1520– 1530. Les Habsbourgs châtiés pour leurs crimes
L’Espagne déclare la guerre à la France en 1521, pour des motifs coloniaux particulièrement obscurs et Paris s’incline : son conquistador repart dans une autre direction, qui sied plus à Madrid, mais cela n’arrange en rien l’humeur d’une France toujours légitimement ulcérée par l’ignominie habsbourg de 1514 : l’heure de la vengeance a sonné

, elle se réalisera en trois actes.
Acte 1. L’Autriche paye
Le cœur de la machination diabolique étant à Vienne

, il était normal de faire payer l’Autriche en premier. L’alliance des justes déclare la guerre en 1524, le Ducaillon capitule immédiatement et implore la clémence : Paris reprend le Hainaut, mais note aussi que le scélérat refuse de reconnaître son crime odieux et ne cède que devant la force irrésistible que ses malveillances ont dressé conte lui… Il faudra donc revenir, il n’y a pas eu de repentir

.
Acte 2. L'Espagne paye
Les armées franco-ottomanes repartent sans attendre plein sud et, en 1528, la guerre est déclarée, à l’Espagne cette fois : l’opération fut mal préparée

, les légitimes revendications françaises tardèrent à se faire connaître et, surprise, l’Angleterre entra dans la danse.
Les Pyrénées sont rapidement franchies, l’avance est irrésistible mais les flottes combinées franco-ottomanes subissent un désastre retentissant dans le golfe de Lyon

: l’amiral Barberousse était pourtant 100 fois plus valeureux que l’ennemi et le retard technologique n’explique pas tout. Peut-être est-ce la conséquence d’une sortie de la flotte à partir d’un port sous blocus naval espagnol

? Cette inexplicable et lourde défaite ne change cependant rien à notre détermination et Madrid préfère céder de bon cœur Rosello à la France.
Acte 3. On solde les comptes avec l’Autriche
Les armées franco-ottomanes, une fois de plus victorieuse, remontent plein nord et, en 1530, se lancent à nouveau contre l’Autriche perfide. Cette fois, le Ducaillon, bourré de remords

, reconnaît enfin l’ampleur de ses crimes ignobles et demande humblement l’absolution. Le prix de sa contrition fut juste et modéré : Artois et Franche-Comté à la France.
La justice a enfin été rendue, les Habsbourgs ont faix pénitence : qu’ils prennent garde à ne pas répéter leurs crimes car les justiciers Franco-Ottomans veillent sur le monde, lui garantissant ordre, paix et stabilité. Loué soit ces deux justes, ces deux purs parmi les purs

!
PS. Bon sang de bon sang, 3 dow contre des joueurs en 10 ans, on a battu tous les records là