Chronique de France : 1597, l’entré dans une session de trouble.
En ce 20 janvier 1597, Paris est en émoi. Notre glorieux souverain Charles XI, suivit des meilleurs généraux et officiers que comptent nos pays reviennent de la plus magnifique guerre qu’ai connu le royaume depuis l’épopée de Jeanne d’Arc ! Jamais la capitale n’avait si bien préparé l’accueil de son souverain, Charles XI rentre dans la légende telle Charlemagne, ou Saint Louis, paré du manteau à fleur de Lys suivit par sa suite de cavalier, portant la centaine de drapeau prit à l’ennemi, il fait son entré dans le cœur du royaume de France. Partout le peuple acclame, la foule devenant délirante face à cette figure vivante de la gloire de notre royaume, celui-ci comparant sa bravoure et ses talents de stratège, à ceux du grand César ou d’Alexandre ! Après avoir déposé les drapeaux prient devant le parlement de Paris et rejoint le Te Deum de Notre Dame en son honneur, il rejoignit le Louvre pour une réunion de crise.
De toute l’Europe des missives arrivé, le roi d’Espagne et d’Autriche malgrès leur défaite continuant leur conspiration contre nous. Ils avaient réussit à réunir autour de leur demandes scandaleuses différentes cours, traitant même avec la Sublime Porte contre nous ! Notre roi est habitué à leur peu de scrupule mais la surprise vient, des cours que nous avons aidé par le passé, auxquelles nous avons fourni aide, alors qu’ils n’avaient été que grugé par les coalisés !
Ainsi les portugais, Anglais et Vénitiens rejoignent ceci !
S’ils croivent que cela nous donnent peur, le royaume de France ne recule pas devant l’ennemi ! Nous avons un Honneur que nous respecterons, nous ne laisserons personne sans combattre reprendre les Pays Bas hors de notre giron !
Nos armes sont les plus fortes et malgrès notre infériorité criante numériquement, nous avons confiance dans le talent de nos hommes ! Le combat sera serré mais nous ne reculerons pas devant la difficulté !
Souvenez vous de Lippe, de Cologne, de Navarre, de Toulouse, du Périgord, de Florence ! Souvenez vous de ces boucheries ! Les coalisés ne nous aurons pas !
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L'homme n'est pas fait pour travailler, la preuve c'est que cela le fatigue. ( Voltaire )
On dit qu'il y a trois millions de personnes qui veulent du travail. C'est pas vrai, de l'argent leur suffirait. ( Coluche )
Si l'Administration travaillait dans le Bâtiment, elle aurait les doigts pris dans le béton. ( Coluche )
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