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Envoyé par Maurice Morisson
Oui, c'est drôle quand même de voir à quoi peu tenir la survie d'un pays. 
EN y réfléchissant après coup, il aurait fallut profiter du "coup grec" pour que l'URSS envahisse la Pologne et entre en Prusse en pleine bataille de France...  |
ça n'aurait pas été très fair play, sauf à justifier ça par une sorte de pacte secret selon quoi le RU laissait tomber la Pologne pour mieux voir l'URSS entrer en Europe.. Le Cabinet digne d'un tel cynisme a interêt à brûler les archives !
Je tiens à préciser que je n'ai pas souhaité "prendre l'allemagne de court" par deux fronts en attaquant la Roumanie. L'Allemagne est dangereuse mais elle restait en surface un simple partenaire commerciale, avec lequel les relations avaient été refroidies par des années de barbouzeries il est vrai.
Mais j'avais annoncé très haut qu'un pas de plus italien dans les balkans vaudrait d'immédiates représailles soviétiques contre les intérêts fachistes dans les balkans. Je m'y suis tenu. lors de l'invasion de l'albanie. Ensuite les evenements se sont précipités et dans la confusion je n'ai même pas vu comment je m'étais retrouvé en guerre contre l'axe, vu que la Roumanie n'était pas officiellement dans leur camp lorsque j'ai attaqué (si quelqu'un peut m'éclairer ...)
quant au pacte RM, je l'ai refusé parce qu'il n'y a eu aucune négociations entre l'allemagne et moi, il est tombé comme un cheveu sur la soupe, on ne se partage pas comme ça un pays un beau matin, avec un autre dont les relations sont au mieux, tièdes et méfiantes, sans avoir discuté auparavant. Et puis ça correspondait à mes interêts, j'avais d'autres priorités qu'un nid d'emmerdes polonais en contact direct avec l'allemagne bien que je sois passé en interventionniste. Et ça me permettait de garder des cartes diplomatiques en main, l'oreille anglaise étant contrairement à celle historique, plutôt disponible.