En fait, c'est curieux qu'on en soit toujorus à pinailler sur les chiffres.
Même si je pense qu'il est nécessaire de relativiser comme le fait Gorgone : les chiffres officiels reconnus par la majorité des historiens devraient suffir.
Ce qui devrait être à discuter, n'est-ce pas plutôt les méthodes, les cas, les stratégies, l'impossibilité d'éviter les accidents, comment diminuer leur nombre, est-ce que tout a été entrepris pour ça, les résultats de l'occupation d'un pays par une armée alliée/ennemie, etc etc?
Parce que les chiffres, c'est une discussion sans fin, qui permet d'éluder le fond du problème.

(mais en fait, peut-être est-ce parce qu'on est tous d'accord sur le fond? )