Discussion: In the Navy
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Vieux 24/03/2008, 15h52
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Elvis Elvis est déconnecté
Roi aux chaussures de velour bleu
 
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Probleme de save, je n ai pas reussi à rechargé la mission.
Heureusement il y a un autosave à chaque ravitaillement : J ai donc repris depuis Midway et rejoint la zone où l'on était arrivé : En chemin, j ai coulé 2 cargos, égalant le tonnage dans l'ancienne save....

Les 3 Glorieuses : 18-19-20 Mars 1942

Alors que l USS Grampus poursuit sa route vers notre zone de patrouille au sud de l'archipel d'Okinawa, le matelot Herman Sentenza affecté à la vigie signale un panache de fumée au 270 en fin de journée ...

'Kapitan, gross fumée zu 270 !'
Il a un drôle d'accent cet Herman....


Saisissant mes jumelles, j'observe dans la direction indiquée et constate également le signe révélateur d'un navire dans les parages



Malheureusement, le radar indique que le navire fait route vers le Nord Est, alors que l'USS Grampus file au Sud Ouest.
De plus, impossible d'apporcher en plein jour vers le marchand japonais sans être repéré.
Nous allons donc marcher en parallele à distance respectable et repiquer vers la cible dès que la nuit sera tombée...



Un peu avant 22h00, nous arrivons en position. Notre sous marin est immergé pour éviter d'être repéré et j'observe le navire japonais à travers le périscope d'observtion qui approche sans se douter de notre présence.



Notre cible, un petit cargo cotier de 1600 Tonnes.


Une premiere torpille est lancée, mais un peu dans la précipitation : Elle explosera dans le sillage du navire, sans provoquer des dégats critiques.





Mais l'impact semble avoir endommagé les moteurs du navire, qui ralenti: Sa silhouette quasi immobile se dessine dans le soleil couchant à travers le périscope : Une cible facile. Une seconde torpille est tirée :


Notre deuxième torpille déchire littéralement le navire japonais qui s'embrase...



Quelques minutes plus tard, il ne reste qu'une tache de mazout à la surface qui signale la dernière position du cargo nippon.



Nous sommes encore à plusieurs jours de notre zone de patrouille : Pas le temps de trainer, Cap au Sud Ouest

Le lendemain, un peu après midi, le matelot Duncan Danton, de quart au poste radar, signale un nouvel echo au 327 faisant cap au Nord Est.
Un rapide coup d'oeil à la carte, et je calcule un point d'interception :



Mes estimations sont bonnes et 15mn plus tard, le panache de fumée du navire japonais approchant confirme mes calculs



A 13h30, la silouhette du navire japonais se dessine parfaitement à travers le périscope.
Un petit cargo de 1700T.



Cette fois ci pas de précipitation. J'attends le moment opportun avant de tirer. Pas question de prendre des risque et de gaspiller nos torpilles, dont la réserve est déjà bien entamée...
La torpille heurte le navire ennemi directement sous la passerelle, le touchant à mort.



L'eau s'engouffre alors rapidement dans les compartiments du cargo le faisant dangereusement giter sur tribord, avant de l'envoyer finalement par le fond.



L'USS Grampus fait alors surface à quelques metres du naufrage, permettant à notre équipage de constater le résultat de notre attaque.




Mais le Dieu de la guerre est à nos cotés, (ce qui compense l'incapacité chronique de notre équipage).
Dans la soirée, un nouvel echo est signalé au radar par le matelot Edgar TahitiBob affecté au quart de nuit.
Même topo : On calcule un point d'interception en fonction du cap et de la vitesse estimée du navire ennemi :



Arrivé au point estimé, nous passons en profondeur périscopique, moteur à l'arret, tel un chasseur à l'affut attendant patiemment sa proie.
Régulièrement, je demande les informations à notre poste d'ecoute hydrophonique. Le matelot Austin Tcao me donne régulièrement le signalement du navire japonais en approche.



Celui ci bien evidemment ne se doute de rien et continue sa route



Finalement, comme prévu, un peu moins d'une heure après le premier contact, le navire japonais se dessine clairement à travers le périscope. Cette fois ci c'est un vieux et gros cargo : plus de 6000 Tonnes.
Il va falloir plusieurs torpilles pour en venir à bout...



Je décide donc d'envoyer une salve de 3 poissons. Cette fois ci nos torpilles font mouche et heurte les flancs du cargo ennemi



Sur le pont, c'est l'enfer, les incendies font rage et les seuls quelques rares survivants parviennent à mettre un canot à l'eau



Quelques minutes plus tard, le cargo s'enfonce par l'arrière dans les profondeurs de l'océan Pacifique



Notre sous marin fait alors surface croisant à quelques metres les marins japonais souquant ferme pour séloigner du lieu du naufrage



Et c'est alors que l'incident se produit. Le matelot Huck Bubu, dont le frère avait péri lors de l'attaque de Pearl Harbour, et frustré de son peu d'action (affecté au poste de DCA, il n'a encore tiré aucun obus), s'empare soudainement du canon de 20mm, et vide un plein chargeur sur le canot des japonais l'envoyant par le fond.....



Nous transmettons donc nos derniers rapports au SubPac



...et continuons notre route vers notre zone de patrouille.
Mais alors que nous sommes encore à plusieurs jours de notre destination, nos réserves en torpille sont bien entamées

3 torpilles à l'arrière
6 torpilles à l'avant, et 1 en réserve
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