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Vieux 16/03/2011, 15h20
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Sur le flanc droit, nous n'avons à opposer à ces féroces lanciers polonais qu'un régiment de cuirassier qui a déjà perdu 1/3 de ses effectifs sous la canonnade française. Une ligne de fusillers hongrois lui est aussitôt adjointe afin de faire barrage à un éventuel enveloppement ennemi. Le point positif reste que justement les lignes d'infanterie françaises sont encore trop loin pour être une réelle menace et que nous gardons l'avantage numérique dans tous les secteurs.





Ce n'est pas une surprise, nos cuirassiers, qui souffrent d’un faible moral, sont balayés par la charge polonaise et s’enfuient sous les lazzis de nos soldats hongrois, qui doivent affronter seul la charge impétueuse de la cavalerie.




L’élan français a néanmoins été brisé et les fusillers feront merveille avec leurs armes : malgré de lourdes pertes, la cavalerie polonaise est mise en déroute. L’avantage reste néanmoins toujours côté français, puisque nous avons perdu la moitié de notre cavalerie là ou les effectifs ennemis ne sont qu’en partie entamés. Justement, après s’être détourné du flanc gauche, la cavalerie française s’est assemblée en une masse compacte de 4 régiments.





Tout à notre victoire sur le flan gauche, nous tardons à nous intéresser à ce qui se développe désormais au centre. Longeant Papelotte, les forces françaises se ruent sur nos positions en haut de la crête, dans le secteur central finalement le plus dégarni puisqu’au lieu de lignes d’infanterie, s’y trouve toute notre artillerie.




Les hommes n’ont pas le temps de lâcher les boulets et de les remplacer par de la mitraille – qui aurait fait un carnage – quand la cavalerie française défonce littéralement la ligne prussienne en son centre.
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