude qui règne dans l'Empire ottoman, et vous verrez qu'il n'y a pas de commune mesure entre votre expansion et la nôtre. La nôtre est réclamée par les populations, la vôtre est une tyrannie.

C’est à présent la cinquième menace qui nous vient de Constantinople et nous ne comprenons toujours pas la raison de ces mises en garde. Nous n’avons jamais cherché à nuire à l’Empire Ottoman. Nous pensions avoir un accord avec lui mais il nous faut nous rendre à l’évidence, les Turcs, contrairement à leur engagement, sont constamment intervenus dans notre conflit avec les Mongols. Nous constatons donc que l’accord qui nous liait a été brisé par la sublime Porte. Dès lors, nous reprenons notre liberté diplomatique.

Nous ignorions que votre liberté diplomatique était aliénée d'une quelconque manière que ce soit. A la vue de vos déclarations lorsque vous la réfréniez, nous osons à peine imaginer ce que vos propos vont être désormais. Mais fort bien, nos relations sont rompues, et c'est de votre fait.

Nous ne ferons pas de concessions. Si l’empire Ottoman s’allie à la Horde d’Or et conformément à notre déclaration précédente, nous serons forcé de constater que le Sultan ne recherche pas l’amitié de la Moscovie en voulant ainsi protéger l’ennemi héréditaire du peuple Russe. Si tel est le cas et en l’espèce cela ne changera rien. Nous continuerons notre projet de repousser les hordes Mongoles au delà de l’Oural. Si l’Empire Ottoman soutient son allié, il est le bienvenu dans les froideurs glacées de l’hiver Russe et si la puissance Ottomane est suffisante pour nous tenir en échec et bien nous attendrons. La patience est une grande vertu du peuple Russe.

Votre patience n'a d'égale que la nôtre. Si malheureusement un conflit éclate, nous verrons comment la Russie défend la fine et longue bande de terres qui mène de Moscou jusqu'aux abords de la Sibérie, composée de provinces ne demandant qu'à se révolter contre votre joug. Considérez donc que la Horde d'Or est d'ores et déjà notre alliée, puisque vous nous contraignez à cette alliance.


Khig Ologlu Al-Masri
Grand Vizir de la Chancellerie d'Istanbul






A son Excellence Albert V, empereur du Saint Empire.

Mon seigneur,

L’Autriche poursuit son rapprochement avec les familles allemandes. Vous êtes élu Empereur du Saint Empire, le 10 décembre 1437. Le pays est en liesse. Malgré cela notre action envers le comté de Wurtemberg et le duché de Bavière est toujours un échec. Ne désespérons pas.
Le pays se développe. Des baillis sont nommées dans chacune de nos provinces. L’influence commerciale de l’Autriche est au plus bas. Les marchands envoyés dans les différents centre de commerce ne peuvent s’implanter que pendants quelques mois. Les banqueroutes se succèdent et les rentrées d’argent sont bien insuffisantes. Il devient urgent de trouver la cause de ces échecs.
Nous avons privilégié la paix à la guerre pendant ces année. Cela n’est pas le cas de tous les Grands d’Europe. En effet l’Angleterre, la Castille et la Moscovie se sont fortement agrandis, souvent, en employant les armes. Ainsi le royaume d’Eire est passé sous tutelle Anglaise fin de l’année 1436. Si la conquête de Grenade par le royaume de Castille nous apparaît comme bénéfique, son action contre le Maroc en début d’année 1437 nous est incompréhensible. L’empire Ottoman continue son expansion militaire ; cela devient inquiétant. Mon seigneur, je sais votre attention accaparée par la guerre que nous menons contre l’alliance Bourguignonne depuis le début de l’année 1437. Notre armée, après avoir libéré le comté de Wurzburg, mène activement le siège de la ville Kassel. L’espoir est grand de voir ce conflit terminé rapidement.
En cette fin d’année 1438, je vous conseille de prendre du repos. Votre santé est fragile.

Votre humble serviteur, Ludwyg.




A son Excellence, Ladislas Postomus, Empereur du Saint Empire.

Mon seigneur,

C’est grand honneur à ma famille que de vous servir en tant que conseiller privé. En ce début d’année 1439, le rapprochement des différentes familles allemandes est toujours l’objectif principal. Nous devons améliorer nos relations avec le Wurtemberg et la Bavière. La paix avec l’alliance Bourguignonne doit être signée au plus tôt. Nous pourrons alors espérer voire l’aboutissement de nos efforts diplomatiques.
Le problème de l’implantation des marchands autrichiens dans les centre de commerce nécessite toute votre attention. Il devient urgent d’augmenter les recettes de la couronne. Voilà, très brièvement, les directions que doit suivre votre politique intérieure.
Comme je l’avais conseillé à votre père, l’Autriche doit éviter tout conflit armé avec les Grands d’Europe. La diplomatie reste notre arme la plus redoutable. L’Empire Ottoman, doit être surveiller de prés. Il s’avère indispensable de connaître mieux ce pays et ses dirigeants.
Votre humble serviteur, Ludwyg.




Décembre 1456.

A son Excellence, Ladislas Postomus, Empereur du Saint Empire.

Mon seigneur, Voici le bilan de ces dernières années. Le rapprochement des différentes familles allemandes tant désiré par son Excellence est un échec. Nous savons depuis de nombreuses années que des pays étrangers sont hostiles à cet état de fait. Leurs agissements, ont finalement portés leurs fruits. Le comté de Wurtemberg refusa en 1452 de rejoindre notre nation. Depuis, nous avons toutes les difficultés pour garder de bonnes relations avec notre vassal. En 1456, la Bavière, après son refus d’annexion, a rompus ses liens de vassalité avec la couronne. Toutes nos tentatives de rapprochement se sont soldées par des échecs. A cela, s’ajoute la perte d’autonomie de certaine province allemande. En 1448, l’Angleterre vassalise les comtés d’Oldenbourg et de Munster. L’Autriche proteste, mais en vain.
L’état des finances s’est quelque peu amélioré, mais les banqueroutes de nos marchands sont toujours aussi fréquentes.
Les royaumes d’Angleterre et de Castille poursuivent encore leur expansion militaire. Après le Maroc, voici le tour de l’Algérie ; la Castille voudrait provoquer l’Empire Ottoman qu’elle ne s’y prendrait pas autrement. Les nouvelles de l’Est sont meilleures. Le royaume de Moscovie semble avoir retrouvé la paix. L’empire Ottoman persiste dans sa politique de conquête.
Notre politique basée sur des relations diplomatiques courtoises n’est efficace que si nos voisins les prennent en considération. Cela n’est pas le cas. La conclusion s’impose d’elle même.

Votre humble serviteur, Ludwyg.
__________________
AAR Turquie HoI2 - L'Empire Ottoman est il vraiment mort ?

Malraux et De Gaulle sont dans dans les toilettes de la Comédie Française, durant l'entracte d'une représentation de théatre, chacun face à une pissotière.
Malraux, se tournant vers De Gaulle :
"- Belle pièce hein Mon Général ?
- Malraux, regardez devant vous !"
Réponse avec citation
 

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