Discussion: Artemis de Kosigan
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Vieux 05/01/2007, 23h22
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Franconaute
 
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Acte II. Où l’on découvre des kobolds décidemment étonnant



Notre légitime vengeance réalisée , nous repartons fièrement mais sommes rapidement stoppé : le pont de Saert Wurz est complètement démoli. Un seul moyen pour néanmoins traverser et atteindre Cologne la Belle : convaincre les Inquisiteurs de nous embarquer dans leur beau bateau. Malheureusement, ils ne veulent pas … Sauf si nous retrouvons leur officier Rodrigo Las Casas. Ce nom ne nous est pas inconnu et nous cuisinons l’officier inquisiteur, qui finit par tout avouer : il s’agit du neveu du Cardinal, le Grand Inquisiteur, le légat du Pape (un cousin proche de l’abbé Coelio affirme t-on ). Une grosse récompense attend celui qui le retrouvera… Voilà qui nous motive soudainement !


La région est passée au peigne fin et nous finissons pas trouver un souterrain bien dissimulé, qui conduit au repère des démons-kobolds : un farouche combat s’engage. Nous mettons au point notre nouvelle tactique, audacieuse ingénieuse : nous tapons par surprise puis, suivant la force de l’opposition, faisons un pas en arrière et nous dissimulons à nouveau dans les ombres complices ! Un simple roublard n’y arriverait pas, se dissimuler ainsi au nez et à la barbe de vos ennemis est un exploit que seul un maître des Ombres peut réaliser et nous avons bénéficié d’une formation nouvelle en ce domaine durant notre long trajet de France vers le SERG (Nous sommes roublard 7° niveau/maître des ombres 1° niveau ).


De cette façon, nous nous réfugions sans cesse dans les ombres complices pour resurgir à nouveau et frapper à nouveau sournoisement : nos coups mortels ont rapidement raison de nos ennemis. Une seule ombre au tableau (si j’ose dire ) : les chamans démons-kobolds ont visiblement des sens plus aiguisés que leurs congénères ou les robustes ogres-esclaves à leur services… Eux ne se laissent en effet jamais abuser par notre discrétion et, en nous attaquant directement, dévoilent alors aux autres notre position exacte . Nous affinons alors nos tactiques : d’abord séparer les chamans des autres ennemis puis les anéantir les uns après les autres, le chaman étant vulnérable car isolé, les autres étant vulnérables car nous ne cessons de les frapper sournoisement, nous repliant dans les ombres au moindre soucis .


Comme toujours, notre force au combat n’est rien comparée à un gros guerrier, mais notre habileté et notre ruse font plus que compenser et nous triomphons partout ! Nous tombons alors sur des démons-kobolds géants et c’est là que nous commençons à penser qu’il y a décidemment anguille sous roche : un mystérieux passage antique va peut-être nous fournir la clef de l’énigme… Gagné, nous découvrons Willie Stein, du Cénacle Lunaire, une des collègues de la douce Yannia : elle nous avoue avoir invoqué les démons-kobolds, qui sont originaires d’un autre plan d’existence ( nous nous disions bien que de simples kobolds n’auraient jamais pu nous causer tant de soucis ), dans le but naturellement de contrarier l’Inquisition.


Nous la prions courtoisement de libérer Las Casas, afin que nous puissions traverser le fleuve, mais la belle refuse d’obtempérer sans en discuter au préalable avec Yannia. Elle abandonne néanmoins les kobolds à leur sort et nous pouvons affronter leur redoutable chef : Grokar. Il est gros, méchant et se révèle vite être une réelle machine à tuer et un kobold encore plus étrange que tous ceux déjà rencontré : des dégâts redoutables, un bouclier de feu qui nous frappe à chaque contact et, pour ne rien arranger, une vision redoutable qui se joue de nos vaines tentatives pour nous réfugier dans les ombres .


Grokar






Après un duel qui est entré dans la légende et après avoir englouti plusieurs potions, nous décidons que, tout bien réfléchi, Grokar ne mérite pas de mourir, en tout cas pas encore : nous filons ventre à terre vers la surface, mais toujours avec la plus grande dignité naturellement . Le malotru nous traque, pourtant nous ne lui voulons aucun mal, pourquoi tant de haine ?



La morale de cette histoire est qu’il faut toujours se méfier des plus petits que soi



Nous stoppons ici car il n’est guère facile d’écrire tout en courrant (nous hurlons aussi, mais cela ne semble pas troubler notre odieux poursuivant)

C'est vrai que les combats ne sont pas faciles dans ce module
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