Schnick : c'est pas trop tôt les Roumains nous lâchent.
Von Aasen : c'est des courageux eux tiens ...
Schnick : d'un autre côté nous aussi on fuit aussi hin
von Aasen : bah, au moins on garde nos cores.
Schnick : voilà on a redéployé !
Von Aasen : c'est quoi ces Russes à Bratislava ?????
Schnick : les types qui vont nous écraser si on rameute pas encore des troupes pour nous protéger.
Von Aasen : où est-ce qu'on peut encore gratter de la piétiaille ?
Schnick : faut abandonner les Alpes et Rijeka pour tout foutre sur le territoire industrialisé de janvier 1936.
von Aasen : pratiiiiiiiiiique. On abandonne l'Italie et ses PP alors ?
Schnick : ouais, j'ai même l'impression qu'on ferait bien d'aller en Crète d'ailleurs.
Von Aasen : on verra ca plus tard.
Septembre 1944
Schnick : CHEEEEF j'ai une idée !!!!!
von Aasen : elle a intérêt à être importante pour justifier l'explosion de mes tympans. Les Saoudiens nous ont envoyé les plans d'une bombe atomique ?
Schnick : pas tout à fait, en fait j'avais pensé heu.
Von Aasen : quoi ?
Schnick : si on libérait les territoires qu'on abandonne de toutes facons, on perdrait un ptit peu en bélligérance non ? On pourrait ptête même demander la paix et tout et tout. En plus les Russkofs passeraient pour de gros méchants à tous les annexer comme ca !!! Et pis finalement on va foutre un gros bordel chez lesYougos, y vont se bouffer le nez pendant au moins 60 ans encore si on file l'indépendance à tout le monde nan ?
Von Aasen : c'est pas bête tout ca, libérez-moi tout ces fidèles sujets de ma Majesté. Je veux des Bosniaques, des Monténégrins, des Albanais, et des Grecs !
Schnick : ca marche !