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Envoyé par Kevinus Pontifex
je suis pas d'accord, le 8 etait tres bien, je le vois comme le débouché "action" des différents episodes, les masques tombent (mais sur quoi ? la vérité ou sur d'autres masques)
Il ne faut pas oublier egalement qu'il y a un gros absent qui tarde a se montrer : le fameux Stannis Barathéon, prétendant légitime aux yeux de Ned.
Littlefinger est présent dans toutes les scenes ou on voit le conseil royal. Justement, apres etre sorti de l'ombre, il se range tout sage en bon serviteur de la "couronne".
Cette construction ou l'on saute d'un personnage à l'autre est fidèle au bouquin : preuve en est que les titres des chapitres dans le livre sont le noms de personnages que l'on suit. (Eddard, Bran, Arya, Tyrion etc ...)
QUant a The Wire, c'est quand meme autre chose, plus intellectuel. Je me sens plus spectateur dans Game of Throne, alors que je me sens plus impliqué dans l'histoire dans The Wire!
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Moi je vois en tant que spectateur qui n'a jamais lu ou entamé le bouquin (donc qu'on tarde ou pas à voir ce Stannis me fait une belle jambe puisqu'en 8 épisode, il y a été fait allusion pas plus de 15 secondes - un spectateur lambda s'en foutra donc complétement, là ou on en est
)
Si dans un bouquin la construction des chapitres en fonction des personnages est tout à fait plausible, dans la série ça induit (à mes yeux) énormément de temps morts et de sautes assez pénibles à la longue puisque une série avec 1 épisode par semaine n'engendre pas du tout la même sensation que le bouquin (alors certes c'est peut être trés fidéle, mais n'empêche que pris séparément, certains épisodes sont trés, trés plats...) - du coup j'ai plus l'impression de survoler cette histoire qu'autre chose.
Bref il y a certes de bonnes choses, mais avec un minimum de recul (une journée
) y'a quand même d'énormes faiblesses. J'ai l'impression de m'être un peu laissé emporter par la ferveur propre à Franconaute (et de la communauté plongée dans les livres, les jeux et j'en passe) et de retomber petit à petit ...
Ce qui me pousse d'autant plus à lire le bouquin, c'est là ou je voulais (toujours) en venir