Discussion: Artemis de Kosigan
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Vieux 03/03/2007, 17h51
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Franconaute
 
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Episode III. Retour à Kosigan



Acte 1. Il y a quelque chose de pourri à Kosigan la belle


Le Prince des Voleurs fait son retour (discret ) à Kosigan la Belle et se ménage rapidement un rendez-vous secret avec Slynt Carayan, chef de la garde grise et vieux mentor du Prince des Voleurs, qui nous confie une mission d’importance : libérer Alexandra de Velan, envoyée espionner les louches négociations entre Francie et Burgondie ( Kosigan étant entre les deux et vassale du Duc de Burgondie) et capturée malheureusement. Aaah, la belle Alexandra, notre première expérience sexuelle .


L’ignoble Comte de Kosigan, Borogar, est mourant, une maladie inconnue et un sérieux problème de succession se pose… Là aussi, il nous faut mener enquête. Le scélérat, de toute façon, ne manquera visiblement à personne, c’est une brute sans pitié… Pire, c’est lui qui nous a poussé à l’exil, avec force coups de pieds au cul . Et le bâtard de Kosigan n’a pas oublié ce traitement indigne… Un petit tour à la maison de notre douce enfance, où nous retrouvons notre vieille nourrice, que nous couvrons d’or et qui nous apprend diverses choses… Le brutal Borogar a aussi un bâtard : Mordred le demi-orque ! Tiens, tiens, une vieille connaissance que nous avons eu le loisir de croiser à Cologne…


Nous sympathisons ensuite avec la belle Erine, qui se révèle être une mine d’information et nous implore de retrouver les assassins de son mari : il ne faut pas chercher loin, les responsables sont la Confrérie Sombre, la guilde des tueurs locale. Nous verrons cela plus tard. En attendant, nous acceptons d’aider Lodar le Mauve, un conjurateur maladroit au service de Vlad, un des fils de Borogar, aussi louche que brutal et qui enlèverait des jeunes femmes, qu’on ne retrouve plus jamais : le conjurateur sot a notamment conjuré un dragon blanc dans sa cave . Heureusement, nous sommes là pour y mettre bon ordre.







Nous nous payons nous même en pillant le laboratoire du mage, nous appropriant notamment de superbes bottes bien dissimulées derrière un cadre piégé. Ah, encore un magicien dans le pétrin : Jerical Mac Gulphy, métamorphosé en cerf blanc par un collègue jaloux et maléfique, Porossi, que nous affrontons peu après suite à son refus de nous restituer la baguette de métamorphose de Jerical.







Fier comme un paon, nous restituons sa baguette à Jerical qui reprend sa forme originale : un superbe démon. « Merci bien, messire Artemis de Kosigan, quel grand service vous m’avez rendu là ! » Mais euh comment vous me connaissez ? Et euh vous ressemblez fort à un démon, non ? » »Ah ah ah, adieu messire Artemis, la mort rôde à Kosigan, souvenez-vous en ». Pouf, il disparaît. Et meeeeerde, nous avons libéré un Démon . La population de la ville, cependant, ne nous en tient pas rigueur : quand des bandits nous attaquent pour la seçonde fois (des membres de la Confrérie Sombre ?), c’est la ruée pour venir nous défendre : paysans, gardes, nobles, prostituées, tous se précipitent pour nous venir en aide .







Notre esprit subtil devine que ces rustres se cachent dans les égouts, mais, avant d’y aller, un petit tour au monastère de Sainte Foy. Un esprit invulnérable bloque l’accès au caveau, où se trouve les saintes reliques de Sainte Foy, qui protège les Kosigan. « Hein, hein, nul n’est invincible pour le Prince des Voleurs, je m’occupe de tout »….


« Alors, cher Artemis ? » »Euh, eh bien, comment dire… Invulnérable, c’est bien le mot, moui… Mais nous allons y retourner dès que vous nous aurez soigné… Voilàààà, merci ». Dissimulés dans les ombres, nous nous rapprochons, observons et revenons avec les reliques sans nous faire remarquer de l’esprit invulnérable. Notre esprit subtil, avec l’aide du Père Supérieur Richard de Grey, nous permet rapidement de reconstituer le crime : l’esprit n’est autre que Sainte Foy, revenue du monde des morts pour hurler sa rage devant le vol des reliques (ben oui, ce sont des fausses que nous avons récupéré ). Une rapide enquête nous amène à traquer Frère Frédéric qui est battu et finit par craquer : c’est Bertrand, un colporteur qui est la cause de tout. Lui n’a fait que céder au vice ( consomer de l’opium, dont il est devenu complètement dépendant, et violer les nonnes sous prétexte de les absoudre de leurs pêchés ), n’est ce pas ? En tout cas, il n’avait pas encore pu lui donner les reliques, que nous restituons au monastère. Bertrand, lui, devra attendre un peu avant de recevoir son châtiment (il est dans une autre ville).
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