Une remarque quant à l'état d'esprit du jeu : je comprends qu'un joueur prenne mal l'hypothèse de se voir attaqué de tous côtés par tout le monde. C'est la même chose quand, aux Colons de Catane, chaque joueur met systématiquement le Bandit sur votre précieuse production de bois et vous pique des cartes... Ben oui, mais ça fait partie du jeu, il y a des moments où on est ralenti, d'autres où on peut se développer. Parfois, les plans marchent, parfois ils sont contrariés... That's life...
Quant aux faits du jeu, je précise bien une chose : dans les revendications de chacun en cas de "Grande Colaition", j'avais demandé beaucoup (annexer des mineurs, prendre trois provinces à l'Autriche,...) pour voir jusqu'où les plénipotentiaires étaient prêts à aller, mais sans imaginer me lancer dans une guerre pour obtenir le fruit de ses revendications (qui m'obligeraient à accepter un état de causu belli permanent de la part de l'Autriche, la menace d'une guerre d'honneur, et une course à la technologie face à un voisin mieux doté que moi). Donc, dans le chiffre de provinces visées, déduction faite des "prétentions" polonaises, est inférieur à ce que Danton scandalisé imaginait.
Pour l'avenir de la partie... Si Danton part, c'est regrettable ; si sa menace de départ est une manouvre d'intimidation, c'est embêtant... Ca suppose alors qu'il existe une règle tacite qui interdit à un pays de voir sa puissance menacée... On ne va pas très loin, alors...
J'ai une proposition : pourquoi ne pas augmenter l'initiative de l'IA, et abandonner les règles de cb et de badboy ? Ca augmenterait les possibilités de guerres, ainsi que les conséquences fâcheuses du bourrinage.
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"Violer la grammaire rend le langage bâtard." (Ar Sparfell)
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