Les premiers panzers sont arrivés début aout, de manière aussi soudaine que désagréable, m'obligeant à me murer dans Riga au nord et à passer sur la défensive dans le sud, au centre les allemands avant lentement mais surement, et je ne peux non plus lancer de contre attaque d'envergure.
Sur le front nord pourtant peu actif jusqu'à ce moment, c'est 15 à 20 divisions blindées/motorisées qui apparaissent d'un coup et viennent s'additionner à la vingtaine de divisions d'infanterie déjà présent, en défense je n'ai à ce moment qu'une trentaine de divisions principalement d'infanterie 18/36, mal organisées, réparties sur 4 territoires avec un soutien aérien minimal, autant dire que je me voyais déjà cuit, mais les allemands mettront presque un mois à ce décider à franchir la Daugava... Au sud les panzers remplacent aussi les soldats roumains, je recule lentement mais surement, réussissant quelques contres attaques , les allemands essayent d'encercler Kiev. La Luftwaffe arrive à la mi-aout, mais par petits groupes, je conserve la supériorité aérienne et gare aux bombardiers qui voudraient mettre le nez dehors. Au centre, c'est la grande surprise les allemands se montrent très mous et ne lancent d'assauts qu'en grande supériorité ou contre des objectifs non défendus...
Minsk par exemple ne tombe que le 6 septembre, ce qui m'est très problématique car j'avais initialement prévu de replier ces troupes au nord, pour défendre la jonction entre la fin du front nord (Vitebsk) et le début du front centre (Smolensk), alors qu'à ce moment les allemands avaient trouvés la faille et foncés dans la-dite zone jonction et débordés tout le front nord...
Kiev est évacuée le 29 octobre, la neige tant attendue qui a déjà refroidi toute la région et empêchée les allemands d'encercler totalement la ville via Vyshgorod ne daigne choir sur la ville que le 1er novembre...
La ligne de front au 3 novembre: