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Vieux 16/03/2011, 12h31
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Par défaut Waterloo, 17 juin : prélude à la chute du tyran

Petit AAR aprés la partie jouée entre GA Thrawn et moi-même sur le terrain de Waterloo, sur Napoleon Total War ... un vrai plaisir de jeu !
J'ai mis l'aar aussi bien ici que sur le QG, comme je sais que certains ne vont pas forcémment sur le QG


17 juin 1815

Au lendemain de la bataille de Ligny, le maréchal Madwer et une partie de l’armée prussienne rejoignent les positions hautes de Waterloo, tandis que le maréchal Blücher, défait mais encore en vie, joue au chat et à la souris avec Napoléon. Un corps d’armée de l’armée napoléonienne, commandé par le Maréchal Georges Archibald Thrawn fonce alors sur les positions prussiennes, déclenchant la méconnue (mais pourtant notable) 1ére bataille de Waterloo – que les historiens oublient trop souvent, obnubilés qu’ils sont par la grande bataille du 18 juin 1815…

Côté prussien, la faiblesse du dispositif prussien (peu de cavalerie, troupes peu entrainées) est contrebalancée par le nombre des troupes et son positionnement sur les hauteurs de Waterloo – les mêmes hauteurs que les troupes anglaises occuperont le lendemain. Deux corps de cuirassiers complétent le dispositif de l’infanterie et 8 canons de 12 livres sont placés au centre, plongeant sur la majeure partie du terrain. La stratégie prussienne est simple : tenir les collines, laisser venir les troupes françaises et s’emparer rapidement de positions facilement défendables comme la ferme d’Hougoumont (sur le flanc droit de notre dispositif), la Haye Sainte (au centre) et Papelotte (flanc droit) Les fusillers allemands et les grenadiers hongrois auront alors toute facilité pour massacrer la canaille française.





Les Français, parlons en justement … une armée très offensive, puisque Ney a fait détacher 5 corps de cavalerie (là ou nous n’en avons que 2 à leur opposer) dont les féroces piquiers polonais. L’infanterie est moins nombreuse, en revanche, mais on y compte nombre de grognards. L’artillerie y ait vraisemblablement aussi puissante que la notre mais bénéficiera logiquement d’une grande faiblesse, c’est qu’elle devra parcourir un long chemin avant d’être efficace contre nos positions.





A 8h15, quand la rosée disparaît lentement des herbes de Waterloo sous les premiers assauts du soleil, les troupes françaises se mettent en branle. Nos artilleurs commencent alors le matraquage implacable des lignes en approche.


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