Discussion: AAR GPO5 le VRAI
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Vieux 03/12/2007, 12h17
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Chroniques Autrichiennes 1650 – 1663





Compromis avec la France

Les armées Françaises tenaient le Palatinat et la Suisse occidentale. Mais n’avançaient plus. Toute attaque était repoussée. Cependant, cette guerre malmenait la jeunesse Autrichienne qui hélas n’était pas infinie. A l’opposé, la France pouvait compter sur un réservoir humain largement supérieur. Aussi l’empereur dépêcha une ambassade à Paris et un compromis fut trouvé. Conscient qu’à la longue cette guerre aurait été perdue, l’Empereur proposa au roi de France d’épargner à nos deux pays un sacrifice inutile. Le roi de France sut se montrer magnanime, et une paix honorable fut trouvé. L’Autriche cédant à titre provisoire (une durée équivalente aux règnes de l’empereur Ferdinand et de son fils Karl) la jouissance de centre de commerce de Lübeck. A compter de ce jour, et ce jusqu’à la mort de Karl, 4e du nom, seule la France est en droit de disposer d’un monopole dans ce COT. Sur simple demande de la France, n’importe quel pays trop offensif dans ce centre peut se trouver soumis à un embargo commercial.



Grave crise économique

A la mort de Ferdinand, Karl hérita d’un royaume, aux finances saines en apparence. En apparence seulement, car peu de temps après la prise de fonction de Karl des évènements gravissimes se produisirent. Quelques fonctionnaires vinrent subistement se plaindre de n’avoir reçus leurs appointements. Puis il en virent d’autres. Puis ce fut le tour des militaires… Tout ceci était étrange. Les livres de compte n’indiquaient pas une quelconque pénurie d’argent. Pourtant il fallut se rendre à la raison. Des parchemins manquaient…

L’Autriche avait, à la grande surprise de l’Empereur, dépensé beaucoup plus d’argent que ce qu’elle ne disposait. Pourtant, rien ne permettait de le soupçonner. L’Empereur demanda des comptes au grand trésorier national, un certain Ludwig ENRON. Ce dernier avoua, qu’il avait falsifié les comptes. Il fut limogé et emprisonné pour haute trahison.

Les conséquences furent dramatiques(-1000 ducats). Chaque mois, il fallait emprunter(5 emprunts). La monnait fut dévalué (inflation + 5), le pays grondait (stab-3) car le pain coûtait une fortune.

L’empereur fit appel à l’aide internationale, et remercia chaleureusement tous le pays qui ont aidé l’Autriche dans ces instants très délicats. (Russie, Venise, Portugal et d’autres).
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on peut caresser des idéaux sans s'éloigner d'en bas...

En France, on n'a ni pétrole, ni idées. Mais on a des taxes...
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