06/01/2009, 21h22
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Franconaute
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Date d'inscription: septembre 2005
Localisation: Asgard, monde des Ases
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Novembre / décembre 1940. Et on en remet une couche
Un hiver particulièrement clément s’abat sur l’Europe : espérons que le prochain sera mille fois plus rude . Pourtant, curieusement, l’axe semble renoncer à toute offensive : le Japon envoi bien quelques renforts en Chine, mais sans reprendre l’offensive. La Wehrmacht et la Luftwaffe partent de plus en plus pour le front de l’est, seul un concentrement de troupes dangereux s’opère à Athènes . Prévoyant un mauvais coup, l’Angleterre relance l’offensive en méditerranée et parvient à défaire la Luftwaffe : les lignes de ravitaillement avec l’Afrique sont complètement coupées. Malheureusement, la puissante garnison de Tripoli résiste obstinément aux bombardements anglais et Wavell préfère annuler son assaut.
Puis vient l’injure suprême : la Kriegsmarine quitte à nouveau sa base Brest, échappe à la vigilance de la Royal Navy et surgit en Atlantique : deux croiseurs anglais sont coulés, les convois venant d’Amérique dispersés . Faute de disposer de réserves suffisantes pour affronter la Kriegsmarine, Londres doit une nouvelle fois renoncer à ces précieux convois et donc à un tiers de sa production…
Les Etats-Unis réagissent vigoureusement : ils gèlent les avoirs nippons et décident l’occupation militaire du Groenland et de l’Islande.
Conclusions du tour
L’offensive en Chine est bien stoppée et, en méditerranée, l’Italie, faute de recevoir une aide économique suffisante de l’Allemagne, représente de moins en moins une menace. Et avec la Luftwaffe qui réduit sa présence au minimum, tout semble joué, qui l’aurait cru après le départ en fanfare de Rome. La guerre va se jouer en URSS et dans le pacifique. Nouveau désastre en Atlantique, mais cela ne se reproduire plus .
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