LE PORTUGAL EN 1560
Le Portugal continue son ouvre colonisatrice en Amérique, en développent de très nombreuses colonies au Brésil, nous permettant de devenir le première nation productrice de tabac du monde.
Mais c'est surtout en Asie, que le portugal prend une place tout à fait considérable :
D'une part par la suprématie commerciale que nous montrons en possédant de nombreux marchands dans dans tout les caravensérails de cette riche région.
D'autre part, la colonisation de terres encore inconnues il y'a quelques années encore : des îles immenses dans une mer située au Sud du royaume de Chine. Royaume de Chine, qui dans sa bienveillance et sa sagesse, a bien voulu nous octroyer une terre au sud de Guangdong, pour le commerce.
Cette suprématie portugaise en Asie a été prouvée de la plus brave et fougueuse des manières, par la prise du centre de commerce d'une île appelée Japon. Cette île qui a su si souvent repoussé les attaques mongoles, d'après les écrits des historiens chinois, n'a pu rien faire face à nos troupes, et surtout face à notre flotte !
Ainsi, le génial Memdoza, le plus brillant de nos généraux colonisateur, est il parti avec 15 000 hommes de Lisbonne, et plus de 30 navires de lignes lourdement armés en guerre, vers les côtes du Japon.
Tout d'abord, l'armada fit escale au Cape Vert, puis à Fernando-Po, puis dans nos colonies du Cap, où ils firent le plein de vins et de victuailles, qui sont en abondance dans cette région. Puis, l'expédition arriva à Zanzibar, puis à Goa, puis à Jakarta, puis à Macao. Le portugal est décidemment l'empire le plus étendu de toute l'histoire de humanité...
Arrivé en vus des côtes du Japon, par le Sud, des navires furent envoyés en reconnaissance, puis revienrent rapidement porteurs de mauvaises nouvelles : une armée de plus de 50 000 hommes campait autour de notre objectif !
Mais le général ne fut pas abattus, alors que n'importe quel homme aurait pris la fuite piteusement, lui ne se laissa pas démonter, et décida de débarquer malgré tout, mais plus au sud encore, et de prendre directement la capitale du royaume. Les navires arrivèrent dans la baie de Fukuandomi et commencèrent à pilonner grâce à leurs lourds canons les fortifications de la ville. Après avoir ouvert facilement une brèche dans ces murs qui ne sont pas conçus pour résister aux boulets, les navires de débarquements furent mit à l'eau, et 2 000 hommes d'élite lourdement armée fondirent sur le palais ! La résistance fut des plus brève : l'ennemi n'avait que des flèches et des sabres à nous opposer, alors que nos arquebusiers, et surtout notre organisation supérieure nous permiment de prendre la poterne sud ! Au prix de seulement 10 des notres, notre armée put alors pénétrer en masse dans le palai où nous attendait les lambeaux de la garnison ennemi. celle-ci était d'ailleurs complétement désorganisée : c'était bien la première fois qu'ils voyaient des hommes blancs, nous prenant probablement pour des démons étrangers où des demi-dieux, ils prirent la fuite vers le nord, certain se plantèrent même leur sabre dans le ventre, dans un geste desespéré. Dieu ne leur pardonnera jamais ce geste !
Ainsi, en seulement 3 heures de combat, la capitale du Japon était notre, mais il n'y avait pas trace de quelques roi ou gouverneur, ceux ci avait fuits dès la vu de nos navires, et rejoint la puissante armée de 50 000 hommes au nord ! Nous n'étions donc toujours pas rassuré : notre objectifs, le centre de commerce n'avait toujours pas été pris, mais nous avions quand même en prenant la capitale un avantage décisif dans la guerre qui allait s'ensuivre.
Quelle stratégie devait on adopter maintenant ? La décison fut prise rapidement, Memdoza décida de laisser 5000 hommes en garnison dans la ville nouvellement conquise, pendant ce temps, les 10 000 hommes qui restaient partiraient via notre flotte prendre l'île de Shikoku. En moins de 2 mois, l'île fut entre nos mains, elle était peu peuplée, et cela nous permit de nous en servir comme base.
Néanamoins, nous devions toujours prendre la province où se situait le centre de commerce. Mais comment faire avec une armée de 50 000 hommes qui la gardait ?
C'est alors que des renseignements surs, nous lertèrent : l'armée japonaise avait fait route vers la capitale. L'occasion était inespéreé, pendant que la piétaille japonaise iraient pourrir sous les remparts bien protégés par nos troupes de la capitale, notre armée prendrait le centre de commerce. Alors nous n'aurions plus qu'à négocier avec les japonais qui s'en nul doute céderaient alors à toute nos revendicaitons.
Ce plan était sur le point de réussir parfaitement : nous débarquâmes à Kiushu, vide de troupes ennemis, et mîmes le siège à la ville.
pendant ce temps, nos 5000 hommes de garnison tenaient facilement leur position, les japonais avaient tentés maints assauts, mais à chaque fois nos canons et nos arquebusiers, placés en hauteur, transformaient tout leur assauts en piteuse défaite.
Mais soudain, l'armée japonaise décida de lever le siège, et se mit en marche vers nous , alors que nous n'étions pas encore parvenue à prendre la cité !
Nous ne fûmes prévenus que 5 jours avant l'arrivé des troupes japonaises. il fut décider de combattre : Dieu était à nos côtés, la défaite ne pouvaient exister. Evitant les erreurs passés, notamment lors de la bataille de Lisbonne face aux Suédois, où les troupes étaient trop désorganisées, trop empréssées, Memdoza prépara savamment sa défense.
5 jours plus tard, l'armés nippone fut en vue : 35 000 hommes, 15 000 cavaliers, couvraient littéralement l'horizon. Celui ci n'était plus qu'un océan de lances et de drapeaux richement colorés. L'armée nous attaque de front : le sol se mit à trembler comme jamais, les troupes japonaises en furie criaient de toute part, leurs amis de la ville assiégait criaient aussi, et se préparaient manifestement à faire uns sortie.
Mais l'organisation des troupes portugaises brisa net l'élan ennemi : 2 000 arquebusiers de première ligne tirèrent tous en même temps : en même temps qu'un bruit assourdissant, plusieurs centaines de japonais tombèrent au sol. Puis la deuxième ligne, puis encore la troisième... Après, alors que l'ennemis ayent perdu tout élan, était en train de se ressaisir, ce fut les piquiers qui se mirent formation devant les tireurs : tel les phalanges d'Alexandre, elles engloutirent littéralement les japonais dans un mare de sang et de tripes. La btaille était terrible, chaque japonais tué était remplacé par deux autres !!
Pendant ce temps, à l'Est, un petit groupe de 1200 cavaliers Portugais, arrivé en renfort de la métropole il y'a à peine 3 jours !, avaient pris position dans les hauteurs boisés.
Au signal, ils se ruèrent sur le flanc arrière droit de l'ennemi, les transpèrcèrent complétement de part en part, comme un lame géante, et réduisit en bouillier tout l'arrière de l'armée japonaise.
Ainsi, Les Japonais furent vaincus, écrasés, et la ville se rendit en voyant ainsi la démonstration de notre supériorité invincible.
Les japonais signèrent la paix en nous cédant le CoT De Kiushu, et cela alors que seulement 500 des notres étaient morts.
Leur retour à Lisbonne 11 mois plus tard fut une véritable eplosion, digne des plus grands triomphes romains. Nul doute que cet épopée deviendrait légendaire, et que le portugal rentreraient dans l'Histoire à tout jamais.
Diplomatie
à venir
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