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Présentation de l'éditeur
En 2070, la Terre vit dans la prospérité et le bonheur grâce à la Pompe à Electrons, qui fournit une énergie illimitée et gratuite. Une découverte extraordinaire, à moins que...
A moins que cette invention miraculeuse ne constitue à plus ou moins longue échéance une menace imparable pour notre Univers ; un piège tendu par une civilisation parallèle pour annihiler notre réalité.
Seules quelques personnes ont pressenti la terrible vérité : un jeune physicien marginal, une Lunarite intuitionniste, un extraterrestre rebelle vivant sur une planète qui se meurt.
Mais qui les écoutera ? Qui les croira ? Contre la stupidité, les Dieux eux-mêmes luttent en vain.
Avec ce roman ambitieux et captivant qui marquait son retour à la science-fiction, Isaac Asimov a obtenu le prix Nebula 1972 et les prix Hugo et Locus 1973.
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Etonnant que ce livre soit l'un des plus récompensés parmi les oeuvres d'Asimov, car je ne m'étais jamais autant ennuyé en lisant cet auteur.
Au-delà d'une réflexion intéressante sur le progrès et la stupidité des hommes qui les pousse à massacrer leur environnement pour leur confort à court terme, le livre est plein de longueurs inutiles et franchement, intenable quand l'on rentre dans les dialogues entre physiciens, très récurrents dans le livre et ridiculement "réalistes". On a envie de sauter des pages tellement c'est compliqué.... ce qui n'était pas le cas de l'ensemble des oeuvres d'Asimov que j'ai eu l'occasion de lire auparavant. Et dire que ces passages contiennent, j'en ai bien l'impression, l'une des seules saveurs du livre pour qui sait les apprécier...
Bref, je retiendrai le raisonnement sur l'environnement, etc, autrement dit le fond; mais, pour la forme, qu'est-ce qu'on s'emmerde...