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Vieux 15/05/2008, 20h39
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Chronique de France : 1480-1504.



Situation du Royaume en l’an de grâce 1480 :



En 1480, cela fait prêt de 4 ans que le glorieux Louis XII dirige les affaires de la France, ses aïeux lui ont laissé le plus puissant royaume d’Europe, ceci ayant annexé tout les vassaux, et commencé à remettre l’autorité du roi sur les terres de Bretagne et du félon duc de Bourgogne qui par son trône des Pays Bas pense nous être indépendant !

Depuis 1479, Louis XII a entrepris une nouvelle guerre face au royaume de Bourgogne, mais ses forces mal géré par un certain IA, nous ne donnons que ses initiales pour le protéger de la vindicte populaire, le royaume du signer la paix au plus vite pour réorganiser le royaume et réparer les dégâts, surtout avec les menaces extérieurs. Après la prise de Dijon, et en accord avec nos voisins, nous libérâmes le Luxembourg et la ville de Liège, cruellement annexer par le félon.

La première action de notre souverain à la fin du conflit, fut de commencé le coulage et la dissolution des navires et des corps de cavalerie et de mercenaire qui n’avaient aucune véritable utilité.

Au niveau économique, le bilan était des plus flatteur, la France disposant d’atelier dans tout le royaume et de revenu très important malgré une stabilité juste bonne.



La guerre d’Irlande :



Une nouvelle guerre fut lancé en janvier 1482, le royaume de France étant appeler à l’aide par son allié du Munster, Louis XII ne pu que répondre favorablement à cet appel, d’autant plus que le voisin breton, faisait partie des cibles de la coalition, l’Angleterre étant elle aussi allié de Munster.

La guerre fut des plus courte, le duc de Bretagne acceptant dès le mois de juillet la vassalisation de son état réduit à la Vendée, les troupes royales étant les murs de ses deux dernières citadelles. Cette signature intempestive fut mal accueillit à Londres, ceci croyant pouvoir tirer quelques provinces irlandaise du conflit… La France n’a pas pour rôle de nourrir le royaume d’Angleterre…



La guerre contre Milan :



En octobre 1482, une nouvelle guerre embrassa la péninsule italienne, Milan et ses alliés, comptant notamment la Savoie et Florence, s’attaquant à Venise soutenu par l’archiduc d’Autriche et le roi d’Angleterre.


Venise fut rapidement dépassé par la situation et en juillet 1483 elle était quasiment désespéré. Il était trop tard dans la saison pour que la France agisse, celle-ci ne pouvant se risquer à combattre les montagnards en plein hiver. Louis XII, attendit donc jusqu’en mars 1483 pour se lancer dans le conflit, il avait mobiliser pour l’occasion 8000 cavalier et trois corps d’infanterie d’environ 7000 hommes chacun pour assiéger les citadelles savoyardes et protéger les passages alpins pendant que Hugues de la Barthe chargé avec la cavalerie dans la plaine du Pô, donnant un coup de pousse au force de Venise et Anglaise.



La Savoie fut vassalisé avant la fin de l’hiver, et les troupes d’infanterie redescendirent en Italie en mars 1485, prenant Milan et Parme, obligeant le duc de Milan à abandonner tous ses vassaux, la France remontrant une fois de plus sa volonté de libéré les peuples des tyrans.



La guerre contre la Bourgogne :



En juillet 1487, après de longue tractation avec les Anglais pour les attacher à notre coalition, la dernière guerre contre la Bourgogne put être lancer, les objectifs de celle-ci, récupéré tout les territoires nous revenant de droit, donner les Flandres aux anglais et libéré les Pays Bas en un royaume libre.

Le plan de bataille que notre souverain établit, fut des plus simples, la priorité de nos forces étant de prendre les places de Bourgogne et de Picardie pendant que l’Anglais s’occuper des Flandres et des Pays Bas plus généralement.

Tout ce passa comme prévu jusqu’en 1488, les troupes de Bourgogne s’établissant sur nos places frontalières et prenant certaine, et notre coalition installant ses sièges, tout était sous contrôle. Les imprévus arrivèrent en mars 1488, avec l’ouverture des hostilités de la Castille et des Ibères, mais surtout par l’arrivé d’une armée de l’archiduc d’Autriche, qui chargea en Bourgogne nous prenant totalement de cour, nous obligeant dans l’urgence à ouvrir des négociations avec la Lorraine et les suisses pour réduire le front. Ces difficultés ne furent que passagères, les troupes germaniques repartant chez elles, aussi vite qu’elles étaient venues, ce n’était qu’un raide. Pour les Ibères, dès juin leurs armées ne pouvaient plus agir, après les combats du Béarn, où nos forces dirigé par Jules de Boissieu montrèrent une grande combativité et les Bretons par la suite lançant des raides sur les Pyrénéens ne laissant aucun moment de répits aux aragonais.





En octobre 1488, le conflit était en passe de ce finir, les Anglais arrachant les Flandres et libérant les Pays bas comme prévu, la moitié de nos objectifs étaient maintenant remplis, ne resté plus qu’a récupéré nos terres.





La paix fut signée avec la Bourgogne en mars 1489, nos états récupérant Valencienne et la Picardie. Il fallut attendre juillet 1489 et une descente de notre cavalerie en Aragon, pour que la paix, s’installe entre les Ibères et nous.



Les réformes de la période :



Après la guerre contre la Bourgogne et la mort de notre souverain, remplacé par son fils Louis XIII, les réformes commencèrent, la paix s’étant installé dans le royaume.

La première chose de celle-ci fut l’abolition des taxes pesant sur nos artisans, bloquant l’activité.




La seconde fut encore un soutien de la royauté sur la liberté des guildes, Louis XIII confirmant les privilèges déjà accordés à celle-ci, et les libérant du contrôle de l’état.



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Dernière modification par TCAO ; 15/05/2008 à 20h46.
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