Enfin j'ai ouï dire que l'echec n'est pas total, pusiqu'une pierre lancée par l'un des 2 frondeurs aurait - j'utilise le conditionnel, tant l'apreté du combat et la poussiére soulevée dans la lutte nous ont masqué le tableau - l'un des frondeurs aurait donc ébréché la fenêtre de la caserne atrubéenne.
Tout n'est pas perdu, l'honneur est sauf !