Désolé pour le lancement du jour un peu...fade
Bon!
Fin du vote ce soir à minuit histoire de laisser à Le-Patriote de taper
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Extrait du Nice-Matin du Jeudi 15 Juin 2006.
Accalmie.
Depuis 2 jours, les médias ne parlent que de football. Normal, en pleine Coupe du Monde. Pourtant, cela n'a pas toujours été le cas.
Bagarres, blessés, morts et destructions sont les mots qui ont longtemps dominé dans la presse internationale.
Incidents à Munich, Frankfort, Leipzig, Bonn, Berlin et Dresde. Au total, 74 morts et plus de 200 blessés dans toute l'Allemagne. Les victimes sont de toutes nationalités. Leur crime ? Etre supporter.
Angleterre contre France ou Allemagne contre les Pays-Bas ne sont pas des affiches de rêves de demi-finale, mais des catégories de supporters se detestant et n'hésitant pas à s'affronter aux abords des stades...
Manifestement, plus aucune de ces actions ne se sont déroulés depuis 2 jours. Deux jours de fête et de ballon rond.
Escarmouches entre amis.
Nous assistons à un tout autre phénomène depuis Australie-Japon.
Les hooligans ont prit connaissance de ce qui se passe depuis quelques semaines au sein même de l'Association des Supporters Non-Violents.
De ce fait, plus aucune actions de masses aux abords de stades, plus de destructions de tribunes, de bus, d'hotel, de bars aux couleurs ennemies.
C'est ainsi qu'en plein milieu du match Australie-Japon (phénomène repris à chaques matchs depuis) des hooligans ont troqué leurs cagoules pour des perruques jaunes et vertes afin de se dissimuler dans la foule pour agir de facon isolés et discrete sur les supporters adverses!
Profitant du fair-play prôné par l'organisation allemande (NDLR à part les 2 virages, les supporters des 2 camps sont mélangés dans les autres zones des stades), les hooligans infiltrés ne manquent pas de trouver leur "proie" et peuvent agir en toute discretion.
Ces individus, ayant récupéré les places de stades grace au marché noir, sont difficilement reconnaissables malgré la surveillance video puisque parfaitement dissimulé parmis les supporters ordinaires.
Les autorités locales refusent d'intervenir en plein match et préfèrent étouffer les incidents. Quant à l'ASNV, elle nie toute responsabilité quand certaines membres du Bundestag la qualifient de "pionnière" dans ce nouveau phénomène.