L'automne 1914 commence mal, diplomatiquement parlant.
Le Luxembourg est tout d'abord incorporé au Reich. Ce qui, admettons-le, ne changera pas grand chose. Par contre, l'Empire Ottoman entre dans la danse...
Les troupes russes dans le Caucase devraient suffire à contenir une armée turque qui n'a pas vraiment brillé depuis 1877...
A Rome, la sympathie en faveur de
l'Axe l'Allemagne se confirme. Ils ne sont pas encore au point d'enter en guerre demain, mais il faut les surveiller. Ou graisser quelques pattes. C'est l'Italie, après tout...
Dans les Balkans, le Tzar Ferdinand n'est pas sourd, lui non plus, aux sirènes Allemandes. Venger la défaite de 1913, voilà un programme intéressant! Une entrée en guerre Bulgare serait dramatique pour l'armée Serbe, incapable de se défendre sur deux fronts.
Sur mer, la Royal Navy n'a pas laissé assez de navires en mer du Nord pour garder la Kriegsmarine au port. Une fois qu'ils seront revenus pour se ravitailler (sais pas les ramener...
), on verra ce qu'on verra. Mais le plus important, l'Atlantique, est encore contrôlé par l'Entente.
Le BEF va faire son apparition sur le continent.
La perspective d'une guerre terminée en quelques semaines s'éloignant, du fait de la fixité grandissante du front Ouest, les premiers efforts de recherches sont faits par les gouvernements de l'Entente. L'artillerie est le domaine prioritaire des recherches, considérant l'infériorité alliée dans les pièces de gros calibre.