- la russie est un pays assez facile à jouer avec seulement 350 millions d'hab pour 16 territoires et bcp de ressources , d'ailleurs on a bien vu a quel vitesse il apris la tete
- peu de pays ont choisi la dictature , un trentaine de pays dont la moitié en PNJ
- apres ce qu'on raconte , bah ca engage que ceux qui y croivent
coté histoire :
Bien sur que Franco a aidé Hitler au debut de la guerre auquel il etait redevable mais en temporisant et en louvoyant jusqu'à ce qui soit evident que l'allemagne perdrait la guerre
allez un petit coup de wikipedia :
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La dictature de Franco (1939 - 1975) [
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Article détaillé :
franquisme.
La Seconde Guerre mondiale [modifier]
Durant la
Seconde Guerre mondiale, l'
Espagne reste officiellement neutre mais soutient l'
Allemagne au début de la guerre : en juin
1941, Franco envoie une division sur le front de l'Est contre l'
Union soviétique (cette unité appelée la
Division Azul, ou
Division Bleue, qui combat sur le front de
Léningrad) ; en août de la même année, il autorise le régime nazi à recruter 100 000 ouvriers espagnols « volontaires » pour aller travailler en Allemagne ; les navires de guerre allemands peuvent se ravitailler et être réparés dans les ports espagnols ; les services secrets espagnols et allemands collaborent pour recueillir des renseignements sur les
Alliés ; l'Espagne fournit le
tungstène indispensable à l'industrie d'armement allemande.
Mais l'Espagne ne s'engagea finalement pas militairement aux côtés de l'Allemagne en octobre 1940 comme le souhaitait
Ramón Serrano Súñer, ministre des Affaires étrangères jusqu'en
1942 et beau-frère de Franco. Cette non intervention est due à une prise de conscience de l'immoralité nazie (Franco livrera après la guerre de nombreux nazis, ou pro nazis tel
Pierre Laval) : pour Bartolomé Bennassar, Franco gagnait du temps et laissait se faire les luttes d'influence au sein de son gouvernement. Il n'avait pas non plus les moyens d'engager l'armée au côté de l'Allemagne alors que le pays était en pleine répression.
À son retour d'
Hendaye où il a rencontré Franco, Hitler exprime son mépris pour le personnage (qui l'a d'ailleurs fait attendre en gare). De plus, Hitler ne voulait pas mécontenter le maréchal
Pétain, dirigeant d'un pays aux richesses abondantes, pour obtenir le maigre appui d'une Espagne exsangue. De nombreux Juifs passeront la frontière pyrénéenne pour se réfugier en Espagne, avant, pour certains, de gagner d'autres pays. Mais surtout Franco fait délivrer par ses consulats, notamment en France, en Hongrie et en Grèce, des passeports espagnols aux Juifs descendants de ceux qui ont fui l'Espagne après 1942. Ainsi Franco a évité la déportation de 70 000 Juifs, en s'interposant auprès de Hitler.
Devant les pressions américaines (les
États-Unis fournissent le pétrole à l'Espagne), les problèmes économiques soulevés par l'autarcie sur laquelle essaie de s'appuyer le régime, et la résistance victorieuse de la
Grande-Bretagne, Franco reste en retrait et abandonne peu à peu son soutien aux forces de l'Axe à partir de l'été
1943. Son meilleur allié est à l'époque
Antonio de Oliveira Salazar, bien que les relations personnelles entre les deux hommes soient tendues, mais le dictateur portugais
Salazar est soutenu par les Britanniques.

Armoiries de l'Espagne franquiste
La Guerre Froide. L'Espagne dans le camp occidental [modifier]
À la fin de la guerre, le régime est très fragile : en 1944-1949, l'armée espagnole est obligée de repousser l'invasion du maquis révolutionnaire constitué en France. La situation économique laissée par la Guerre est désastreuse. L'autorité de Franco est condamnée quasi unanimement par la communauté internationale. Cependant, dès
1945, les Britanniques épargnent et soutiennent indirectement le régime franquiste contre les français qui soutiennent l'isolement de l'Espagne (isolement approuvé lors de la conférence de Potsdam). À partir du discours sur le rideau de fer, l'Espagne va apparaître vite comme un rempart contre le
communisme aux yeux des anglo-saxons et les rapports se détendent. Le régime reprend contact avec les Britanniques et les Américains
via son ambassade au Portugal et postule à l'
OTAN au début des années 50. Franco autorise les
États-Unis à implanter 4 bases sur le territoire espagnol en septembre
1953 (traité hispano-américain).

Franco et le président
Dwight Eisenhower à
Madrid en
1959
Le régime gagne peu à peu sa légitimité. L'Espagne entre à l'
ONU en
1955 puis le président américain
Dwight Eisenhower, un des grands vainqueurs de la Seconde guerre mondiale, vient en Espagne en
1959 et défile triomphalement à
Madrid au côté de Franco. Le régime est sauvé.
La loi sur les principes fondamentaux du
Mouvement national est votée le
17 mai 1958 alors que le régime évolue et quitte définitivement ses oripeaux fascistes sous l'influence de l'
Opus Dei.
Le régime se libéralise peu à peu dans les
années 1960 sur le plan économique, beaucoup moins sur le plan politique où Franco détient le pouvoir.
Les infrastructures (chemins de fer et réseaux routiers) sont modernisées et un gigantesque système hydraulique (barrages et irrigation) est construit pour contrer les effets de la sècheresse. L'agriculture espagnole atteint alors un développement colossal qui fait trembler (notamment en France) à l'idée que ce pays puisse entrer dans le
Marché commun. Le taux de croissance atteint alors 8% par an. A la veille de sa mort, Franco laisse un pays doté d'une large
classe moyenne, un pays modernisé, placé au 9e rang des nations industrialisées, ce qui a constitué une base solide pour implanter la
démocratie[10].