Chronique du royaume de Scandinavie : 1527-1541.
Le calme régnait à la cour royale du royaume du Nord, le printemps arrivait tout juste en ce mois de mars, lorsqu’un navire arriva aux grands ports de Copenhague, apportant à son bord la nouvelle du rejet diplomatique de nos demandes communes avec l’Empereur de libérer la Pologne. La nouvelle fit grand bruit à la capitale, l’abject hérétique, cet antéchrist, ne méritait rien d’autre que notre glaive.
Notre roi très chrétien, défenseur de la religion protestante, ne pouvait souffrir de voir des frères chrétiens sous l’autorité d’un tel monstre, mais nous ne pouvions y aller seul, mais l’Empereur avait d’autre affaire, devant combattre le Hongrois, mais il ne pouvait l’attaquer lorsque celui-ci avait déjà affaire au Bosniaque et Serbe, nous dûmes donc attendre, alors que nos troupes avaient déjà été montées en 1527.
Il fallut donc attendre dix ans, pour pouvoir nous lancer à l’assaut, nous donnant l’occasion de rétablir notre commerce qui depuis quelques années était dans une mauvaise passe. La guerre put enfin commencer en 1537, après que l’Empereur eu réglé ses affaires et rassemblé le ban et l’arrière ban de la noblesse d’empire. pour partir à la guerre. Quant à nous, nous montâmes pour l’occasion 30 galéasses, et donnâmes le commandement à l’amiral Christian Reventlow pour pourfendre la flotte hérétique, et faire le blocus de leur côte. Au niveau terrestre 9 milles chevalier soutenu pour 11 mille à pied furent réunit pour faire le siège des places polonaises, commandé par Bent Jensen.
I. Nos armées terrestres repoussé.
Les premières heures du conflit furent peu glorieuses, notre état major pensait que les Polonais n’offrirait que peu de résistance mais à notre grande surprisse, il se défendait et ne nous accueillait pas en libérateur ! La noblesse polonaise et son roi jouaient la carte ottomane totalement face au russe qui avancé à l’Est, il préférait s’allier au sultan pour pouvoir recouvrir leurs terres perdues que de se révolté face à l’oppresseur ! D’autant plus que leur clergé exerçait sur le bas peuple une mauvaise influence les excitants à massacrer du protestant ! Face à un peuple si fanatique, ayant était perverti par le malin, nos forces ne purent résister bien longtemps, connaissant le terrain, et mieux entrainé, et commandait par de grand capitaine nos forces, les Polonais nous repoussèrent rapidement de nos sièges à Poznan et Kalisz.
Une année plus tard, nous retentâmes de remettre le siège mais fument encore une fois défait les Polonais étant soutenus par 8 milles janissaires.
2. La flotte pour rétablir notre honneur.
Face à ses défaites terrestres il fallait pouvoir rétablir nos honneurs sur la mer, notre domaine de prédilection, ayant les meilleurs marins d’Europe, dès 1537, nos forces s’étaient installer au port des forces musulmanes, bloquant le port de Constantinople à tout commerce et empêchant tout mouvement de troupe par les détroits. Nous fûmes outrées de l’inaction des musulmans qui au lieu de manœuvrer pour contrer notre blocus, restait établit à Alexandrie en attendant de monter une plus grosse flotte, s’il voulait jouer ce jeu là, il ne pouvait que perdre, 20 nouveaux navires furent donc construits.
Pendant trois ans, l’amiral Christian Reventlow attendit donc, n’ayant pu mener qu’une opération sur l’un des rassemblements à Alexandrie de navire mamelouk en coulant 2.
Qu’elle fut sa surprise alors qu’il se trouvait en son port d’escale ******, au moi de mars 1540, ouvert généreusement par le **** pour nos opérations, quand on vint le prévenir que la galéasse laissée en surveillance devant Alexandrie nous revenait portant avec lui la nouvelle tant espérée, les Mamelouks cherchaient la bataille !
La flotte principale sortit donc de la rade de Rhodes pour s’installer dans la mer de crête pour rejoindre la flotte de blocus et commencé la bataille sans attendre les autres corps navaux.
Face aux 30 galères réunit difficilement par les musulmans nous faisions face avec dès le début de la bataille avec autant de navire, avec prêt de 20 navires devant arrivé, l’amiral protestant était déjà sur de sa victoire, sa flotte disposait de bien meilleur navire, transportant plus d’artillerie et plus d’homme, qui contrairement au musulmans combattait tous, ne faisant pas appelle à l’esclavage pour recruter nos rameurs.
Le 7 mars, les musulmans étaient en vue, notre flotte était à l’arrêt attendant patiemment la venue de l’ennemie. La flotte ennemie était l’antithèse de la notre, constitué de navire rivalisant de beauté et de raffinement, alors que la notre n’était construite et conçue que pour sa mission, la bataille. Leurs soldats habillaient de manière chamarrée alors que les nôtres étaient en simple pourpoint à la manière de tout réformé.
Christian en bon réformé fit donner une prière avant de lancer ses forces sur les hérétiques:
« Tu es le Dieu des armées pour confondre celles qui se dressent contre toi et les tiens et soutenir et fortifier et conduire celles qui marchent pour ta gloire, et pour la conservation et liberté de ton Eglise, puisque c’est pour cela même, et outre le service de notre roi, que nous portons aujourd’hui les armes. »
Après cela le massacre des suppôts du diable put commencer après un rude choc entre les deux flottes fonçant l’une sur l’autre se frappant l’une l’autre de ses pièces d’artillerie dont nous avions dès le début un avantage de 50 pourcent, se finissant en un corps à corps qui dura des dizaines d’heures et se poursuivi toute la nuit, dans une fureur indescriptible, les galères musulmanes tentèrent bien de sortir du combat mais il ne purent s’échapper, poursuivit par une ordre de navire qui étaient maintenant deux fois plus nombreuse, la flotte étant totalement rassemblé. La victoire était totale, la flotte mamelouk était passé totalement par le fond alors que la notre n’avait perdu aucune pièce, n’ayant que des dommages de faible ampleur et ne demande que quelque mois de réparation en rade de ******.

C’est ainsi que le blocus put reprendre à une plus grande ampleur n’ayant plus de menace à craindre, bloquant tous les ports de la mer Egée, Marmara et de la méditerranée orientale, et bientôt de Crimée ?
Nos marins ne pouvant guère faire plus, ne pouvant débarqué libéré la terre sainte, dont notre drapeau et nos coeurs n'avait été aussi proche, aux grands désappointements de ceci, priant dieu de pouvoir y revenir et de la libéré dans une croisade rétablissant défénitivement nos droits sur cette terre sacré!
(Dsl mais le AAR a du être censurer pour la défense d'une personne menacé)
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On dit qu'il y a trois millions de personnes qui veulent du travail. C'est pas vrai, de l'argent leur suffirait. ( Coluche )
Si l'Administration travaillait dans le Bâtiment, elle aurait les doigts pris dans le béton. ( Coluche )
Dernière modification par TCAO ; 01/03/2008 à 00h44.
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