D'un certain point de vue, il est mal réglé mais je crois que c'est surtout à cause des limitations du jeu, dans l'ensemble je crois que la forte efficacité de cette option est plutôt historique, même si je le répète à cause des limitations du jeu les résultats ne sont pas toujours cohérents.
Le problème vient surtout de sa grande puissance, qui oblige à surveiller constamment l'aviation sous peine de voir le moindre mouvement se transformer en désastreuse liposuccion divisionnaire et qui peut conduire à une sorte de surenchère dans les moyens employés (pour arrêter 60 groupes de BEP, il va falloir autant d'intercepteurs eux même couverts par moitié moins de chasseurs...) très préjudiciable à "l'équilibre" du jeu (Quoi quoi quoi? Quel nul cet italien il n'a que 6 groupes de bombardiers en piqués et 10 intercepteurs!) et à l'intérêt stratégique d'une partie (après tout, avec 60 groupes de bombardiers en piqués et la supériorité aérienne on détruit bien plus surement les armées adverses qu'avec n'importe quelle opération d'encerclement complexe, les troupes au sol ne servent plus qu'à occuper le terrain et à s'engouffrer des les brèches ouvertes par l'aviation).
A mon avis (joueur solo d'assez grande expérience) il ne faut pas interdire l'attaque au sol, car après tout c'est réduire considérablement l'intérêt des BEP et pour que cette option soit réellement efficace il faut obtenir la suprématie aérienne, dont la conquête devient d'un coup bien plus importante (et c'est pas plus mal...). De plus l'utilisation massive de brigades anti-aériennes réduit sensiblement la pulsion attaquausoliste de l'adversaire.
Il suffirait peut être que vous établissiez un
gentlemen's agreement sur le nombre maximal de BEP?