Aar Florentin

[jimbo]

Le règne Evangelista degli Albizzi.


A la mort de Cosme et de sa descendence directe, Evangelista degli Albizzi.
Veuve, d'un éminent membre de la famille des Albizzini, les anciens concurrents
des Medicis, pris le pouvoir de la République grâce à des dons de diplomatie
et de séduction.


Le cabinet d'Evangelista

Sa prise de pouvoir fut marquée par une augmentation des impot sur les marchandises
et un déclin du commerce jusque là florissant. L'accroissement de l'armée fut
également stopé et une ére d'épargne commença pour Florence.

En 145x, l'Archiduc d'Autriche et le Pape se brouillèrent suite à l'annexion
sauvage d'un Archevéché par les Habsbourg. La guerre éclata à nouveau entrainant
Evangelista dans la tourmante des opérations militaires. Son peu d'entendement
pour ces affaires l'entraînèrent à un immobilisme, puis a l'envoi de l'armée
Florentine dans le Trentin pour appuyer les offensives acharnées du Pape.
Le Trentin fut pris au cout de lourde pertes en raison du mauvais ravitaillement
et d'un hiver long. Les contre offensives Autrichiennes furent brisées à 3 reprises
avant que le Capitaine Danton ne soit obliger de faire retraite en raison de
l'état lamentable de ses troupes.

Sur le front de Carinthie, les troupes Papales essuyèrent de lourds revers ou
le Pape en personne trouva la mort ainsi que le gros de son armée.

Le retour des forces Florentine accablées et épuisées par les combats alpins
ému beaucoup Evangelista. Elle décida qu'il était temps d'adopter une posture
strictement défensive dans une guerre qui n'était pas la sienne.

Les forces Papales s'effonfrèrent finalement et l'Autriche passa à l'offensive
en Italie ou son armée fut battue à plusieurs reprise par les Forces Florentines
recomposées. l'Archiduc et le nouveau Pape arrivèrent finalement à s'entendre sur
une paix blanche, tant il était impossible pour chacun des camps de porter
victorieusement la guerre dans les possessions de l'autre.

La reconnaissance Papale pour l'aide Florentine se résuma à une courte missive
dans laquelle il s'étonna du manque d'offensive de l'armée Florentine
alors que ses terres avaient été sauvé par cette même armée.

Le ressentiment en terre de Florence fut important et l'estime que l'on portait
alors au Saint-Siège était des plus basse.

La période qui suivit cette guerre vut les puissances Italiennes et Autrichiennes
panser leur plaie et s'intéresser d'avantage à l'accroissement de leur trésors respectifs.
A FLorence, Evangelista créa un post de responsable du commerce et y nomma Adeanilio
un noblio des vertes Contrées d'Ombrie. Ce dernier, plein de bon sens, fit très
rapidement réformé le système des imposition sur les marchands locaux et obtenu
d'Evangelista que ce ne soit plus le prestige qui s'impose comme valeur de la République
mais plutôt que cette dernière ce centre sur sa raison d'être le commerce !(+10% de
chance de placer les marchands)
Ces réformes permirent de redresser les revenus comerciaux de la République qui en
3 ans retrouvèrent leur niveau de 1456.