Personnellement, j'ai du mal à voir en quoi il défend une thèse novatrice. Lors de mes années d'étudiant, encore toutes proches, on m'avait déjà enseigné que l'héritage grec nous venait en grande partie de byzance. Les Arabes ont joué un rôle, moindre, dans la transmission de ce patrimoine car, comme il l'a déjà était dit, ils n'ont pas assimilé la culture grecque mais plutôt piochaient dedans ce qui les intéressaient (notamment la médecine grecque.....).
Qui a dit que le contexte actuel se prête particulièrement à ce genre d'ouvrage quand on a des visées plus commeciales que savantes ?