Juillet / Août 1944. Déchainement Allié en France
Le front de l’ouest
D’importants renforts convergent vers la France, l’OKW s’attend à un été particulièrement chaud en France et il ne se trompe pas : les Alliés, suivant une technique désormais bien rôdée, lancent d’innombrables bombardements aériens, principalement Britanniques, suivis de vagues entières de blindés Américaines (offensive chit Mac Arthur). Dénué d’imagination, le Haut Commandement Allié répète quasi sa stratégie du mois de juin et balance ses parachutistes directement sur le Quartier Général Badoglio cette fois. Le fougueux Italien est massacré, mais pas un parachutiste n’en réchappe cette fois. Ordre est donné aux officiers de Haut rang de se stationner désormais en permanence avec une puissante unité blindée, la Luftwaffe débordée ne pouvant plus pour le moment assurer leur pleine et entière protection.
Les unités blindées en question rencontrent malheureusement elles aussi quelques soucis : les troupes Américaines percent au sud de la Rochelle et au nord de la Loire, elles atteignent de fait la position occupée un instant plus tôt par le regretté général Badoglio. Berlin se réjouit : ainsi, les Yankees ont pu contempler, muets de peur, les innombrables cadavres des parachutistes Alliés, massacrés jusqu’au dernier. Les pleutres paniqués ne devraient pas tarder à supplier leurs officiers de s’en retourner rapidement de l’autre côté de l’Atlantique.
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Afin d’ôter aux ploutocrates leurs derniers espoirs, des troupes quittent précipitamment la péninsule Ibérique pour renforcer le front Français. Sage décision, les sauvages repartent à l’assaut et, après avoir bombardé sauvagement la 2° Panzer SS, désorganisée, s’élancent entre Seine et Loire (offensive chit Eisenhower). Les blindés percent sur au sud de la Rochelle et, surtout, entre Seine et Loire : les blindés Américains atteignent la Seine, Paris, la Ville Lumière, est désormais à la portée des canons de ces brutes sauvages, des dizaines de milliers de civils Français ont été écrasés sans pitié par les véhicules blindés des envahisseurs. L’infanterie Canadienne crée en outre la surprise en débarquant de l’autre côté de la Seine : elle balaye les miliciens Italiens et s’empare de Rouen !
Pour des raisons humanitaires et afin de préserver les populations civiles Françaises, le général Model, approuvé par l’OKW, décide de déplacer le front défensif de l’Axe derrière la Seine, des renforts arrivent par trains entiers d’URSS afin d’établir ce nouveau front, le général Graziani, lui, se replie derrière la Garonne, mais les ploutocrates corrompus ne semblent jamais avoir assez de sang et relancent l’offensive (offensive chit sur Bradley… Oui, mais bon, il y en a encore beaucoup des comme cela ?). Les blindés Américains franchissent la Garonne et foncent à l’ouest : les faubourgs de Vichy et Paris sont largement atteints, la 2° Panzer SS, l’élite de la Wehrmacht à l’ouest, disparaît soudainement du front, ses hommes ont probablement décidés de venir prioritairement en aide aux populations françaises victimes de la sauvagerie Anglo-Saxonne.
Les U-Boats de Dönitz, chevaliers blancs de l’Europe en guerre, décident de venger ces martyrs et se lancent à l’assaut des lignes de communication alliée au large de la France : 300.000 tonnes de convois et le Tourville sont envoyés par le fond, mais le prix à payer est exorbitant, 125 sous-marins disparaissent dans les flots de l’Atlantique, la moitié de la force sous-marine du Reich ! Il est vrai que les alliés ont réduits désormais leurs convois et choisis de concentrer l’essentiel de ceux-ci en Atlantique : la production anglaise ne peut plus tourner à plein régime, aveux éclatant de l’impuissance des Anglo-Saxons à remporter la bataille de l’Atlantique, mais les escortes des convois maintenus ont été quasi doublées.
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