[athax]

CHAPITRE X : Progéniture et révoltes (janvier 1081 - août 1084)

La première moitié de l'année 1081 se déroula tranquillement, sans histoire, la révolte continuait de gronder à Palerme et à Messine, plombant d'autant le budget du Comté.

Heureusement, le déficit avait été comblé et en Juillet 1081, les finances du comté me permettait de prendre une décision irréversible etb politiquement conséquente : hériger mon fief en Duché !

Cette décision fut prise après réflexion, en effet, les terres de Sicile que nous venions d'anexer devrait permettre à Roger Borsa de Hauteville, Duc de Pouille-Calabre et Prince de Campanie de se proclamer Roi de Naples...

Nul doute qu'une fois Roi, il me nomme Duc de Sicile... Encore que...
Mes conseillers et espions me firent savoir qu'au contraire, Roger Borsa envisageait de nommer son propre frère Duc de Sicile, après lui avoir donné le comté d'Agrigento.

Pour cette raison, je décidais de sacrifier le Royaume de Naples à mes propres ambitions en me proclamant Duc , donc l'égal de mon neveu, donc Prince souverain et indépendant

Un peu plus, tôt, l'âge aidant, j'avais repousser les avances d'une acorte donzelle, acquierant lors de l'acte le trait "chaste". Mon racket organisé sur les mécontents de Palerme et de Messine m'avait fait gagner la caractéristique "avare".



Les revenus de mon Duché restait très modeste (Les révoltes, toujours ces révolets...). Ces révoltes qui avaient également pillé Palerme et Messine, réduisant les régiments de ces provinces à .... presque rien



En novembre 1081 parvint une nouvelle qui assombrit mon humeur ; le comté de Trapani subissait à son tour des troubles religieux ; je décidais de les réprimer et la révolte éclata ... sans que la province se convertisse au catholicisme.

Ma troisième et dernière fille de mon premier mariage. Bof...


De 1081 à 1083, pour le bien du Duché, j'entreprends la construction de cours de justice dans les provinces de Palerme et de Tapani. Une poste royale fut également bâtie en Trapani.

A propos de mes enfants, mon dernier fils, Norman de Hauteville, est envoyé dans un monastère afin d'y effectuer son éducation. Il est de coutume de procéder ainsi, il permettra sans doute à mon héritier de bénéficier de l'aide d'un évèque fidèle qui lui apportera piété, renommée et conseil.

Je marie également ma fille, Emma, (la plus moche, et la plus bête) à un pieux (et laid) chevalier Normand, vassal de Roger Borsa. Ils était amoureux l'un de l'autre et comme elle ne pouvait me servir à rien, autant faire son bonheur.

Adelise est marié à l'héritier du Comte de Surrey (riche province d'Angleterre) : elle sera comtesse et son mari est renommé pour sa bravoure, sa droiture et il est un proche du Roi d'Angleterre.

En 1084, mon fils et héritier, Eudes de Hauteville termine son éducation ; je le marie immédiatement à une des plus intelligente femme de la chrétienté. Eudes est un franc, il tient ça de sa mère ; je le marie à une Occitane.
(Il est pas beau mon fils , elle est un peu moche ma belle-fille )


Deux bonnes surprises me parviennent alors, à propos de ma belle fille :


En août 1084, usant de ma notoriété, je décide de revendiquer le titre de comte de Agrigento qui selon moi, me revient en tant que Duc de Sicile.