A tout jamais, ma chanson rock fétiche qui est juste la plus grande chanson de la Terre du Monde de l'Univers de la Galaxie et je pèse mes mots :  
 
London calling to the faraway towns 
Now war is declared - and battle come down 
London calling to the underworld 
Come out of the cupboard,you boys and girls 
London calling, now don't look to us 
Phoney Beatlemania has bitten the dust 
London calling, see we ain't got no swing 
'Cept for the ring of that truncheon thing 
 
The ice age is coming, the sun's zooming in 
Meltdown expected, the wheat is growing thin 
Engines stop running, but I have no fear 
Cause London is drowning and I, live by the river 
 
London calling to the imitation zone 
Forget it, brother, you can go at it alone 
London calling to the zombies of death 
Quit holding out - and draw another breath 
London calling - and I don't wanna shout 
But while we were talking I saw you nodding out 
London calling, see we ain't got no high 
Except for that one with the yellowy eyes 
 
The ice age is coming, the sun's zooming in 
Engines stop running, the wheat is growing thin 
A nuclear era, but I have no fear 
Cause London is drowning and I, I live by the river 
 
Now get this 
London calling, yes, I was there, too 
An' you know what they said? Well, some of it was true! 
London calling at the top of the dial 
And after all this, won't you give me a smile? 
 
Et pour ce qui est de la chanson française :  
 
Gloire à qui freine à mort, de peur d'ecrabouiller 
Le hérisson perdu, le crapaud fourvoyé 
Et gloire à don Juan, d'avoir un jour souri 
A celle à qui les autres n'attachaient aucun prix 
Cette fille est trop vilaine, il me la faut 
 
Gloire au flic qui barrait le passage aux autos 
Pour laisser traverser les chats de Léautaud 
Et gloire à don Juan d'avoir pris rendez-vous 
Avec la délaissée, que l'amour désavoue 
Cette fille est trop vilaine, il me la faut 
 
Gloire au premier venu qui passe et qui se tait 
Quand la canaille crie haro sur le baudet 
Et gloire à don Juan pour ses galants discours 
A celle à qui les autres faisaient jamais la cour 
Cette fille est trop vilaine, il me la faut 
 
Et gloire à ce curé sauvant son ennemi 
Lors du massacre de la Saint-Barthélémy 
Et gloire à don Juan qui couvrit de baisers 
La fille que les autres refusaient d'embrasser 
Cette fille est trop vilaine, il me la faut 
 
Et gloire à ce soldat qui jeta son fusil 
Plutôt que d'achever l'otage à sa merci 
Et gloire à don Juan d'avoir osé trousser 
Celle dont le jupon restait toujours baissé 
Cette fille est trop vilaine, il me la faut 
 
Gloire à la bonne sœur qui, par temps pas très chaud 
Dégela dans sa main le pénis du manchot 
Et gloire à don Juan qui fit reluire un soir 
Ce cul déshérité ne sachant que s'asseoir 
Cette fille est trop vilaine, il me la faut 
 
Gloire à qui n'ayant pas d'idéal sacro-saint 
Se borne à ne pas trop emmerder ses voisins 
Et gloire à don Juan qui rendit femme celle 
Qui, sans lui, quelle horreur, serait morte pucelle 
Cette fille est trop vilaine, il me la faut 
 
Et bien sûr, "Tata Yoyo" d'Annie Cordy, mais là, c'est trop perso...
		 
		
		
		
		
		
		
			
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				   Vive le chat sur le toit des Franco !  
			 
		
		
		
		
		
	
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