Discussion: Artemis de Kosigan
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Vieux 30/12/2006, 16h30
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Par défaut Artemis de Kosigan

En exclusivité pour le bon peuple, les folles aventures d’Artemis de Kosigan, roublard pur de son état et que je vais jouer comme tel .



Acte 1. Nous mettons la milice et les ducats dans notre poche


Mon cousin, Aragorn, barde de son état, nous a devancé mais il a laissé passer tant de choses que nous sommes contraint de repasser derrière lui… Avec beaucoup plus de discrétion.


Le chevalier Anglais et ses soudards ont été difficilement liquidés : nous n’avons pas l’adresse au combat de notre cousin, mais nous avons la ruse . Trois fois, nous nous sommes cachés dans une grange et une fois dans la bauge aux cochons (nous en sommes ressortis puant mais bien vivant ) : le temps pour notre amulette de régénérer nos blessures puis nous repartions discrètement, furtivement, et pan une attaque sournoise dans le dos . La charmante paysanne que nous venions de sauver du viol nous a informé de la présence à l’extérieur d’autres soudards.


Après avoir passé quelques bons moments avec elle (curieusement, elle a beaucoup insisté pour que nous prenions d’abord un bain ), nous nous sommes glissés dans la nuit complice et avons rapidement repérés les éclaireurs Anglais en question : le temps qu’ils comprennent ce qu’ils leur arrivaient et deux étaient déjà sur le carreau (aaah, les attaques surprises et sournoises, rien de tel pour pourfendre l’opposition ). Le dernier a suivi le même chemin et nous sommes alors partis pour un moulin, où une sordide affaire criminelle nous attendait (notons que notre estimé cousin n’a jamais pris la peine d’aller jusque là, c’est un fainéant, nous nous en doutions déjà mais maintenant nous le savons ) : notre esprit subtil et éclairé nous laisse penser que le criminel n’est peut-être pas celui qui nous est désigné (quelques incohérences dans l’histoire du meunier, mais nous verrons cela plus tard).


Arrivée en ville et, immédiatement, direction le bordel (il y a des choses qui ne changent pas ) où nous élucidons rapidement cette sombre affaire de meurtre, ce qui nous vaut l’amitié et le respect du chef de la milice, fort préoccupé par la fermeture de l’Empire des Sens (ok, le chef de la milice est déjà dans notre poche ). Ballade en ville, où une porte piégée et verrouillée attire notre attention : une fois encore, notre balourd de cousin n’est même pas passé par ici. Il faut reconnaître qu’il n’a pas notre talent pour désamorcer les pièges et crocheter les portes : ooooh, mais c’est une réserve avec un riche butin . Pillons, pillons.


Mais ? Qu’entends-je ? Des voleurs ! Les ignobles ! Oser vouloir piller les réserves d’une ville presque assiégée ! Allons, Artemis, du courage, la Loi compte sur toi . Mais 4 voleurs qui vont lâchement balancer des attaques sournoises, c’est lourd… Nous nous rapprochons donc discrètement et frappons le premier : un premier brigand s’effondre ! Nous nous faufilons vers la sortie, frappant encore fort l’un d’eux au passage et nous retrouvons à l’air libre : chance, un seul nous a suivi et il perd complètement les pédales, s’attaquant à un garde de la ville ! Nous nous faisons un plaisir de lutter pour la loi et la justice, et nous liquidons le voleur.


Ensuite, après avoir reçu les chauds remerciements du garde, nous l’informons que 8 autres brigands sont entrés dans la réserve pour voler honteusement : le coco file ventre à terre chercher des renforts, pendant que nous montons la garde :epee: . Le garde partis, nous rentrons naturellement et achevons les deux derniers voleurs après un combat épique. Nous pillons ensuite la réserve et ressortons… Juste à temps, la milice arrivait ! Nous prenons une mine défaite et racontons à notre grand copain chef de la milice qu’il arrive malheureusement trop tard , les brigands ont fuis mais nous avons réussi, en héros que nous sommes, à liquider deux d’entre eux qui s’attardaient, ce qui a permis de sauver une très maigre partie du butin (nous avons replacé tout ce qui ne nous intéressait vraiment pas ).


La milice nous acclame pour notre courage et la capitaine de la milice vante tout particulièrement notre courage : « S’il y avait plus de citoyens de votre trempe, notre travail serait bien plus facile et la vie de ces vils voleurs singulièrement compliquée » » Merci, capitaine, mais je n’ai fais que mon devoir. De toute façon, le crime ne paye pas , c’est bien connu et vous finirez pas attraper les brigands qui ont pu fuir ave leur butin » « Encore merci à vous, je parlerai de vos exploits au Comte ». Nous partons alors en héros vendre discrètement le butin subtilisé au nez et à la barde de la milice de la ville .
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