05/02/2009, 13h23
|
|
Franconaute
|
|
Date d'inscription: septembre 2005
Localisation: Asgard, monde des Ases
Messages: 4 627
|
|
Juillet / Août 1942. Coup de tonnerre en Italie et tempête sur Moscou
La guerre en Chine
Chinois nationalistes et communistes oublient pour un moment leurs différents et lancent des offensives sur l’ensemble du front : l’armée Japonaise a subi de nombreuses ponctions, guerre contre les occidentaux oblige, alors que le matériel chinois a été patiemment accumulé depuis de nombreux mois, grâce au soutien économique anglais, malheureusement impossible à présent.
Quatre axes seront choisis pour l’offensive. Le premier voit un grand assaut contre Kwei-Yang, première étape pour récupérer les ressources du sud, qui se solde par un sanglant désastre. Le deuxième voit les blindés nationalistes menés par Tchang Kai Tchek percer dans les plaines du centre avec au final la capture de la ville de Wuhan. Shanghai semble déjà à portée, mais des renforts nippons débarquent et Umezu contre-attaque : Wuhan est perdu et un nouvel assaut de Tchang échoue. Deux coups dans l’eau pour les nationalistes .
Les communistes, eux, lancent un assaut contre Si-An, qui échoue lamentablement, mais Mao réussit une percée à l’extrême-nord et s’empare d’une ressource : Pékin est en vue ! Des renforts nippons déboulent là aussi, mais ils sont immédiatement enfoncés : Tai-Yuan tombe sous les coups de butoir chinois.
Les pertes sont lourdes des deux côtés et quasi équivalentes, mais la Chine, désormais privée de l’aide extérieur, pourra t-elle combler les pertes ? ( 5 mois de production exclusivement chinoise ont été perdu ce tour)
Le front chinois fin août 1942 (la photo est ratée, je sais )
La guerre du pacifique
La déferlante Japonaise se poursuit, implacable et inexorable : Singapour, Manille, l’ensemble de la Birmanie et même Ceylan sont capturés par l’armée impériale. L’heure est grave, mais la riposte alliée se limite à envoyer ses sous-marins tenter de raider les convois nippons, sous le couvert de la tempête qui empêche les avions de voler : échec total, aucun convoi n’est repéré. Les alliés payent au prix fort leur décision de privilégier pour le moment le théâtre européen, où, il est vrai, de grandes actions d’éclat ont lieu…
|