26/10/2009, 21h24
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Franconaute
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Date d'inscription: septembre 2005
Localisation: Asgard, monde des Ases
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Tu ne pouvais pas attendre 20 minutes de plus?
La parole d'un travailleur étant sacrée, voici la suite
Janvier / Février 1940. Bruxelles dans la tourmente (3 impulses seulement !)
L’Axe gagne péniblement l’initiative (via un re-roll) et passe immédiatement à l’offensive malgré la neige. Une bataille aérienne voit l’anéantissement des chasseurs Belges et Français, mais les Stukas échouent leur bombardement : qu’à cela ne tienne, les blindés, après s’être laborieusement extirpés de la neige, balayent tout sur leur passage et Bruxelles est entièrement encerclée ! Le Reich pousse un long soupir de soulagement, le désastre à l’ouest n’est pas passé loin, mais le danger est désormais passé : les ploutocrates décadents, faibles et frileux, n’oseront jamais quitter leur nid douillet alors que le thermomètre est au plus bas.
Le Bomber Command brise bruyamment ce doux espoir et pilonne avec force les positions de la Wehrmacht, non sans succès, mais le pire restait à venir : les troupes Franco-Belges passent à l’offensive , venant de Lille et de Bruxelles, bien décidées à briser l’encerclement de la capitale ! Le gros Goering cède aux injonctions des généraux inquiets et fait décoller immédiatement tout ce qui est encore capable de voler : les B-109 écrasent les derniers chasseurs Français et ouvrent le chemin aux Stukas, qui bombardent sans relâche, brisant net l’assaut allié, qui se solde par un désastre. Bruxelles reste encerclée, le général Georges perd espoir, mais ses troupes résistent toujours : l’artillerie du Reich bombarde en effet en vain la capitale et l’OKW, qui estime avoir pris bien assez de risques ainsi, décide de temporiser et se contente de renforcer ses positions en attendant le retour du beau temps .
En méditerranée, les renforts Italiens ne cessent d’affluer et le tour extrêmement court ne permet guère à l’Angleterre de se renforcer .
En Chine, Yamamoto tente un bombardement massif suivi d’un assaut à la baïonnette : les deux échouent lamentablement et le haut commandement Impérial décrète la fin des hostilités sur ce front… En attendant l’arrivée des renforts blindés qui sortent des usines de production fin février .
Conclusion du tour
Bruxelles reste aux mains des alliés, 4 mois après la déclaration de guerre du Reich à la Belgique, mais la fière et majestueuse capitale est complètement isolée et les Français ne sont plus ravitaillés .
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