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La Naissance de la République Française : Un espoir pour le monde !



Le mois de Février 1703 avec le début de la guerre contre Hesse, pour rétablir le culte catholique, chose que le pouvoir royal tenait pour extrêmement important, exemple de ses pensées passéistes pour notre époque de nos sciences et aberrante pour un peuple aussi cultivé qu’est le notre, marque le début de la chute de la monarchie dans les états de France.

Les choses pouvaient paraître bien s’engager après des victoires européennes dans le Saint Empire Germanique rétablissant le culte catholique chez tous ses belligérants, mais pendant ce temps nos colonies, nos perles des Antilles tombé une à une au mains des Espagnols, dont nous n’arrivions pas à percer le front malgré tout nos efforts.

Les officiers et toute l’armée étaient prête à tout pour la victoire, mais après la défaite de Gérone en mai 1708 que nos généraux se préparaient à frapper, les murailles ayant sauté, le pouvoir royal signa une paix honteuse perdant 2 comptoir du Québec et 3 de nos perles des Antilles.

La chose, il est compréhensible passa très mal dans l’opinion public et dans chez les cadres de notre armée, habitué à des victoires éclatante, là ce n’était ruine, qui se fichait donc autant du Saint Empire pour accepter dans cette affaire de telle perte ?

L’Etat Major dirigé par Maximilien de la Motte d’Airan après réunion dans la citadelle de Toulouse, se décida pour destituer le pleutre souverain qu’est Louis XVII, pour instaurer une dictature républicaine avec pour comme pillé, les véritables gardiens de la nation, son armé !

En Septembre de l’année 1708, le roi fut arrêté au Louvre et enfermé à la Bastille avec tout ses plus proches partisans, l’opinion public malgré la brutalité des changements intervenu ne fit aucune résistance à ce renversement de régime, le régime monarchique ayant perdu l’attachement de ses sujets par sa défaite et sa politique diplomatique religieuse.



La principale tache que se donna le régime fut d’établir des basses saines pour le régime, établissant au file des ans ce qui est aujourd’hui la constitution française qui a pour principe :

-La liberté d’expression et de pensé.

-La liberté religieuse, mais le catholicisme reste religion d’état.

-L’égalité juridique.

-Séparation des trois pouvoirs

-La fin des privilèges n’ayant aucun lien avec la sécurité du royaume, ceci n’ayant de justification que par le service des armes, et ne sont plus héréditaire.

-Le droit de vote est accordé sur base censitaire, une assemblé nationale se réunira à Paris.

-Un premier consul choisi parmi l’Armée, et avec accord de l’assemblé, dirigera les affaires militaires, diplomatiques et aura un droit de regard sur les actes de l’assemblé.

-Le Premier Consul peut à tout moment en cas de menace contre le royaume, suspendre les libertés et prendre des mesures exceptionnelles pour la protection de la nation.



Les mesures du nouveau Consul après le rétablissement de l’ordre furent de préparé la revanche ! Notre but arrivait à Madrid ! Pour arriver à cela, 40 milles réserviste furent rajouté, l’armé de là République s’ouvrant aux bases classes de la société.

La guerre reprit donc après 5 ans de préparation en 1714, le commandement militaire sachant qu’avec l’Angleterre le conflit serait des plus dure, tenta une manœuvre pour dissocier ceci de l’Espagne, en frappant la Navarre, vassal de l’Espagne sans lien diplomatique avec les Anglais.

Mais l’Espagne refusa l’appel de son vassal, pour déclarer séparément avec l’Anglais, manœuvre risqué pour l’avenir de son vassal qui en 1718 fut vassalisé par notre glorieuse république.

La situation coloniale pendant ce temps ne fut qu’une succession de capture de nos colonies non défendu par des mineurs.

Sur le front principal dans les Pyrénées, les combats ne furent qu’une succession de massacre, sans fin, nos forces n’ayant réussit qu’a percé que dans le Roussillon, mais le commandement disposant de réserve, chose que n’ont plus l’Espagne, se dit prête à percé dans les 2 ans qui viennent la ligne montagneuse pour arriver à Madrid.



Sébastien de Fournay, assault sur Gérone de Mai 1717

Déclaration diplomatique Française: (à suivre)