Discussion: Ca chauffe
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Vieux 26/09/2008, 13h40
el duderino el duderino est déconnecté
Amateur du forum
 
Date d'inscription: mai 2008
Messages: 59
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En effet, pas de Rp ou presque en interne à l'AFRO.

Ou du moins, des post bcp plus ambivalents. Pour souder le groupe, pour animer l'alliance et la partie, pour organiser les opérations, pour simplifier nos interactions. Nous étions 10 actifs dans l'AFRO, avec des floodeurs comme le Rwandais, le Libérien et moi : fonctionner en pur RP était impensable, même si nous avons quand même gardé d'un bout à l'autre un ton à mi chemin entre le papotage entre joueurs et le papotage RP.
J'ai assez de bouteille en règle générale pour ne pas m'illusionner sur le RP. Je préfère 100 fois un forum bordélique, sans RP mais qui permet de construire des animations de jeu plutôt qu'un forum RP où personne ne parvient à clairement se comprendre.

J'ai la même vision que Apebe sur la Ligue arabe. Dès le début, la faille au sein de la Ligue sautait aux yeux. Et les extrémistes n'étaient pas forcément les plus nombreux malgré la visibilité que tu leur donnais. J'avais de bonnes relations avec l'Irak, la Lybie et le Yémen.

De toute évidence, si les africains poussaient la moitié de la ligue contre l'Europe et les européens l'autre moitié contre l'Afrique, la Ligue n'avait aucune chance sans une loyauté totale de ses membres, chose parfaitement innenvisageable avec Shiran !
Et l'Afrique était mieux placée puisque son "influence" se portait sur des pays proches géographiquement de leurs amis et de leurs ennemis (Maroc VS Espagne, Algérie Vs France, Lybie Vs Ukraine) alors que les Européens devaient manipuler des pays éloignés (AS, Yémen, Irak).
Je ne compte pas EAU et Egypte, ils n'ont eu aucune influence vu leur peu de temps de présence dans la partie.

Pire encore, les Européens n'étaient pas soudés dès le début. L'Italie et la Norvège travaillaient dans leur intérêt et pas dans ceux de l'Europe. La France roulait pour le Canada, l'Espagne pour l'Australie, la GB roulait sur son vélo dans sa tête, etc. Le tout accompagné par des choix politiques très discutables.

La dynamique était donc claire d'entrée malgré le différentiel de puissance de départ, en faveur de l'Europe.
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