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Vieux 02/12/2006, 17h11
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Franconaute
 
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1562 – 1580. L’Espagne parjure et voleuse châtiée par la France Glorieuse, honnête mais trahie



D’ultimes négociations avaient été tentées avec Madrid, mais les ambassadeurs Français rentrèrent à Paris scandalisés : la boulimie du Roi Parjure semblait sans limite. Il ne voulait pas seulement nous voler ce qu’il nous avait pourtant vendu : non, il voulait aussi nos cartes et nos possessions d’Afrique . Il était temps de mettre un frein à cet appétit démesuré : on ne badine pas avec la grandeur de la France.



La guerre en Amérique


Le vol scandaleux de nos colonies, pourtant achetées à l’Espagne, était un des objectifs majeurs du Roi Parjure et lâche : ses hordes emportèrent facilement tout sur leur passage, nul ne s’attendait à pareille trahison côté français. Un corps d’armée offrit cependant une belle résistance et ralentit quelque peu les envahisseurs . Du temps, c’est justement de dont nous avions besoin. Deux de nos cités coloniales étaient hors de portée du parjure et le recrutement fut lancé et poursuivit durant toute la guerre.


En attendant, toutes nos colonies de Louisiane tombèrent et furent annexés via l’inique TOT : le Parjure avait réussi son vol, mais, s’il avait gagné 4 malheureuses colonies, il avait surtout perdu toute crédibilité aux yeux du monde, qui le voyait enfin pour ce qu’il était, ce qu’il n’avait jamais cessé d’être : un petit escroc lâche et sans honneur . Il avait aussi gagné la haine éternelle de la France qui, toute entière, fit le serment de se venger et de faire payer à l’escroc au centuple ce qu’il venait de nous prendre. Madrido Delenda Est.


Et il n’y avait aucune raison de remettre à demain ce qui pouvait être fait aujourd’hui. De nouvelles troupes furent levées dans ce qu’il nous restait de colonies en Amérique et elles réussirent facilement, à un contre 2, à repousser les truands . Mais pour prendre l’offensive, il en fallait bien plus et, à Paris, l’on se décida pour une folle mission : convoyer des armées de France vers l’Amérique, malgré la flotte Ibérique qui faisait le blocus de nos côtés… Malgré l’absence de navires de guerre.


6 transports furent construit et partirent ainsi, sans aucune protection, avec des troupes à bord : de l’audace, encore de l’audace, toujours de l’audace ! Ils exécutèrent trois fois le trajet, sans subir la moindre perte ! Une fois, une seule, ils furent pris en chasse par la marine espagnole, mais notre habileté était telle qu’il fut assez facile de les semer. Plus de 30.000 soldats débarquèrent ainsi en Amérique, qui s’additionnèrent aux troupes que nous pouvions encore recruter sur place : les Espagnols furent d’abord bousculé puis purement et simplement anéantis , malgré l’arrivée de leurs propres renforts.


En quelques mois, toutes nos colonies perdues, désormais espagnoles, avaient été récupérées, une cité coloniale Ibère était aussi tombée et des raids avaient été lancés au Mexique même. Le Roi Parjure, qui pensait sottement que nous attaquer en traître et sans avertissement aucun suffirait à lui donner la victoire, tombait de haut : la France Eternelle n’est pas un agneau qui vient de naître et qu’on peut facilement dépouiller .



La guerre en France



Le parjure, suite à son ignoble attaque de voleur, déferla en France, le Prince d’Albe en tête : trois provinces tombèrent avant que, enfin, nos armées n’arrivent et ne lancent les premières contre-attaques. Trois illustres généraux s’opposaient à l’impie : Bourbon, Montmorency et le prestigieux Lala Mustapha, général ottoman de renom. Le Calife, homme loyal et juste , n’avait en effet pas supporté la félonie abjecte du Roi Parjure. Le monarque de France remercie ce saint homme mais déplore le silence des autres souverains du monde civilisé : tous se sont tus, l’Empereur excepté, un seul a agis .


Les batailles se succèdent à un rythme effrayant, le Prince d’Albe est le meilleur général de son temps, mais nul homme n’est invincible et ce qui devait inévitablement arriver finit par se produire : les Espagnols sont écrasés et anéantis, le Prince d’Albe est tué .


Les trois provinces perdues sont rapidement récupérées et, la France étant désormais libérées de la putride présence Ibérique, le Calife signe la paix et rentre chez lui. Le Roi Parjure reprend alors espoir et tente un retour en force en France : ses bataillons déferlent. Bien peu parviendront à rentrer au pays… La guerre en France était gagnée et bien gagnée.



La guerre en Italie



C’est sur ce front que tout alla très vite pour le mieux : les 45.000 impies qui lancèrent l’assaut, sitôt l’ignoble déclaration de guerre réalisée, trouvèrent en face d’eux des hordes imprévues. Sa Sainteté le Pape, ulcéré par l’attitude du Roi Parjure, avait en effet lancé un appel vibrant aux bonnes âmes : tous ceux qui rejoindraient les armées de France gagneraient leur absolution . C’est par milliers que des soldats arrivèrent alors, pour rejoindre notre blanc panache, et ces justes formèrent le fer de lance de nos forces en Italie.


Les Espagnols sont complètement écrasés deux fois et se replient piteusement sur Naples, où ils sont exterminés par un corps d’armée Janissaire de passage. Des renforts sont levés, le Pape nous accorde l’accès militaire et béni notre offensive : les armées de France passent en territoire ennemi et l’intégralité du royaume de Naples tombe rapidement . Nos troupes victorieuses passent alors en Sicile, sans rencontrer la moindre opposition.



La conclusion


Partout repoussé et perdant sans cesse de plus en plus de terrain, le Roi Parjure reconnaît alors sa défaite et son crime ignoble : il demande la paix. Noble et généreux de nature, le Roi de France la lui accorde et récupère via le traité de paix toutes les colonies de Louisiane fourbement annexées via le TOT inique.



Ainsi s’acheva l’agression ignoble du Roi Parjure et la morale de cette histoire est que le bon droit triomphe toujours !


Puisse le Roi d’Espagne se repentir de ses erreurs et revenir dans la lumière du Christ Sauveur, où la France brille d’un éclat insoutenable qui fait reculer même le Malin
Réponse avec citation